Ciel nocturne

vêtements révèlent qu'ils sont contemporains au peintre : tissus colorés, décorés, drapés. Leur posture indique qu'ils sont des personnages importants. Ils se trouvent dans un espace extérieur, derrière eux, on aperçoit des bâtiments, de la végétation, le ciel, le sol est constitué de carrelage rouge et blanc, comme le carrelage qui se trouve devant la scène de la flagellation

Spleen -------> analyse Le ciel, la terre et la pluie representent une prison. Le ciel est le plafond, qui etant si bas, semble etouffer l’âme du poète. La terre est le plancher, alors que les gouttes de pluie sont les barreaux de la prison. 1) Le termes qui traduisent un rétrécissement de l’espace sont : ciel bas et lourd; couvercle; …pèse sur l’esprit; traînées; prison; barreaux. 2) Sensation auditives : cloches; affreux hurlement; gémissement; sans tambour, ni musique; Sensation visuelles

Si on lit ce poème linéairement, on distingue trois parties : LXXVIII. SPLEEN in Les Fleurs du Mal (1861) Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle I – QUAND LE CIEL, LA TERRE ET LA PLUIE… Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Les trois premiers quatrains annoncent l’atmosphère pesante, Et que

envoie les bisous, je t'envoie cet sms. Bisous: petit bisou dans le cou pour te dire a mot doux de toi je suis fou je t'adore plus que tout. sms bonne nuit 4: Avant de te coucher, regarde par la fenêtre. Les étoiles que tu verras dans le ciel sont les milliers de baisers que je t’envoie. Bonne nuit, je t’aime !!! Ni l’absence ni le silence ni la distance n’empechera un cœur d’aimer je t’aime toujours très fort malgré tout … Mon cœur brûle pour toi comme la lave d'un volcan que rien

vieux noir qu'admirait l'univers Trahi par les Français, jaloux de sa vaillance Le noir fut dans ce fort jeté les pieds au fer. Méprisant d'un consul l'atroce barbarie Il répétait toujours:" Je meurs pour mon pays!". Mais une nuit, pensant au ciel de la patrie, A sa femme, à ses fils, à ses champs de maïs Le guerrier s'écria dans un accent sincère: "O mon pays! Mon coeur à tes doux souvenirs, Ne peut gémir encore sur la terre étrangère La voûte du cachot entend trop mes soupirs. Le général

que son mari passait souvent ses nuits dans un cercle de jeu où il retrouvait ses amis qu’elle trouvait suspects. Sur ces mots, L’inspecteur décida de se rendre au cercle situé à la périphérie de la ville. Peut-être avait-il des dettes de jeu ? Le ciel était noir et l’orage allait éclater d’une minute à l’autre. Arrivé sur les lieux, l’inspecteur Lambert observa attentivement les personnes présentes. Il repéra le gérant du club près du bar, il s’avança vers lui et lui montra la photo de la victime

Lrn lrabirtnr 2 Maghicb xctuel, rLr Mo),en Age un Ilerbère ilpparrenanr dLr au peuple conrluéranr de l'Espagne. Par exrension, )"adje«if nlnuqn signiiie ici Qu'elle vienne inspir:er, ranimer, ô génies, Mes r:hansons? comlle urn ciel cl 'arrtoilrre rcmbrnnies, rs Et jerer dans rnes yeux son magrclue reflet, Et longternps, s'éreignant en runtelrrs étor.rffées, Avec les mille tor_rrs de ses palais c{e fées, Bmmeuse, denreler' 1'horizon violcr ! li :;r ptr-,ntl.rrc lll2[.i.

quelques kilomètres, deux barques pour pouvoir profiter pleinement de leur journée. Il est vrai quʼen cette fin dʼaprès-midi, une lumière exceptionnelle éclairait la verdure et apaisait lʼatmosphère. Les deux amis étaient aux anges, ils contemplaient le ciel rose-orangé et écoutaient avec attention ce silence reposant attendri par le chant des oiseaux. Malgré la chaleur étouffante pendant la journée, ils ne sʼétaient munis que de chapeaux et de vêtements blancs. Ils ne sʼétaient pas vraiment protégés contre

de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l’aube de ses pleurs au point du jour l’arrose : La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d’odeur : Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille déclose : Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu repose. Pour

de son cachot et dans le désert de sa pensée, reconstruire les âges révolus, ranimer les peuples éteints, rebâtir les villes antiques, que l'imagination grandit et poétise, et qui passent devant les yeux, gigantesques et éclairées par le feu du ciel, comme les tableaux babyloniens de Martinn1 ; lui n'avait que son passé si court, son présent si sombre, son avenir si douteux : dix-neuf ans de lumière à méditer peut-être dans une éternelle nuit ! Aucune distraction ne pouvait donc lui venir