Citigroup

2007[24] : * Goldman Sachs : 1,5 milliard de dollars. * Bear Stearns : 0,7 milliard de dollars. * Lehman Brothers : 0,7 milliard de dollars. * Morgan Stanley : 1,5 milliard de dollars. * Merrill Lynch : 8,4 milliards de dollars. * Citigroup : 5,9 milliards de dollars[25]. * UBS : 11 milliards de francs suisses[25]. * Crédit suisse : 2,5 milliards de francs suisses. * Deutsche Bank : 2,2 milliards d'euros. D'autres importantes dépréciations d'actifs ont été passées au titre

milliard de dollars – Bear Stearns : 0,7 milliard de dollars – Lehman Brothers : 0,7 milliard de dollars – Morgan Stanley : 1,5 milliard de dollars – Merrill Lynch : 8,4 milliards de dollars – Citigroup : 5,9 milliards de dollars – UBS : 11 milliards de francs suisses – Crédit suisse : 2,5 milliards de francs suisses – Deutsche Bank : 2,2 milliards d'euros ■ Importantes dépréciations d'actifs des banques

la banque de détails, privilégiant la banque d’investissement qui a été en première ligne de l’effondrement financier. En outre, les banques les plus frappées sont celles qui se sont le plus fortement exposées aux risques de la finance moderne : Citigroup, RBS, UBS ou encore Lehman Brothers pour qui ce sera fatal. La course à la taille, à la polyvalence, à l'internationalisation et à la haute technicité tous azimuts, ont eu de graves conséquences pour certains acteurs qui ont été surpris car jusqu’en

Selon une estimation du Washington Post, les établissements bancaires, de crédits et d'assurance ont perdu près de 390 milliards de dollars. La crise a déjà éliminé Bear Stearns, rachetée par JP Morgan. De leurs côtés, des géants du secteur comme Citigroup licencient beaucoup et font appel aux capitaux étrangers. De plus, la crise a également eu des conséquences néfastes sur le secteur industriel. En effet, le secteur automobile représentait environ 3 millions d’emplois aux USA : c’est-à-dire plus

adossés à des créances subprimes par la Bear Stearns alors qu’apparaissent aussi les premiers défauts de paiements. Face à l’accumulation de mauvaises nouvelles, la FED décide de baisser d’un demi point son principal taux directeur. Le 1er octobre Citigroup annonce pour 5,9 milliards de dépréciations d’actifs. La panique s’installe puis se généralise alors que la situation des emprunteurs ne cesse de se dégrader. En janvier 2008, les saisies ont progressé de 90%. Au printemps 2008, on estime au total

partir d’octobre 2007, l’attention se porte sur la banque d’affaires américaine MERRILL LYNCH qui détenait des quantités extrêmement importantes de créances hypothécaires douteuses. Puis c’est au tour de la plus puissante des banques américaines, CITIGROUP, qui détient également de très grandes quantités de créances douteuses, d’annoncer des pertes record. Le 24 janvier 2008, la SOCIETE GENERALE annonce une perte de 4,9 milliards d’euros, soi-disant liée au « débouclage » des positions frauduleuses

dépréciation de 1,5 milliard de dollars. • Bear Stearns : 0,7 milliard de dollars. • Lehman Brothers : 0, 7 milliard de dollars. • Morgan Stanley : 1,5 milliard de dollars. • Merrill Lynch : 8, 4 milliards de dollars. • Citigroup : 5,9 milliards de dollars. • UBS : 11 milliards de francs suisses. • Crédit Suisse : 2,5 milliards de francs suisses. • Deutsche Bank : 2,2 milliards d'euros. Les estimations du coût global de la crise sur les banques (pertes et

d'obligations sécurisées à taux fixe et d'injections massives de liquidités avant de relever les taux. "La BCE fournira au marché au mois de décembre les premières grandes lignes sur le début de sa stratégie de sortie", estime Jürgen Michels, chez Citigroup. La BCE a servi mercredi aux banques 75 milliards d'euros dans le cadre de son deuxième appel d'offres de refinancement à un an à taux fixe, une de ses mesures pour inciter les banques à prêter davantage. GUETTER LES SIGNES D'INFLATION C'est bien

japonais Nintendo a quasiment été multipliée par quatre. Modeste en termes de performances, celle-ci mise tout sur la convivialité et fait un malheur en 2007 sur les marchés mondiaux, loin devant ses concurrentes. Des analystes japonais du Nikko Citigroup ont prévu que la console se vendrait à trente millions d'exemplaires dans le monde. Aujourd’hui avec 67 millions de consoles vendues, la Wii détient les parts de marché les plus importantes sur l’ensemble des consoles next génération. En effet, les

fmanciers conventionnels. L'apparition récente d'instruments « spéculatifs » islamiques témoigne du fait que les frontières entre la finance islamique et la finance traditionnelle s'estompent de plus en plus. Les grandes banques internationales, telle Citigroup, HSBC ou Deutsche Bank, qui ont développé leur propre offre de produits islamiques, sont un moteur important de cette convergence. LES DÉFIS POUR LES PA YS MUSULMANS La situation économique de nombreux pays musulmans est assez facilement prévisible