Ciel nocturne

THE FORBIDDENS TITANE PREMIÈRE PARTIE LE FEU 1 C e soir, le ciel est noir de suie, sans étoiles. Seule la lune m’éclaire de sa faible lumière blafarde. Jared s’avance vers moi du fond du parc, un sachet de pop-corn dans chaque main. Il s’allonge dans l’herbe fraîche à côté de moi. – À quelle heure doit commencer le feu d’artifices, déjà ? Je regarde à ma montre : – Dans dix minutes… à vingt-trois heures. Aujourd’hui, on est le neuf septembre deux-mille

dormait dans son lit tout moelleux lorsqu’un rayon de lumière traversant son volet vint le réveiller. Il s’étira, bailla et tenta de retourner dans son rêve. Constatant que cela ne marchait pas, il décida de se lever. En ouvrant sa fenêtre il regarda le ciel. « Hmm… quelle belle journée ! », se dit-il. Autour du soleil, il n’y avait que du bleu et le chant des oiseaux. En prenant son petit déjeuner, Anatole découvrit un petit nuage, tout blanc et tout léger. Il le trouva joli et se dit que les anges devaient

sel C'est un don miraculeux Elle, c'est la naissance de la gabelle C'est l'oubliée des infidèles A la terre des futurs vieux. Rien que de l'eau, de l'eau de pluie De l'eau de là-haut Et le soleil blanc sur ta peau Et la musique tombée du ciel Sur le toit rouillés de Rio x2

étant un endroit très éloigné de nous et de la zone que coca-cola cherche à séduire par cette publicité, on a l’idée d’une autre dimension que cette publicité, que cette boisson pourrait nous permettre d’atteindre, idée accentué par la présence du ciel étoilé qui renvoie à une idée d’espace et de liberté. Cette publicité a pour objectif, par l’attendrissement que provoque la vision de ces deux petits oursons, d'inciter le consommateur à acheter coca-cola. Elle peut également inciter les enfants

maltraitée sexuellement par son beau-père et abandonnée de sa mère. Le noir impénétrable de ce quartier ressemblait aux yeux du chaos et la seule lumière émanant des sexclubs était si douce et belle quelle faisait penser à une déesse. En revanche même le ciel ressemble à tout ce qu'il y a en bas, il est pollué, noircit par les usines fumantes, puantes. Chaque magasin quel qu'il soit est chaotique, les vendeurs de planches en ont des noirs, des noirs et encore des noirs. Les poissonniers n'ont que du poisson

BAPTEME BAPTEME Le temps de la prière Chaque parent lira sa prière puis ensemble nous prierons NOTRE PERE Notre Père qui es au cieux Que ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne. Que ta volonté soit faite Sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui Notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses Comme nous pardonnons aussi A ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation Mais délivre-nous du mal. Car c’est à toi qu’appartiennent Le règne

Viens on va danser ? Viens chanter avec moi. Viens tourner jusqu'à en confondre le ciel et la terre. Le sable est encore plein de la chaleur du soleil d'été. La musique fait vibrer nos corps, tu sens ? Nos cœurs battent le même rythme, celui des basses, celui de la vie. Alors je vais dans le sable au centre de tous ces gens, ces amis, ces inconnus, doucement il s'écartent en cercle, ils savent. Alors tu t'avance vers moi, mais tu reste a la lisière du cercle, la musique change, chaleureuse, elle

J’entends encore ce bruit étrange et strident, un peu comme le lointain aboiement d’un gigantesque molosse. Je me souviens que La nuit avait expulsé le jour, laissant apparaître la grosse lune rougeâtre dans un ciel brouillé. Allongé dans mon lit, j’avais contemplé par la fenêtre de ma chambre, le gigantesque figuier maudit du jardin voisin. Mais quelque chose avait attiré mon attention. Sous cet arbre, j’avais aperçu une ombre malsaine. Le vent avait commençait a soufflé de plus en plus fort dès

Ecriture d’invention Parmi les 4 saisons de l’année, il en est une qui me plait, c’est l’été. Le soleil levant est totalement différent. Le ciel est d’un bleu inimitable et d’une grandeur indéfinissable. L’été, le moment où tu fais ce qui te plait. Cette pause délivrante, où tu fais ce qui te chante. Les vacances approchent, sans aucun reproche. La chaleur s’impose, rien ne s’y oppose. Vive le bronzage, et les moments à la plage. La mer est chaude, bleue et immense. Et le sable jaune te brûle

et les Démons et Bhagavat lui-même, Augustes, s’élevaient jusqu’au néant suprême, Ah ! la terre et la mer et le ciel, purs encor Et jeunes, qu’arrosait une lumière d’or Frémissante, entendaient, apaisant leurs murmures De tonnerres, de flots heurtés, de moissons mûres, Et retenant le vol obstiné des essaims, Les Poètes sacrés chanter les Guerriers saints, Ce pendant que le ciel et la mer et la terre Voyaient — rouges et las de leur travail austère — S’incliner, pénitents fauves et timorés