Cimetière Du Père Lachaise

dans la fragmentation, la juxtaposition. III. Analyse d'un poème : Zone. Conclusion : Idée de rupture. Introduction : Guillaume Apollinaire est né le 26 août 1880 à Rome. Il est issu d'une famille liée par sa mère à la noblesse polonaise. Son père est un officier italien. Il s'installe à Paris en 1899 et compose déjà ses premiers poèmes. Avide de lecture, élégant et cultivé, Guillaume travaille pour subvenir aux besoins de sa famille. En 1904, il fréquente Picasso puis devient journaliste, poète

jouée pour la première fois et sous une forme remaniée (certains éléments du texte ont choqué, jugés anti-cléricaux ou immoraux). RÉSUMÉ : • Perdican, fils d'un baron et jeune bachelier, doit épouser sa cousine Camille. Il s'agit d'un projet de son père pour son fils qui rentre chez lui. Mais Camille refuse de l'embrasser. Elle a été élevée au couvent et vient d'en sortir. Etonné, le jeune homme se tourne vers Rosette, la servante de la maison et sa sœur de lait. Tout ceci se déroule dans une noble

Véritable guerre civile, elle oppose les versaillais (armées de prisonniers qui sert le gouvernement) aux ouvriers mécontents des conditions de l’armistice. Elle dure 2 mois et se termine par la semaine sanglante et la défaite des insurgés au cimetière du père Lachaise. 1871 : élections législatives dans un contexte qui oppose partisans de la reprise des hostilités contre l’empire allemand (Républicains radicaux – Gambetta) à ceux qui sont pour la paix (Républicains modérés d’Adolphe Thiers et monarchistes)

inévitable, Paris se couvre alors de barricades. En mai 71, les Versaillés donnent l’assaut de la commune de Paris, lors de la semaine sanglante qui fait des milliers de victimes, otage & communards sont fusillés. Les combats s'achèvent dans le cimetière du père Lachaise. Des 10aines de communards sont fusillés devant le mur des fédérés. C’est ma France conservatrice qui l’emporte sur la France révolutionnaire. Le mouvement socialiste francais est décapité et ce pour longtemps. Des milliers de sympathisant

Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette, autre fille de tapissier, dont il aura cinq enfants. De 1633 à 1639 il est élève au collège de Clermont (actuel lycée Louis-le-Grand), tenu par des Jésuites, l'un des établissements les plus huppés de la capitale. Jean-Baptiste y fait d'excellentes études (latin, mathématiques, physique, philosophie, mais aussi escrime et danse). Grâce à son grand-père, il a pu assister aux représentations théâtrales de

parlera jamais. Il mourra dans des circonstances indéterminées le 8 juillet 1943 près de Metz, dans le train Paris-Berlin qui devait le conduire en Allemagne pour y être interrogé. Le corps de Jean Moulin sera inhumé le 11 février 1944 au cimetière du Père-Lachaise à Paris, puis il sera transféré au Panthéon vingt ans plus tard le 19 décembre 1964 alors que le Général de Gaulle était Président de la République.

une noble polonaise et son père était un officié italien. Arrivée à Monaco en 1887 Guillaume est inscrit aux lycées de Cannes et de Nice. Il devient précepteur dans une famille allemande pour enseigner le français en 1901-1902.Il devient poète,journaliste et critique d'art. Quand éclate la guerre ,Apollinaire part comme volontaire. Il meurt le 9 novembre 1981de la grippe espagnole affaibli par sa blessure et les gaz de combat. Il est enterré au cimetière du père Lachaise à Paris alors que dans les

de Jean Poquelin, et de Marie Cressé, Jean-Baptiste Poquelin est issu d’une famille de la petite bourgeoisie parisienne. Son père occupe une charge de valet tapissier du roi. Tout laisse à penser qu’il prendra la suite du commerce de ses parents. A quatorze ans il sait peu lire, écrire et compter. Mais, en le menant quelquefois avec lui à l’hôtel de Bourgogne, son grand-père lui transmet sa passion pour la comédie. Jean-Baptiste Poquelin a alors envi de devenir comédien et pour cela décide de s’instruire

natale de Victor Hugo). Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798‑1855) et Eugène Hugo (1800‑1837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Ainsi, en 1811, il est, avec ses frères Abel et Eugène, pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid, le Real Colegio de San Antonio de Abad10 11. Vers 1813, il s'installe à Paris avec sa mère qui s'est séparée

personnes qu’il rencontre. En se fondant sur les quelques informations obtenues de ses parents, le narrateur développe également tout un imaginaire concernant leur histoire et leur passé. Une histoire presque héroïque, à l’image de ce que sa mère et son père renvoient à ses yeux. Ce travail d’imagination dure jusqu’à la révélation, par Louise, fidèle amie de ses parents, d’une vérité longtemps dissimulée à leur propos. Cette découverte, bien loin des représentations qu’avait développées le narrateur, est