Claude Gueux Victor Hugo

qu’il faut minimiser mais condamner les princes. Toute la démonstration se détruit d’elle-même dans le texte. Par le biais de la « fausse logique », le lecteur doit être convaincu du caractère inacceptable de l’esclavage. Le texte de Jean-Claude Carrière, La controverse de Valladolid (1992), met en scène Sépulvéda et Las Casas. Ce dernier tente de convaincre le cardinal que les Indiens sont des hommes égaux, en rien différent des chrétiens alors que Sépulvéda veut convaincre du caractère

tentative de suicide. Dès 1846, les yeux verts de l’actrice Marie Daubrun le séduisent. Le recueil promis, Les Fleurs du Mal, est publié en 1857, mais six poèmes sont interdits à la suite d’un procès. À sa parution, Flaubert manifeste son enthousiasme, Hugo et Leconte de Lisle sont élogieux. En 1861 paraît une deuxième édition, très remaniée, et dans les années suivantes sont publiés en revue de nombreux poèmes en prose. La maladie le rattrape : il a senti passer sur lui « le vent de l’aide de l’imbécillité »

fait découvrir à son personnage Candide les vices de la société comme l'esclavage. L'esclavage a été aboli un première fois en 1794, mais c'est Napoléon qui, en 1802, pour des raisons économiques, le réinstaure. Victor Hugo dénonce dans Le dernier jour d'un condamné et Claude Gueux la peine de mort qu'il juge inadmissible. Ces deux récits comptent les aventures de deux condamnés à mort, les tortures physiques et mentales qu'ils endurent. Mais, en France, la peine de mort, n'a été aboli qu'en

ANALYSE LINEAIRE : les misérables V. Hugo Marie-Elisabeth Dans son plaidoyer contre la peine de mort, prononcé le 15 septembre 1820 à l’assemblée constituante, Victor Hugo dénonce la société qu’il juge complice des crimes commis par la loi, notamment pas son silence :« C’est la sainte pudeur de la société qui détourne la tête devant un crime que la loi lui fait commettre. Ceci prouve que la société a conscience de ce qu’elle fait et que la loi ne l’a pas. » Nous retrouvons une critique

universelle. La lettre dédicatioire de Réflexions sur l'esclavage des nègres de Condorcet s'ouvre sur un raisonnement d'autorité. Raisonnement inductif Un raisonnement inductif part de plusieurs constats pour justifier une idée nouvelle. Claude Gueux de Victor Hugo propose un raisonnement inductif qui dénonce la peine de mort. Raisonnement déductif Un raisonnement par déduction part d'un argument auquel le destinataire adhère pour justifier une ou plusieurs conséquences logiques. Puisque tous les Hommes

Internet : des poèmes de Ronsard (beaucoup développent le thème de la fuite du temps, comme celui étudié dans la séance 2), mais aussi « Le Dormeur du val » d’Arthur Rimbaud et « Le Lac » de Lamartine. © Cned / N. Julo – Les Contemplations de Victor Hugo. Durée approximative : 1 heure. Dans cette séquence, tu vas parcourir les siècles, depuis le XVIe jusqu’au XXe siècle, pour étudier une thématique traditionnelle de la poésie : l’expression des sentiments personnels. Ce que l’on appelle plus simplement

Anthologie poétique Victor HUGO 1802-1885 Hugo par Nadar , 1887 « Ici durent longtemps les fleurs qui durent peu . Ici l’âme contemple, écoute, adore, aspire Et prend pitié du monde, étroit et fol empire » Les feuilles d’automne Victor HUGO, l’homme aux multiples talents Fils d'un général d'Empire souvent absent, Victor Hugo est élevé surtout par sa mère. Alors qu'il est encore élève au lycée Louis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier

l’évaluation sommative. La lecture de l'œuvre intégrale peut être prolongée en étant précédée par l’étude d’un groupement de textes thématique et culturel sur le thème de la justice avec des textes de VOLTAIRE : La Torture, de Victor HUGO : Le dernier jour d’un condamné, Claude Gueux, d’Albert CAMUS : L’Etranger, d’Armand SALACROU : Boulevard Durand. On peut aussi travailler sur des comptes rendus de procès dans des journaux. Il serait enfin intéressant de profiter de la journée porte ouverte de la justice

l’évaluation sommative. La lecture de l'œuvre intégrale peut être prolongée en étant précédée par l’étude d’un groupement de textes thématique et culturel sur le thème de la justice avec des textes de VOLTAIRE : La Torture, de Victor HUGO : Le dernier jour d’un condamné, Claude Gueux, d’Albert CAMUS : L’Etranger, d’Armand SALACROU : Boulevard Durand. On peut aussi travailler sur des comptes rendus de procès dans des journaux. Il serait enfin intéressant de profiter de la journée porte ouverte de la justice

quelle parole à Dieu. Elle s’est redressée, frissonnante, glacée, infecte, courbée sous ce mourant qu’elle traînait, toute ruisselante de fange, l’âme pleine d’une étrange clarté. Elle a levé les yeux (…) Là, elle s’est arrêtée. Les misérables, Victor Hugo Semaine 5 Étude du texte : L’entretien d’embauche d’une jeune provinciale ( Zola ) p.50-51 + questions p.51 no.1-6 L’entrée d’un ambitieux dans la noblesse parisienne ( Balzac ) p.52-53 + questions p.53 no.1-6 Le vocabulaire du héros de roman au