Citation Corneille Theatre

CHEVRIER Thomas 2°1 D.H.C de français. Sujet : « Pensez-vous comme l’exprime Racine dans la préface de Bérénice que les œuvres de génie utilise un minimum de matière. » Citation de Jean Racine. Jean Racine est un auteur du XVIIème siècle. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre pour le roi Louis XIV notamment Bérénice, pièce à succès auprès de la cours, d’où, dans sa préface il est parlé d’œuvres de génie. De manière générale, qu’est-ce qu’une œuvre de génie. C’est une œuvre de qualité

sortes de divertissements permettent de subvenir à ce besoin notamment en littérature. On peut distinguer au théâtre un genre qui se définit par sa capacité à faire rire le lecteur, ou le spectateur : la comédie. On peut pourtant être amené à réfléchir sur les réelles fonctions de ce genre théâtral comme le fait remarquer Jacques Lassalle en proposant de faire graver au fronton de tous les théâtres la formule « C’est ce qui est le plus drôle qui est le plus profond. » Il est vrai que la comédie est souvent

« Le naturel, le vrai, celui du théâtre, est la chose la moins naturelle du monde. […] N’allez pas croire qu’il suffit de retrouver le ton de la vie. […] C’est joli, la vie, mais cela n’a pas de forme. L’art a pour objet de lui en donner une précisément et de faire, par tous les artifices possibles, plus vrai que le vrai. » La Répétition, Anouilh, 1950. > En vous appuyant sur vos connaissances personnelles, vous commenterez cette réflexion, tant en ce qui concerne le texte que la représentation

Grecque,  ou à cette époque  des pièces de théâtres étaient données en l’honneur de Dionysos, grâce à des auteurs comme Sophocle, Eschyle, Euripide et Sénèque. Mais l’âge d’or de la tragédie est sans doute le XVII siècle,  avec des auteurs comme Racine, Corneille qui l’ont codés notamment avec la règle des trois unités qui peut être défini par cette citation de Boileau « qu’en un lieu, qu’en un jour un seul fait accomplit tienne jusqu’a la fin le théâtre rempli  » C’est ainsi qu’on peut se poser la

appuyant sur le corpus de documents et sur les pièces que vous connaissez, vous commenterez et apprécierez cette affirmation. • Sujet III : Écriture d’invention « Je suis maître, je parle : allez, obéissez » (Corneille, Sertorius, et Molière, L’École des femmes). Imaginez deux scènes de théâtre, l’une comique et l’autre tragique, dans lesquelles figurera cette réplique. (16 points) (4 points) -1- 1re ES et S Document A FRANÇAIS Durée : 4 heures Sujet 65 Beaumarchais répond à un critique

Le théâtre est aujourd'hui à la fois une représentation d'une pièce qui peut prendre diverses tournures, tragique ou bien comique par exemple... Mais aussi un genre littéraire à part entière. « Toute mise en scène d'un texte de théâtre est une recréation. », cette citation affirme que l'on créer quelque chose lorsqu'on adapte un texte théâtral à la scène pour être jouer. Pourquoi parle t-on alors de recréation et pas simplement de création? Dans une première partie, nous nous intéresserons au texte

II) Principes et thèmes du classicisme Plusieurs doctrines régissent l’esthétique classique : * Plaire et instruire : plaire pour toucher le public, tout en le purifiant de ses passions, voilà ce qu’enseigne la Fontaine dans sa célèbre citation : « Il faut plaire pour instruire ».  L’art s’apprend et se maîtrise, et une œuvre accomplie est l’aboutissement d’un long travail. * Rechercher le naturel : Le sublime se doit d’être naturel, et simple, et le naturel se doit d’être clair, ce

soit dans les œuvres antiques, les romans de chevaleries, les pièces de théâtre, les œuvres réalistes ou les romans modernes. Cet amour qui peut être idyllique, courtois, source de conflits suscite l’intérêt de nombreux philosophes et penseurs. Pascal, penseur du XVIIème siècle s’intéressera aux causes et aux effets de l’amour dans le fragment 32 de ses Pensées. Il écrira ainsi que « La cause en est un je ne sais quoi. Corneille. Et les effets en sont effroyables. Ce je ne sais quoi, si peu de chose

Le Menteur de Pierre Corneille Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre Filmé au théâtre Hébertot en avril 2002. Réalisation pour la Copat : Philippe Miquel Mise en scène : Nicolas Briançon Assistante : Julie Grimoud Avec : Nicolas Vaude, Henri Courseaux, Pierre Maguelon, Marie Piton, Olivier Claverie, David Seigneur, Christelle Chollet, Anne Charrier, Fanny Herrero, Nicolas Biad-Mauduit Décor et costumes : Pierre-Yves Leprince Lumière : Gaëlle de Malglaive Durée : 107’ Présentation

La Fontaine : « Bonhomme, c’est ce coup // qu’il faut, vous m’entendez, / […] / Disant ces mots, il fait // connaissance avec elle », il déclare « complètement impossible » d’« arrêter sur c’est ce coup ou sur il fait ». De même, dans ce vers de Corneille : « Ciel ! À qui voulez-vous // désormais que je fie ? », il juge qu’ «on ne peut s’arrêter sur à qui voulez-vous, qui ne fait pas un sens », et en conclut que « la césure est donc véritablement à ciel. » Mais Ténint, prosodiste, perçoit intuitivement