Citoyenneté Romaine Et Athénienne

par exemple « state » en anglais, état, stabilité, stable, établissement, établir ; tous ces termes renvoient toujours à une idée de stabilité, de fixité, ce qui correspond très bien à un Etat, qui est immuable. Il ne change pas, il survit. Les Romains connaissaient ce concept, mais l’appelaient différemment. Il s’agissait à l’époque de la res publica, ou « chose publique ». II/ Aux origines de l’Etat A/ L’Etat pendant l’Antiquité L’idée d’Etat est déjà présente chez un certain nombre de

Aspasie doit sa célébrité à 2 hommes : Pericles le plus puissant des athéniens lors du siècle de péricles et à Socrate car elle était sa interlocutrice privilégiée. Aspasie signifierait « saluer avec affection »II- Une double étiquette a) Être une femme au 5éme siècle Être une femme à Athènes n’ai pas facile. L’un des seul

française a essayé de faire table rase du passé, de créer un nouveau droit et elle a réussi. La révolution française, pour créer un nouveau droit, s’est fondée sur un modèle ancien qui est la civilisation grecque de l’Antiquité et sur la république romaine. Elle a utilisé des systèmes politiques du passé. Le droit, en général, n’aime pas beaucoup les révolutions, les changements soudains. Le but du droit est de régler les relations humaines de façon stable, durable et prévisible, ce que les hommes

la force publique. L’émergence de la conception moderne de l’État Le terme même d’État s’est imposé relativement tardivement. Il correspond à la koinonia politike grecque (que l’on peut également traduire par société civile) ou à la res publica romaine (la chose publique), ou, plus clairement, au stato utilisé par Machiavel pour désigner les cités-États d’Italie. En français, il apparaît sous l’Ancien Régime, mais il désigne alors plutôt la situation de la personne dans la société et, au-delà, la

communauté biologique en inventant des mythes en vertus desquels les différentes composantes des peuples grecs auraient eu un ancêtre commun.    Deux nuances : certains grecs s'estimaient autochtones, par opposition aux autres : les envahisseurs. Les Athéniens, Ionien, sont autochtones par opposition au Dorien.    Ce qui unit tous les grecs : ne pas être un barbare. De fait il y des préjugés importants, Ex : Aristote, estime que les barbares non pas la capacité de raisonner.     II] La Grèce, réalités

d’un régime (vile Athènes et Rome) Les medecs sont des étrangers asie mineure SOLON (législateur mythique) accorde droit cité au medek (droit de cité n’est pa la citoyenneté il peut résider mais ne participe pas à la vie politique ) les droits fondamentaux de la citoyenneté le 1er la liberté à la fois individuelle et politique (athénien libre de tte contrainte seule soumission c’est kil doivent à la loi ) libre = responsable. Esclave ne font pas partie du corps social escalvage condititon essentiel

dans le peuplement de la Terre CHAPITRE 1 La place des populations de l’Europe dans le peuplement de la Terre (de l’Antiquité au XIXe siècle) ..................................... 3 PARTIE II L’invention de la citoyenneté dans le monde antique CHAPITRE 2 L’invention de la citoyenneté dans le monde antique ...................... 15 PARTIE III Sociétés et cultures de l’Europe médiévale (XIe-XIIIe siècles) CHAPITRE 3 CHAPITRE 4 CHAPITRE 5 Un monde chrétien (XIe-XIIIe siècles) .................

d’homme mais à tête de taureau. Minos, effrayé, décide d’enfermer le Minotaure dans un labyrinthe sans issue conçu par son architecte Dédale. Tous les 9 ans, 7 jeunes gens et 7 jeunes filles y périssent, offerts en sacrifice. C’est le tribut que les athéniens doivent au roi Minos. Ils sont délivrés de ce cauchemar grâce à Thésée, qui tue le minotaure et réussit à sortir du labyrinthe grâce au fil d’Ariane, fille du roi tombée amoureuse de lui. II) Des envahisseurs venus du nord En 1100, des peuples

donc substitué à la naissance comme fondement du pouvoir). Est-ce la démocratie ? Ces réformes n’établissent pas la démocratie d’autant que la noblesse est la + fortunée mais ouvrent la voie à la conquête de l’égalité politique pour tous les Athéniens. 2°. Les réformes de Clisthène (lire le §1.1 p. 14). a) nouvelle répartition des citoyens en secteurs, dèmes (municipalités) et tribus. Tous les citoyens sont donc maintenant répartis sans distinction d’origine sociale détruisant les liens

connaissances sont acquises, la recherche permanente du sens, l'exercice du raisonnement et de l'esprit critique contribuent à la formation des élèves ; ces opérations leur donnent une vision dynamique et distanciée du monde, fondement nécessaire d'une citoyenneté qui devient au lycée une réalité effective. Dans la panoplie des supports et méthodes que peut mobiliser le professeur d’histoire et de géographie pour construire sa démarche pédagogique, les technologies de l’information et de la communication