Ciel nocturne

Valse mélancolique et langoureux vertige ! 8 Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ; Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. 12 Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Du passé lumineux recueille tout vestige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

« marchait à l’aise » l.12, alors que d’autres sont plus représentatifs d’un résultat recherché pour donner plus d’effets à la toile : « chauffe à blanc le pavé » l.3, « réverbération éblouissante » l.3 ainsi que la métaphore « sous la pluie lourde d’un ciel en feu » l.6 Cependant, si le sujet traité est bien réel, on observe, principalement dans le deuxième partie de la description, une rupture entre le sujet et son rendu sur la toile du peintre. En effet, les petits détails qui faisaient de cette scène

_Classe: TC tt séries Durée : 2H _ La spirale de corbeaux remonta dans le ciel et le brave Oluf continua son chemin; en revenant le soir à son château, il portait en croupe la jeune châtelaine, qui cette fois avait bien voulu l'écouter. Le chevalier à l'étoile rouge n'étant plus là, elle s'était décidée à laisser tomber de ses lèvres de rose, sur le cœur d'Oluf, cet aveu qui coûte tant à la pudeur. La nuit était claire et bleue, Oluf leva la tête pour chercher sa double étoile et la faire voir

de vrais trouillards sous leur parapluie. Ils courent, ils courent à leurs devoirs mais cette grêle tomba à tous hasard, et moi je m'enfui Mais nous on rit tu me fait boire on finit vite sur le trottoir perdu cette nuit. Blanchit devant ce grand ciel noir tout devient vite des illusoires fallait que j'oublie. Hey! Mais nous on rit tu me fait boire on finit vite sur le trottoir perdu cette nuit, j'me sens si seul dans ce brouillard comme en danger. C'est fou ce qu'on est perdu cette nuit. C'est

hypothermie. Après avoir allumé un bon feu et m'être réchauffer je me suis couché mais ma nuit fut de courte durée...En effet vers trois heure du matin une patrouille de surveillance, probablement les trafiquants d'armes, avait dû repérer ma chute du ciel ou bien les fumerolles dégagées par le feu. Quoiqu'il en soit il fallait se cacher. Je suis donc parti dans le fond de la grotte car je ne pouvais aller nulle part car ils étaient tout autour comme s’ils savaient ou je me positionnais. Ils sont entrés

Les trois premiers quatrains annoncent l'atmosphère pesante, presque insoutenable qui plane. - Le climat : il est humide, pluvieux, on devine un ciel plombé de nuages (" bas et lourd " vers1). Chez les romantiques, les perturbations atmosphériques influent sur le psychisme ; les idées noires ressortent (" un jour noir " oxymore qui renforce l'idée de ténèbres ; " nuit " vers 4). - Une idée d'enfermement : ces trois quatrains sont renfermés sur eux-mêmes : anaphore avec " quand

alors une nuit particulière qu’il ne sait plus situer clairement dans le temps. Péripéties : Le début de la nuit est lumineux, il se balade sur les champs Elysées, il passe sous l’arc triomphe et voit les lumières de la ville et des étoiles dans le ciel, il se promène dans le bois de Boulogne et va aux Halles. Puis la ville s’endort et il s’enfonce dans une nuit ou il ne rencontre plus personne et ca lui pèse sur le cœur, il a une impression de froid, il est angoissé. Il a beaucoup marché, il a faim

mort qui approche et sa maladie, il pense à la vie et à envie de continuer : Enfin, il pense quand même à continuer de vivre, « Et je m’attache à cette étoile qui scintille », il s’attache à ce qu’il peut, mais ici l’étoile veut dire monter dans le ciel, donc rejoindre la mort, il n’a plus de chance, il est condamné, même s’il ne veut pas partir. Il évoque l’éternité, qui est un état censé être indépendant du temps et n’avoir donc ni commencement, ni fin. Il veut donc dire, qu'il ne sait plus bien

Ibo Victor HUGO Recueil : "Les Contemplations" Dites, pourquoi, dans l’insondable Au mur d’airain, Dans l’obscurité formidable Du ciel serein, Pourquoi, dans ce grand sanctuaire Sourd et béni, Pourquoi, sous l’immense suaire De l’infini, Enfouir vos lois éternelles Et vos clartés ? Vous savez bien que j’ai des ailes, Ô vérités ! Pourquoi vous cachez-vous dans l’ombre Qui nous confond ? Pourquoi fuyez-vous l’homme sombre Au vol profond ? Que le mal détruise ou bâtisse,

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