Classiques Et Néoclassiques

ce n’est donc pas l’épargne qui détermine l’investissement, mais l’inverse. Pour les classiques, l’épargne est une vertu pour l’économie. Selon Adam Smith (économiste classique du XVIIIe siècle), « tout homme économe [est] un bienfaiteur de la société. » Toute la réflexion des classiques et néoclassiques sur l’épargne et la croissance par bâti une fameuse « loi » bâtie par l’économiste néoclassique Jean-Luc Say selon laquelle l’offre crée toujours sa propre demande : le revenu issus de l’offre

THEORIE CLASSIQUE ET NEOCLASSIQUE I. Théorie Classique A. Contexte Economique Europe occidentale connaît de profondes mutations au 18éme Siècle : - Structures mentales : Libéralisme et individualisme => Liberté et initiative individuelles => obtenir ce que seul l’Etat pouvait octroyer. - Domaine technique : Machines pour la production, manufactures (Colbert ss Louis 14), Div du travail de + en + poussé. - Structures institutionnelles : Révolutions => nouvelles bases juridiques =>

de guerre entre les individus, la « guerre des acheteurs et des vendeurs » : La concurrence dans l’histoire de la pensée économique Article connexe : Histoire de la pensée économique. La notion de concurrence chez les économistes de l’école classique Adam Smith dans la Richesse des Nations insiste sur deux aspects de la concurrence : sa plus ou moins grande intensité a une influence sur le prix6, elle contribue à faire baisser les profits. « L’accroissement des capitaux en augmentant la concurrence

CHAP 12 : Monétarisme et nouvelle macroéconomie classique. Il y a eu un renouveau de l’analyse néoclassique à partir des années 1960/1970, sous l’impulsion de Milton Friedman et le monétarisme, dans un contexte de crise du keynésianisme. On a constaté une certaine impuissance de la politique budgétaire, une montée des PO, l’augmentation des déficits publics, et l’échec des politiques de relance, très forte instabilité de la courbe de Phillips. Le monétarisme a été relayé à partir

commerce international et celle de la croissance endogène. Section 1: présentation théorique des courants de la croissance: Nous présenterons divers courants qui expliquent la croissance économique, notamment, les théories classique, néoclassique et les nouvelles théories (théories endogènes), en se basant sur leurs fondements théoriques ainsi que leurs apports majeurs. I-1-1: Les théories traditionnelles de la croissance économique: Avant de présenter les différentes

Partie 1 – Les modèles canoniques 1. Les fondements classiques C'est Karl Marx qui parle en premier de classiques pour désigner Ricardo et ses prédécesseurs. Ils ne se sont jamais considérés comme une école mais on retrouve chez eux un certain nombre de traits communs et en particulier une façon d'appréhender l'analyse économique en terme de groupes sociaux. Auteurs classiques: A. Smith 1723-1790 D. Ricardo 1772 – 1823 J.B. Say 1767 – 1832 T. Malthus 1766-1834 La main invisible

rémunéré au regard de sa capacité productive (les sages et les gardiens sont privilégiés car leur fonction est essentielle) Cette conception de Platon a généré une réflexion chez les néo-classiques à la fin du 19ème : la rémunération doit être l’exacte contrepartie de la contribution productive. Comme pour les néo-classiques il y a deux facteurs de production (facteur travail et le facteur capital) ces deux marchés (travail + capital) doivent définir la véritable contribution des acteurs ainsi que l’exacte

économique s'est constituée, est devenue autonome, non sans traverser un certain nombre de crises. Exemple: la théorie dominante en économie est la théorie néo-classique : → les agents sont rationnels → les marchés s'autorégulent → prix sont flexibles et sont des données pour les agents économiques. Paradigmes-libéralisme-communisme Théorie Néo-classique : 2 programmes de recherches. Le programme de recherches Walrasien et non-Walrasiens : complémentaires Théorie Keynésienne : contradictoire Économie appartient

Toutefois, face aux défaillances du marché, l’État peut rester une solution. Définir les termes du sujet : chez les Mercantilistes, le contrôle de l’économie par l’État devait permettre d’enrichir la nation. Mais, pour les Physiocrates, les Classiques et les Néoclassiques ; l’État est surtout un problème. La position de MARX est plus ambiguë, car l’État relève de la superstructure. Enfin, l’intervention de l’État est une solution face aux déséquilibres des marchés selon KEYNES. Présenter le problème :

à plus ou moins long terme. En conséquence, l’Etat ne doit pas intervenir sur la marché sous peine de perturber son fonctionnement. Le marché est capable de s’autoréguler. Ce paradigme est défendu par les théoriciens du libéralisme économique (néoclassique et néolibéraux). Le paradigme de la régulation externe du marché (ou paradigme de l’ordre organisé) : Ce paradigme postule que le marché n’est pas toujours capable de se réguler lui-même et que s’il faut accepter le principe de l’économie