Cinéma chinois

adapté au cinéma (en 1943 par René Le Hénaff, avec Raimu dans le rôle de Chabert ; en 1994 par Yves Angelo, avec Gérard Depardieu), se révèle particulièrement propice à ce type d’étude. Nous avons donc entrepris, dans le cadre de cette séquence, de comparer ponctuellement l’œuvre de Balzac à son adaptation cinématographique par le réalisateur Yves Angelo, associé au scénariste Jean Cosmos – adaptation à laquelle Nadine Satiat consacre une partie de son dossier (« Le Colonel Chabert au cinéma », p. 170-189)

les films de la guerre du Vietnam. Dans ce dossier spécial guerre du Vietnam en plus d’une filmographie, nous confronterons les films avec leur contexte historique. La guerre du Vietnam est une thématique qui marqua durablement et profondément le cinéma de guerre en particulier américain. Les films sur la guerre de Vietnam sont autant de témoignages voire de prises de positions à propos de ce conflit. Or la guerre du Vietnam fut un conflit complexe, c’est pourquoi pour chaque film cité nous vous

orientations pédagogiqUes UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE Mention histoire de l’art et archéologie 3 parcours : Les 2 premières années sont communes aux 3 parcours suivants : - archéologie (L3) - histoire de l’art (L3) - histoire du cinéma (L3) 1 double cursus : - histoire de l’art et archéologie + histoire (L1 à L3) Mention droit-histoire de l’art et archéologie (Bi-licence) Mention préservation des biens culturels (L2-L3) www.admission-postbac.fr l  Mention archéologie

boulevard Bonne-nouvelle l’attirait pour une raison inconnue. Dans ce boulevard, il avait vu le 8e et dernier épisode du film qui l’avait le plus frappé : « l’étreinte de la pieuvre » qui parle d’un chinois qui se multiplie et qui envahie les rues de New York. Il ne lie jamais le programme avant d’aller au cinéma et il a un faible pour les films français idiots. Le « théâtre moderne », maintenant détruit, représentait son idéal et il y allait souvent. Son rêve est de rencontré une femme nue dans la nuit

l’écriture(ou plus précisément les signes), dont on retrouve des traces datant de l’époque préhistorique. Chaque civilisation a développé depuis son propre système d’expression écrite : écritures idéographiques (les hiéroglyphes égyptiens, les pictogrammes chinois, le linéaire B syrien…) et alphabétiques (latine). Une fois que ces conventions furent établies, ces mêmes sociétés ont enfin pu construire leur « appareil » médiatique. Ainsi le livre est apparu pour fixer la tradition orale (Verba volant scripta

entré, au tournant du XXe siècle, dans l’ère du soupçon. Comment ne pas comprendre le désarroi, voire le recul du spectateur devant l’hétérogénéité des formes, les effets de brouillage qu’aggrave l’effacement des frontières entre roman, théâtre, cinéma, mime ou danse ? Côté texte, rien ne va de soi : au flamboiement du littéraire, on peut opposer le rejet du littéraire ; au kaléidoscope des formes, au brassage des parlers, à la prolifération des discours, un amenuisement de la parole, dont l’aboutissement

L’IMPACT DU CINÉMA DANS LE ROMAN FRANCOPHONE D’AFRIQUE NOIRE Par GUY BEAUDELAIRE TEGOMO Thèse présentée au Département d’études françaises de l’Université Queen’s pour l’obtention du grade de Docteur en Philosophie Queen’s University, Kingston, Ontario, Canada July, 2010 Copyright © Guy Beaudelaire Tegomo, 2010 Résumé La fonction du cinéma telle qu’elle apparaît dans le roman d’Afrique noire francophone et plus particulièrement dans Maïmouna d’Abdoulaye Sadji, Les Bouts

l’ignorance. Aujourd’hui, la donne a changé et la langue de Voltaire n’est plus au top, elle commence à perdre du terrain au profit de l’anglais, mondialisation oblige et grâce aux Américains qui ont fait du hamburger l’encas préféré des jeunes, du cinéma d’action le divertissement d’excellence auprès des ados, du R&B et du rap leurs musics de chevet et des réseaux sociaux Facebook et Twitter des espaces dans lesquels ils peuvent s’exprimer en lâchant bride à leur retenue. La suprématie des Américains

collège, Faïza participe aux activités d'écriture, de vidéo et de cinéma de l'association des Engraineurs qui travaille, depuis longtemps, avec le collège et les jeunes du quartier. Avec l'association, elle a réalisé, en 2004, un court métrage intitulé Rien que des mots. Elle a décidé d’arrêter ses études de Lettres après avoir écrit _Kiffe kiffe demain_, son premier roman publié en 2004, pour se consacrer à l’écriture et au cinéma. Dans _Kiffe kiffe demain_, livre plein de poésie et de drôlerie,

qu’elles soient entre amis, entre amants, ou en famille, elles permettent de se divertirent et de se changer les idées. Il existe différent lieux de sortie, et souvent on choisit les lieux en fonction du contexte ; si l’on est entre ami on choisira le cinéma, en amoureux se sera plutôt le théâtre et enfin pour une sortie familiale avec les enfants on aura tendance choisir le cirque. Cependant ce dernier a longtemps souffert d’une idée reçu qui disait que « le cirque c’est pour les enfants ! », trop de