Cimetière de la Chartreuse

Caprices de Marianne » « On ne badine pas avec l’amour » Lorenzaccio et son brin d’herbe Vigny, les planches à desseins La maréchale exécutée Chatterton et Kitty Bell Chapitre 18 - Le roman du roman Chapitre I : Stendhal hisse les couleurs « La Chartreuse de Parme » Contre les romantiques Henri et les femmes Chapitre II : Balzac, quelle comédie ! La statue de bronze L’ ascension des Balssa Les premiers succès Balzac ennuyeux ? L’étrangère, Ève Hanska… Chapitre III : Flaubert le forçat… Le seigneur

technologie (ZIRST de Meylan, Europole, laboratoires...). De nouvelles populations ont été attirées par ces emplois, de surcroît dans un environnement montagnard alpin particulièrement apprécié, été comme hiver, constitué du Vercors, du massif de la Chartreuse et de la chaîne de Belledonne. Le carrefour fluvial généré par la confluence du Drac et de l’Isère a été mis en valeur grâce aux voies ferroviaires (une gare TGV à Grenoble) et autoroutières (A41, A48, A49 et A51). La croissance urbaine a été favorisée

s’animèrent, ils s’oublièrent, comme s’ils s’étaient retrouvés au café Baudequin. « Ah ! mes enfants, dit Irma, il n’y a que ça de bon, rigoler ensemble et se ficher du monde ! » Elle roulait des cigarettes, elle venait de prendre le flacon de chartreuse près d’elle, et elle le vidait, très rouge, les cheveux envolés, retombée sur son trottoir de drôlerie canaille. « Alors, continua Jory qui s’excusait de ne pas lui avoir en-voyé le matin un livre qu’elle désirait, alors, j’allais donc l’acheter

Caprices de Marianne » « On ne badine pas avec l’amour » Lorenzaccio et son brin d’herbe Vigny, les planches à desseins La maréchale exécutée Chatterton et Kitty Bell Chapitre 18 - Le roman du roman Chapitre I : Stendhal hisse les couleurs « La Chartreuse de Parme » Contre les romantiques Henri et les femmes Chapitre II : Balzac, quelle comédie ! La statue de bronze L’ ascension des Balssa Les premiers succès Balzac ennuyeux ? L’étrangère, Ève Hanska… Chapitre III : Flaubert le forçat…

en lunettes, en casquette noire, en paletot bleu ». Arrivée à Bordeaux. Baignade dans la Garonne : « Une atmosphère de cigare éteint, de la boue et des oies qui y pataugent, [avec] un plancher bourgeois [qui] remplace le lit du fleuve » Visite du cimetière de Bordeaux : « Rien que la platitude du lieu était triste ». Musée et bibliothèque : « J’ai touché le manuscrit de Montaigne avec autant de vénération qu’une relique, car il y a aussi des reliques profanes ». Visite de la cathédrale de Bordeaux

Julie : « fleur fanée » après son mariage + héroïne romantique. Larmes pathétiques : 18ème siècle « le goût des larmes » (bonheur de pleurer). Euphorie // déception : esthétique du sublime (« ses montagnes » : symbole du 18ème siècle // avec « la chartreuse »). Une spiritualité amoureuse : Julie. Aveu = Amour = Refus. Le jeu de l’amour et du regard D’après Jean Rousset, la scène de 1ère vue est une scène d’apparition très récurrente dans la littérature occidentale. C’est une scène dynamique

structuration de l’habitat. On a bien en tendance au regroupement de l’habitat en unités plus importantes, usage plus important de la pierre, tendance au regroupement de l’habitat autour de pôles attractifs  lieux centraux. Pôle qui attire : église et cimetière. Facteur de regroupement de l’habitat qui va avec la territorialisation des paroisses. Habitat attiré par des pôles religieux comme le monastère, et volonté d’attirer. Puis le château. Grand pôle. Regroupement autoritaire de l’habitat autour de son

peu ils s’animèrent, ils s’oublièrent, comme s’ils s’étaient retrouvés au café Baudequin. «Ah! mes enfants, dit Irma, il n’y a que ça de bon, rigoler ensemble et se ficher du monde!» Elle roulait des cigarettes, elle venait de prendre le flacon de chartreuse près d’elle, et elle le vidait, très rouge, les cheveux envolés, retombée sur son trottoir de drôlerie canaille. «Alors, continua Jory qui s’excusait de ne pas lui avoir envoyé le matin un livre qu’elle désirait, alors, j’allais donc l’acheter,

le romantisme reprendra avec plus d'éclat, sont traités avec prédilection par ces poètes, et par d'autres, tels William Collins (1721-1759), dont une ode au moins (« Au soir ») est fort belle, et Thomas Gray (1716-1771), dont l'« Élégie dans un cimetière de campagne », d'une mélancolie sereine et d'une forme disciplinée, est touchante dans sa retenue. Le vrai préromantisme britannique vient cependant plus tard : avec les poèmes d'Ossian, de James Macpherson (1736-1796), le livre le plus influent

mer. Par les fenêtres ouvertes, la brise molle d’un soir d’été entrait, tiède et fraîche en même temps, une brise savoureuse d’océan. Les deux jeunes femmes, étendues sur leurs chaises longues, buvaient maintenant de minute en minute une goutte de chartreuse en fumant des cigarettes, et elles se faisaient des confidences intimes, des confidences que seule cette jolie ivresse inattendue pouvait amener sur leurs lèvres. Leurs maris étaient retournés à Paris dans l’après-midi, les laissant seules sur cette