Citoyen Eps

et les privilèges. Les nobles libéraux votent l'abolition des droits féodaux, des dimes et des privilèges. Cette décision fut limitée les jours suivants mais cette abolition met fin à l'ancien régime social : il proclame l'égalité de tous les citoyens. Elle fixe les principes qui fondent un « nouveau régime » et proclament les droits naturels de l'homme. 5 et 6 octobre 1789 : la foule ramène le roi à Paris. La foule vient chercher le roi et le ramène au palais des Tuileries. Le roi

constant d’évaluation, de mesure entre ce que l’on veut et ce qui est, à distance de toute sacralisation de la volonté rousseauiste. C’est ainsi qu’ « il passe d’une mathématique sociale de la décision centralisée à une science sociale de la décision citoyenne », comme le souligne très justement Jean-Louis Morgenthaler, en essayant « d’établir dans quelles conditions une assemblée peur parvenir à une décision rationnelle » (11), ce qui fait une part de son débat avec Sieyès, nous le verrons. Reste quand

d'origines profitent a la société Américaines, mais en France le problème persiste. Pensez-vous que le racisme résoudra tout vos problèmes ?, non , bien au contraire cela ne fait qu'affecter la France, malgré La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, Article 1er : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune » . Pourtant, les représentants du peuples français, constitués en assemblés national, considère

européens vont venir ensuite en Amérique, à partir de 1783, quand la paix est signée. C'est une terre nouvelle. Tout y est possible. Ce texte va donc être un modèle pour d'autres textes, comme par exemple La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, où l'on retrouve les idées principales des américains. La Révolution des Etats-Unis sera également un élément déclencheur pour beaucoup d'autres pays. Si les Etats-Unis l'on fait, pourquoi pas les autres ? L'Amérique est un exemple pour prouver

des femmes dans les différents pays de l’Union Européen Depuis toujours les femmes ont acquis bien après les hommes un statut de citoyenne à part entière. Dans toute histoire de l'humanité, les femmes n'étaient qu'un "outil de procréation", uniquement pour assurer la descendance de la famille. Même le texte de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, parlait des libertés des femmes mais la situation de la femme n'avait pas changé. Ce retard de la femme dans la vie politique causé par

mouvement révolutionnaire, et elles protestaient de leur non-représentation aux Etats généraux : avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle disposèrent d'une égalité en droits, mais non pas de droits civiques. La femme est un citoyen comme les autres, comme le disait Olympe de Gouges dans La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en 1791 : "la femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits". Pourtant elle n'est pas considérée en tant que tel. Elle est inférieure

soldée par un coup d'Etat de Louis-Napoléon Bonaparte ainsi que de la Révolution de 1848. Maurice Aghulon qualifie ce régime : d'apprentissage de la République. La séparation des pouvoirs fait même partie de la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. » article 16 cela montre donc son importance capitale. Par conséquent, il est nécessaire que les pouvoirs

qu'ils relèvent d'une même appartenance nationale. En France, depuis la Révolution, la nation est un ensemble de citoyens détenant la puissance politique (souveraineté). Il y a superposition entre la nation, le peuple et l'Etat auquel la nation délègue sa souveraineté. "Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation" (Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen). Toutes les nations ne sont pas constituées en Etat. Exemple : la nation kurde qui géographiquement est répartie

anticléricaliste, il prôna inlassablement la séparation de l'Église et de l'État et s'opposa à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des Droits de l'Homme et du Citoyen, il travailla ensuite à L'Aurore et prit une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Élu sénateur en 1902, bien qu'il ait critiqué dans sa jeunesse l'institution anti-républicaine du Sénat et de la présidence de la République, il fut nommé

anticléricalistes, il prôna inlassablement la séparation de l'Église et de l'État et s'opposa à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des droits de l'homme et du citoyen, il travailla ensuite à L'Aurore et prit une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Élu sénateur en 1902, bien qu'il ait critiqué dans sa jeunesse l'institution antirépublicaine du Sénat et de la présidence de la République, il fut nommé