Cimetière Du Père Lachaise

théoricien de l'Esprit nouveau, et précurseur dusurréalisme dont il a forgé le nom. Sa mère, Angelika Kostrowicka, née à Nowogródek (dans le grand-duché de Lituanie, aujourd'hui Navahrudak en Biélorussie) était issue de la noblesse polonaise, et son père était un officier suisse (Grisons), Francesco Flugi d'Aspermont. Arrivé à Monaco en 1897, Guillaume est inscrit aux lycées deCannes et de Nice. En 1899, il passa l'été dans la petite bourgade wallonne de Stavelot, un séjour quitté à « la cloche de

à Auteuil le 10 juillet 1871 et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'œuvre principale est une suite romanesque intitulée À la recherche du temps perdu, publiée de 1913 à 1927. Issu d'une famille aisée et cultivée (son père est professeur de médecine à Paris), Marcel Proust est un enfant de santé fragile et toute sa vie il aura des difficultés respiratoires graves causées par l'asthme. Très jeune, il fréquente des salons aristocratiques où il rencontre artistes et écrivains

contraintes formelles littéraires ou mathématiques qui marquèrent son style. Georges Perec est l'unique fils d'un couple de 2 juifs polonais. Son père Icek Peretz est tué pendant la 1ere guerre mondiale et sa mère Cyrla Szulewicz l'envoya passer son enfance à Villard-de-Lans, avant d'être tué à Auschwitz, où il fut adopté par la sœur de son père. De 1946 à 1954, il fait ses études à l'école communale de la rue des Bauches avant d'intégrer le lycée Claude-Bernard puis le collège Geoffroy-Saint-Hilaire

devint professeur de composition au Conservatoire de Paris et, il reçut la Légion d'honneur en 1820. Il mourut le 8 octobre 1834 à Varennes-Jarcy. Le 13 novembre 1834, son cœur fut déposé au cimetière monumental de Rouen dans un tombeau offert par la ville de Rouen ; il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise Le Solo pour cor n’est pas joué par un cor mais par un basson ici.

également écrit des nouvelles et des romans érotiques. Il pratiquait le calligramme (terme désignant les poèmes écrits en forme de dessins). Sa mère, Angelika Kostrowicka, née dans le grand-duché de Lituanie, était issue de la noblesse polonaise et son père, Francesco Flugi d'Aspermont, était un officier Italien. Arrivé à Monaco en 1897, Guillaume est inscrit aux lycées de Cannes et de Nice. En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise

Honoré Daumier, né le 26 février 1808 à Marseille et mort le 10 février 1879 à Valmondois, est un peintre, sculpteur, caricaturiste et lithographe français. Honoré Daumier montre une prédisposition pour la carrière artistique, vocation dont son père tente vainement de le détourner, en le plaçant d'abord chez un huissier. En 1822, il devient le protégé d’Alexandre Lenoir. L'année suivante, Daumier entre à l’Académie Suisse. Il fait ses premiers pas dans le domaine de la lithographie chez l'éditeur

- CIMETIERES ET CATACOMBES DE PARIS - I) Catacombes L'origine de l'Ossuaire de Paris appelé aussi Catacombes remonte à la fin du XVIII siècle. Les Catacombes rassemblent les restes d'environ six millions de Parisiens, transférés entre la fin du XVIIIe siècle et le milieu du XIXe, au fur et à mesure de la fermeture de nombreux cimetières pour raison d'insalubrité. Le cimetière des Innocents, près de Saint-Eustache, dans le quartier des Halles avait été en usage pendant près de dix siècles et était

et meurt de la tuberculose le 13 août 1863, au 6 rue de Furstemberg à Paris. Il repose au cimetière du Père-Lachaise (division 49). C'est un peintre majeur du romantisme, apparu au début du XIXe siècle, en France. Jeune, il habitait une grande demeure bourgeoise du XIXe siècle. Elle a été transformé depuis 1988 en batiment municipal et abrite à présent la médiathèque de Saint-Maurice. Puis a la mort de son père, Eugène qui n’a que 7 ans, monte sur Paris avec sa mère. Il fréquente alors le Lycée Impériale

précieux. Là, on me rendit les roses ; je les conservai dans un vase. Le lendemain, elles avaient disparu. Sans doute mon chat en avait-il fait son affaire. « Je décidai de me rendre sur la tombe de mon vieil ami Raoul C…, enterré au cimetière du Père-Lachaise, non loin de chez moi. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant deux roses blanches posées sur sa tombe ! Je baissai la tête vers les fleurs et, quand je la relevai, une femme tout de blanc vêtue et au teint très pâle se tenait de l’autre

figure pas sur les registres de l'Académie. Il promet aussi d'écrire que des ouvrages pieux. Il meurt le 13 avril 1695, et fut inhumé le lendemain au cimetière des Saints-Innocents. On peut trouver sur son corps un cilice, pénitence que l'abbé Pouget dit ne pas avoir ordonné. Sa dépouille sera transférée en 1817 au cimetière du Père-Lachaise.