Civilisation Mésopotamienne

peuples d'Afrique et des minorités noires d'Amérique, d'Asie et d'Océanie. » Pour Césaire, « ce mot désigne en premier lieu le rejet. Le rejet de l'assimilation culturelle ; le rejet d'une certaine image du Noir paisible, incapable de construire une civilisation. Le culturel prime sur le politique. » La Négritude vise à rejeter d’une part le projet français d’assimilation culturelle et à promouvoir l’Afrique et sa culture, dévalorisées par le racisme issu de l'idéologie colonialiste. -------------

réellement une « frontière » entre ces deux aspects du texte. Dans une première partie, nous étudierons les aspects civilisés de l’Odyssée pour nous concentrer, dans une deuxième partie, sur les personnes non civilisées de l’Odyssée. I. La civilisation dans l’Odyssée. Lorsque Ulysse arrive dans une nouvelle contrée, il se pose la question de savoir s'il va tomber sur des brutes, des barbares ou sur des hommes qui vont l'accueillir avec une grande hospitalité. Cette question met en jeu la

déterminante dans notre vie professionnelle. Etre capable de s'adapter s'acquiert aussi par le développement de l'intelligence et nécessairement par le biais de l'instruction. Le bonheur et l'instruction sont intimement liés et conditionnent dans notre civilisation, notre mode de vie. C'est donc en toute logique, que nous construisons notre société et façonnons notre bonheur en fonction de notre éducation. Dans un second temps, la culture s'avère inutile si l'on considère uniquement son propre bonheur

l'opposition entre deux nations, les qualités des Tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Nous verrons en quoi ce discours présente les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire. Lecture du texte Annonce des axes Proposition de plan : I. Les méfaits de la civilisation : Destruction et immoralité des colons : Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner

Peu de mots sont plus employés, peu de mots sont moins définis que celui-là. On entend quelquefois par civilisation un état de mœurs adoucies. On entend d'autres fois la facilité, la fréquence des relations entre les hommes. On imagine encore qu'être civilisé, c'est avoir des chemins de fer et causer par le téléphone. En d'autres cas, au minimum, cela consiste à ne pas manger ses semblables. Il ne faut pas mépriser absolument ces manières un peu diverses d'entendre le même mot, car chacune est précieuse ;

khaldounienne : est une méthode globalisante à travers laquelle il voie en la société un tout dans lequel s’interagissent le politique , l’économique, le sociale, le culturel. En un mot IK détermine la société dans une approche globalisante de la civilisation. Dans la vision khaldounienne la renaissance d’une société revient à un facteur composite (interaction en l’économique, le culturel, et le sociale) dans lequel, le déterminant idéologique en est le premier élément (la religion). Mais, l’auteur

lieu naturel mais civilisé qui nous rapproche de l’Éden sans les risques du sauvage. Retour aux sources. « jardin secret » = jardin à soi clos l’intimité, c’est le symbole de la femme (fleurs..ça produit) Le Désert Lieu ou il n y a pas de civilisation, hostile Confronté a soi même L’Eau C’est la source de vie, agent de purification (de la même façon ds les romans films héroïne a été souiller on se prend une douche) C’est la fécondité, (la pluie nourri la terre) Eau vive= cascade Eau

cette même répulsion, en présence de manières de vivre, de croire ou de penser qui nous sont étrangères. Ainsi l'Antiquité confondait-elle tout ce qui ne participait pas de la culture grecque (puis gréco-romaine) sous le même nom de barbare ; la civilisation occidentale a ensuite utilisé le terme de sauvage dans le même sens. Or derrière ces épithètes se dissimule un même jugement : il est probable que le mot barbare se réfère étymologiquement à la confusion et à l'inarticulation du chant des oiseaux

recommencée », on ne peut impunément déverser n’importe quoi… d’où vient ce revirement ? D’une part, de l’accroissement de la population, qui fait de l’homme un animal toujours plus « gros »et plus envahissant ; d’autre part, des progrès de la civilisation technique qui étendent démesurément ses pouvoirs. Je sais, il y a des gens qui disent, enivrés par nos petits bonds dans le cosmos : « Eh bien, quand l’homme aura épuisé le capital nourricier de la planète, quand il aura pillé tous les magasins

devenir ce que nous sommes et que si la religion était restée dans le même état, nous serions encore en ce moment sur le dos d’un chameau, nous dirigeant vers la Terre Sainte. Références 1- LANGLOIS Georges et VILLEMURE Gilles, «Histoire de la civilisation occidentale», Groupe Beauchemin, 4e édition, 2005, p.133-134 2- Ibid. p.169 3- Ibid. p.200