Cinéma iranien

bande dessinée Persepolis, divisée en quatre tomes étalés entre 2000 et 2003. Elle raconte en fait sa propre histoire qui a vécu la révolution iranienne et son quotidien dans les mœurs et croyances du monde de l’Iran. Elle transmet toute sa trajectoire personnelle et sa vision de l’Iran à travers son personnage d’elle dessiné. Elle décide de porter au cinéma son autobiographie en un long-métrage d’animation avec Vincent Paronneau qui scénarise avant des courts métrages animés tels que, Ragging Blues

j’écoute - 7. j’habite - 8. j’étudie. 2 je commence..., je termine..., je mange..., je dîne..., je regarde..., j’écoute..., j’aime... 3 2. Je mange (un sandwich). - 3. Je regarde (la télévision). - 4. J’écoute (la radio). - 5. J’aime (le cinéma et la musique). - 6. Je travaille (dans une banque). Exemples. Ils sont grands. Ils sont gentils. Ils sont sympathiques. 3 2. Ils sont intelligents et distraits. -3. Elles sont riches et malheureuses. -4. Ils sont grands et musclés. - 5

YASMINA REZA Yasmina Reza reste très discrète sur sa vie. Un flou volontaire persiste autour de sa date de naissance (1960, selon la bibliothèque nationale de France). Elle est née de parents juifs cosmopolites : son père, moitié russe moitié iranien, ingénieur des Ponts et des Chaussées, se lancera ensuite dans les affaires. Sa mère, hongroise, est violoniste. Elle arrête de jouer à la naissance de sa fille. Yasmina Reza obtient une licence de sociologie et d’études théâtrales, échoue au concours

et le développemenl communauthire, 1959. 28 Les programmes cinématographiques pour l jeunesse, a 1959 (épuisé). 29 C o m m e n t réaliszr des filmsà peu de frais, 1960. 30 Le développement des moyens d’information en Asie, 1960. 3 1 L‘influence du cinéma sur les enfants et les adolescents, Bibliographie internationale annotée, 196 1 (épuisé). 32 L e f l et la télévision au service de l’opéra,d u ballet et im des musées, 1961 (épuisé). 33 Les moyens d’information dans les pays en voie de développement

également Sagesse et malice de la Perse, Les monstres n'aiment pas la Lune, Ulysse au pays des fous, Adjar Broderies, Poulet aux prunes et Le soupir. Elle vit aujourd'hui à Paris, dans le Marais, avec son mari suédois. Elle n'exclut pas de se remettre au cinéma, mais se définit essentiellement comme une auteur de bande dessinée. Résumé du film Persepolis se déroule en 1978, il raconte l'histoire de Marjane héroïne comme réalisatrice de ce film, son histoire débute à l'âge de huit ans, une

enfants, même si une grande part de la production ne s'adresse pas qu'à eux. Cette notion de dessin animé a une portée universelle car elle concerne tous les individus. Elle est donc une source d'inspiration fertile pour la littérature ainsi que pour le cinéma. C'est pourquoi nous avons choisi de nous pencher plus particulièrement sur le « cadet du septième art », le dessin animé. Longtemps catalogués comme un genre enfantin, les dessins animés consistaient généralement à des réadaptations de contes pour

BOUKOUS Politiques publiques de l’artisanat : esquisse d’un bilan, Saïd CHIKHAOUI La littérature carcérale marocaine : état des lieux et perspectives de développement, Abdeslam EL OUAZZANI Le cinéma au Maroc – Etats des lieux, Mohamed GALLAOUI Etat de la culture Amazigh après 50 ans d’indépendance (théâtre, cinéma-video, roman, poésie), Abderrahmane LAKHSASSI La création visuelle au Maroc depuis l’indépendance, Mohamed METALSI L’édition dans le Maroc indépendant : 1955-2003, état des lieux, Mohamed SGHIR

investissements en faveur de la création et soutenir l’industrie musicale » ; d’étendre « le prix unique au livre numérique et défendre le passage au taux réduit de TVA » ; d’« assouplir la chronologie des médias pour permettre le développement de l’offre de cinéma en vidéo à la demande »… Présentées par le ministre de la culture et de la communication comme étant « complémentaires » aux dispositions de la loi du 28 octobre 2009, dite « Hadopi 2 », les 22 propositions de la mission « Création et Internet »

assentiment. Après l’approche informationnelle, ce sont des « stratégies de contrôle de l’information » qui sont imposées. On tente d’uniformiser et de mobiliser les consciences. Gramsci parle de l’universalisation de l’américanisme .  L’on a cru que le cinéma allait unir les peuples du monde, amener la paix. Ce rêve s’est rapidement éteint et une guerre entre ces industries a émergé. Le but était de protéger son industrie cinématographique. Les régimes naziste et fasciste ont mobilisé ces industries. 

chaque groupe de personnes. Alors que ces stéréotypes et autres clichés étaient autrefois transmis à travers des récits de voyageurs et des écrivains, ils ont trouvé à partir du XXème siècle dans le cinéma un nouveau moyen de se propager. Le plus puissant que l’on puisse nommer est évidemment le cinéma hollywoodien, qui a vite su s’imposer dans le milieu et imposer au monde ses productions. Plusieurs théories en sciences sociales ont apporté des explications aux relations existants entre groupes