Citronnier

lieu, nous allons démontrer qu’Emma a des cotés rêveurs. Dés le début de l’extrait, Emma songe a son désir de lune de miel, elle décrit par ailleurs un lieu aux abords exotiques « noms sonores », « suaves paresses », « au bord des golfes », « citronniers ». Puis elle en vient à imaginer d’autres lieux tels que les « chalets suisses » et les « cottage écossais ». Nous pouvons donc remarquer que Flaubert débute une critique des romans sentimentaux. Enfin Flaubert parvient à mêler la rêverie d’Emma

romans de jeunesse, voit dans le mariage un événement fantastique. En effet, elle ne perçoit dans cette union que « les plus beaux jours de sa vie, la lune de miel » (l.1). Mais aussi « la douceur » (l.2), le coucher du soleil et « le parfum des citronniers » (l.6). Elle pense qu'en épousant Charles Bovary, elle pourra accéder à un autre monde plus bourgeois que son quotidien : elle passe la majeure partie de son temps dans une ferme avec son père; mais aussi entretenir des discussions intéressantes

pays nouveau, d'où ils ne reviendraient plus. Ils allaient, ils allaient, les bras enlacés, sans parler. Souvent, du haut d'une montagne, ils apercevaient tout à coup quelque cité splendide avec des dômes, des ponts, des navires, des forêts de citronniers et des cathédrales de marbre blanc, dont les clochers aigus portaient des nids de cigognes. On marchait au pas, à cause des grandes dalles, et il y avait par terre des bouquets de fleurs que vous offraient des femmes habillées en corset rouge. On

dattes, dont les fameuses deglet nour, s’y développe une culture maraîchère, essentielle à la vie des habitants de ces oasis. Élancés et altiers, les palmiers-dattiers dominent les vergers composés de grenadiers, d’abricotiers, d’orangers et de citronniers. A leur pied, à l’intérieur des parcelles soigneusement dessinées, on cultive des légumes et des fleurs. Les dattiers produisent en automne la deglet en nour, le « doigt de lumière », l’une des plus savoureuses dattes . On en extrait également

barbares. Axe 1 : du témoignage apparemment objectif …. Beaucoup de noms propres ( Hollande, La Haye, Barneveldt, Séville , un Espagnol, Notre Dame d'Atocha) , de termes concrets ( «  coupait la tête » 56, « manteau noir » 61, «  orangers et citronniers » 76, «  gradins couverts d'étoffe» 77, « taureaux» 84 , la totalité des lignes 86-91) donnent à ce passage un fort effet de réel . On a vraiment l'impression qu'il s'agit d'un reportage fait par l'envoyé spécial Scarmentado. Tout est à nouveau

lundi Je m’appelle Raimond, je suis un citron. Je vit dans un citronnier en haut d‘une colline a côté d‘autre citronnier, je passe mes journée a ne rien faire a par murir est bronzé au soleil. La nuit j’ai très froid car je suis dehors même si j’ai une peau très dur est très épaisse je n’ai pas très chaud. J’ai déjà essayer de me cacher derrière une feuille mais cela ne me donnait que très peu de chaleur. J’ai de plus en plus froid la nuit car je suis habitué a avoir chaud la journée. Je me demande

vastes panoramas aux  pieds d'un spectateur solitaire et mélancolique. Le troisième cliché, la description du panorama très étendu est portée par les images d'un exotisme de pacotille au décor très conventionnel: « cité splendide », « forêt de citronnier », « cathédrale de marbre blanc », « palmier », « gondole », « hamac », … Ces références géographiques évoquent le Midi, l'Espagne, l'Italie, la Corse. Enfin, le quatrième, à partir de la l.18 « c'est la qu'ils s'arrêteraient pour vivre », on

d’autre rêves » montre qu’Emma part dans des rêveries. La surcharge de détails donnés par Flaubert : « Au galop de quatre chevaux, elle était emportée depuis huit jours vers un pays nouveau » ; « des dômes, des ponts, des navires, des forêts de citronniers et des cathédrales de marbre blanc dont les cochets aigus portaient des nids de cigogne. » rend ce passage romantique avec les paysages mais aussi qu’il est le temps de tous détailler. Il fait des énumérations : « on entendait sonner les clochers

on monte au pas des routes escarpées, écoutant la chanson du postillon, qui se répète dans la montagne avec des clochettes des chèvres et le bruit sourd de la cascade" et "Quand le soleil se couche, on respire au bord des golfes le parfum des citronniers ; puis, le soir sur la terrasse des villas, seuls et les doigts confondus, on regarde les étoiles en faisant des projets". A travers ces deux phrases, Flaubert fait une description idyllique de leur lune de miel et de la nature. En revanche, dans

aux hyperboles qui dominent le texte, lignes 8 et 9, «composée de deux rang de briques couvertes d’une épaisse surface de plomb d’une extrémité à l’autre ». On a aussi des énumérations aux lignes 10 et 11, « des forets d’oliviers, d’orangers, de citronniers, de palmiers, de girofliers, de cocotiers, de canneliers », des comparaisons, « n’était qu’une faible imitation de ces antiques merveilles » aux lignes 16 et 17. Nous retrouvons une insistance sur la beauté (les matières comme le marbre) et une