Claire Bretecher

Roméo et Juliette I Un récit tragique Roméo Montaigu et Juliette Capulet sont des personnages d’une tragédie de William Shakespeare (1564-1616). Cette dernière raconte l’histoire de deux familles ennemies. Lors d’un bal organisé par sa famille, Juliette rencontre Roméo et s’éprend d’amour pour lui. Cet amour étant réciproque le jeune homme consultera son confesseur le Frère Laurent qui lui fait comprendre son inconscience. Mais voyant en cette union l’espoir de réconcilier les Capulet et les

Deux amants au destin tragique. Roméo Montague et Juliette Capulet ont été retrouvés morts hier dans un tombeau à Vérone. C’était deux amants de familles rivales qui s’étaient mariés en secret. On les a retrouvé hier soir après l’appel du prêtre Frère Laurent, ami des deux jeunes gens, qui a alerté la police. Il s’agit de deux suicides, mais l’on a aussi retrouvé le corps d’un autre homme. D’après la police il s’agit d’un meurtre suite à un duel avec Roméo. Ce dernier qui

l’analyse de l’œuvre : Pour commencer cette analyse, je vais vous faire écouter les 40 premières secondes du morceau qui contient le 1er couplet… Alors comme vous avez pu l’entendre, la chanson démarre avec une intro de batterie où le jeu de la caisse claire rappelle les battements de tambour militaire. Ensuite vient le riff de la guitare qui reviens constamment tout au long de la chanson. Ce riff est énergique, puissant, dynamique et militaire. Les notes évoluent entre moyennement fort et fort, ce qui

citron , bleu et ocre rouge) .le jaune citron contraste avec le bleu foncé se qui fait ressortir la laitière qui se détache comme l’élément principale du tableau . la lumière : la lumièrese diffuse dans la pièce progressivement se qui produit un léger clair-obscur et fait ressortir les deux premier plans . matériaux et techniques : 4. composition du tableau 1)composition globale Composition triangulaire ou pyramidale . 2)lignes de forces Les différentes lignes de forces forment un

la batterie, jouée par Fergl Lawler, la guitare électrique, joué par Noel Hogan, Dolores O'Riordan, et la basse, joué par Mike Hogan. -La batterie fait partie de la famille des percussions, elle est composé de plusieurs instruments dont la caisse claire, les cymbales, la grosse caisse, ect... -La basse et la guitare électrique font parties de la famille des cordes pincées. 3. Rôle des instruments : -La guitare électrique apporte un air militaire qui nous met dans le contexte de la guerre. -La basse

l'arrivée de l'accord en majeur donne un sentiment d'espoir lorsque Bono entonne « How long, how long must we sing this song? ». Durant le refrain, les chœurs de The Edge renforcent cette impression, avec un semblant d'écho harmonique. La caisse claire et la guitare sont absentes de cette partie. Celle-ci s'écarte musicalement de la brute agression des couplets, donnant ainsi une structure plus réjouissante à la chanson[o 3]. Bono dit d'ailleurs que « l'amour... est un thème central » de Sunday

faut-il de plus apprendre dans les livres Qui nous parlent de choses qui ne sont point d’ici ? Et puis elle est vraiment trop triste leur école, Triste comme Ces Messieurs de la ville, Ces Messieurs comme il faut Qui ne savent plus danser le soir au clair de lune Qui ne savent plus marcher sur la chair de leurs pieds Qui ne savent plus conter les contes aux veillées. Seigneur, je ne veux plus aller à leur école.

Georges Rousse La photographie intervient à plusieurs étapes, comme outil pour créer un espace fictif de départ et ensuite comme témoignage de ce qui a été fait, comme le souvenir d’un « ça a été » tel que le décrit Roland Barthes dans La chambre claire . On pourrait faire de fructueuses comparaisons entre le principe photographique déjà inventé avant la Renaissance et portant le nom de Camera Obscura, l’émergence de la représentation en perspective à cette même époque et l’usage de l’appareil

obligé de concevoir que le sujet a exister un jour. A partir de la création de la photographie, les arts se sont libérés de l'obsession de la ressemblance. Selon Bazin, c'est une conséquence de cette invention. II - Roland Barthes, La chambre claire, 1980 : le « ça-a-été » Selon Barthes, il y a un message sans code dans la photographie, une trace, une emprunte laissé par le réel qui nous atteint et nous y rattache. La photo est une continuité de la forme initiale qui pourtant fait partie du

des regards et des attitudes, le Docteur Tulp ne vient qu’en seconde position. Il est évident, outre la composition attentive des personnage, le décor sobre et le goût pour le détail, qu’il s’imprime nettement dans les techniques caravagesques du clair-obscur tout en donnant un sens différent à son ensemble. Plus Rembrandt avancera en âge et plus il laissera l’ombre, la « ombra mortis » prendre de la place dans ses oeuvre, comme si il existait une imprégnation de la mort elle même dans son pinceau