Cirque Flaminius

représentation Théâtres de l’antiquité grecque et latine Pendant l’antiquité les représentations ont lieu en plein air. Les pièces se donnent à l’occasion de fêtes religieuses, très souvent, à la célébration de Dionysos. Le théâtre s’effectue dans des cirques, des théâtres et des amphithéâtres. Les théâtres étaient placés de sorte que les personnes qui étaient en haut des gradins puissent entendre les acteurs. Ex : le théâtre de l’acropole (Grèce, Athènes) Théâtres du moyen-âge Au moyen-âge les spectacles

Il a l’apparence de Jupiter, il est à l’image de la statue qui est dans le temple. Ses troupes sont autorisées à l’accompagner dans la cité. La mise en scène de la victoire est mise sous les yeux des romains. La Pompa (procession) traverse le grand cirque de Rome. Premier membre de la famille consul -> mise en scène triomphale : il essaye de ramener des éléphants. Il ramène plus de 100 éléphants : il fait des radeaux pour transporter les éléphants et les fait remonter jusqu’à Rome. Ce triomphe marquera

spectacle et reçoit une preuve de la légitimité que prétend posséder l’aristocratie. - Les spectacles à Rome sont nombreux et différents : les jeux du cirque, les combats de gladiateurs et les représentations théâtrales. - Les spectacles rassemblent un nombre un nombre important de spectateurs. - Ils se déroulent au circus maximus et au cirque flaminius. Ces lieux pouvaient contenir plusieurs milliers de spectateurs - L’organisation de ces spectacles constituait un enjeu politique, il est organisé par

§ 2. La décadence des classes moyennes et la prépondérance du prolétariat urbain. - § 3. L'oligarchie politique et l'oligarchie financière. LIVRE III — LES TENTATIVES DE RÉFORME CHAPITRE I. — La réforme contre le Sénat. - Les Gracques § 1. Flaminius et Caton - § 2. Tiberius Gracchus. La loi agraire - § 3. La question italienne et Scipion Émilien - § 4. Caïus Gracchus. - L'omnipotence tribunicienne. CHAPITRE II. - La réforme par le Sénat. Drusus et Sylla § 1. Les commencements de la démagogie

de ses mercenaires (c’est l’objet de Salammbô de Flaubert). Hannibal s’enfuit en orient chez le roi Antiochus de Syrie qu’il excite contre les Romains, et s’empoisonne en 183 pour ne pas tomber aux mains des romains qui exigeaient sa livraison. Flaminius défendit à Rome que sa mort était nécessaire, mais l’opinion publique romaine répondit que ce qui était injuste et non généreux ne peut jamais être avantageux à une grande nation, et que de tels prétextes justifieraient tous les crimes. Quant à

villes, conclut un traité avec Carthage, constitua une marine romaine, inaugura un trafic avec la Sicile, la Sardaigne et l’Afrique. Reprenant les grands travaux du premier Tarquin, qu’il acheva au moyen de corvées imposées au peuple, notamment le Cirque, le Capitole, le grand Cloaque, il crut tenir en respect les aristocrates en les menaçant de s’allier contre eux avec les Latins et les Herniques. Sur le mont Albain, Tarquin donna aux Romains le spectacle de quarante-sept villes latines offrant un

légions qui étaient sur le bord des grands fleuves, et les dispersa dans les provinces ; ce qui produisit deux maux : l’un, que la barrière qui contenait tant de nations fut ôtée ; et l’autre, que les soldats [241] vécurent et s’amollirent dans le cirque et dans les théâtres [242]. Lorsque Constantius envoya Julien dans les Gaules, il trouva que cinquante villes le long du Rhin [243] avaient été prises par les Barbares ; que les provinces avaient été saccagées ; qu’il n’y avait plus que l’ombre

sur des portiques, des jardins, des temples monumentaux et des édifices pour les spectacles. Le Champ de Mars se développe considérablement : au 2ème s. av. J.-C., une série de temples et de portiques s'élèvent dans la zone qui entoure le Circus Flaminius, avec la participation d'architectes et d'artistes grecs. L'activité ultérieure de Pompée, de César et d'Auguste ne fera qu'accentuer cette tendance, facilitée par l'existence de terrains publics. On peut lire dans Strabon une description expressive

armée de quatre-vingt-dix mille hommes. Au printemps suivant, Hannibal laissant Plaisance, avec Sempronius sur ses derrières, se jeta résolument dans l’Apennin, et, l`ayant traversé au prix des plus grandes fatigues, envahit l’Étrurie. Le consul Flaminius attendait, dans son camp retranché d’Arrétium, l’attaque de l’ennemi. Hannibal ne commit pas la faute d’aller l’y chercher ; il le dépassa, et comme le général romain s’était mis à sa poursuite, il manœuvra assez habilement pour l’attirer dans une