Clement Greenberg

jour de l’esthétique de Kant basée sur le remplacement de la formule « ceci est beau » par « ceci est de l’art » comme énoncé paradigmatique du jugement esthétique moderne ; une réinterprétation du modernisme en peinture à partir des écrits de Clement Greenberg et d’une analyse de l’adresse au spectateur dans l’art de Manet et d’autres artistes du XIXe et du XXe siècles ; et une réflexion historique sur le passage du système des Beaux-Arts au système de « l’art en général », dans lequel nous vivons

le lieu de représentation et le rapport entre les acteurs. Les spectateurs sont puis remmener dans la rue avec des slogans expliquant pourquoi il faut faire la révolution vu que c’était en 1969. Si on abandon la modernité vers postmodernité. Clement Greenberg : l’art a évolué parce que les artistes voulaient se protéger contre l’art popularité et le kitsch. (Dans « l’art et culture ») Si l’art c’est comme la vie, la vie c’est ‘action. En mettant le spectateur en action est-ce qu’on arrive a une

l’expression développée par Croce et Collingwood, ce n’est pas le concept d’expression qui est esthétique mais plutôt le concept d’intuition. 11 Voir Clive Bell, Art, New York, 1959. La critique formaliste reste liée à l’esthétique. Voir, par exemple, Clément Greenberg, Art and Culture, Boston, 1961, et « Modernist Painting », Art and Literature, vol. 9, 1965. « Pièce » : contre l’esthétique 45 percevions les mots imprimés dans un livre, nous ne percevons pas réellement l’œ uvre littéraire, qui est

l'être, ce qui placerait le début de l'art contemporain dans les années 1960, avec le pop art, le nouveau réalisme, Fluxus, les happenings ou l'art vidéo. C'est avec ces mouvements artistiques que prendrait fin l'art moderne et la théorie de Clement Greenberg qui le définissait comme la recherche de la spécificité du médium. À partir de 1972, certains[réf. nécessaire] voient une nouvelle césure et parlent (à tort ?) d'« art actuel » ou d'« art vivant » marquant une scission avec le pluralisme des

kiki de Montparnasse. Ici il montre que sa passion c’est la femme, il joue sur les expressions et le dessin. L’expressionisme abstrait : Naît pendant la guerre, quand les artistes français se réfugient aux USA. « Color field » : critique : Clement Greenberg artistes : Mark Rothko et Barnett Newman « Action painting » : critique : Harold Rosenberg artistes : Jackson Pollock et Willem De Kooning Mondrian sera sur New York mais c’est surtout Kandinsky qui intéressera la nouvelle génération

rien », les œuvres « portées au pinacle dans lesquelles sévit « le conformisme du jamais vu ». A tout bien compter en effet, l’anti-conformisme, ce n’est qu’un conformisme à l’envers. Rien de plus. Sans oublier de citer un critique américain, Clément Greenberg, qui fait la loi sur les marchés américains : « nous donnons du génie à qui nous voulons ». Cela ne conduit pas d’ailleurs Somville au défaitisme : pourquoi ne peut-on pas envisager que tout reste encore à jouer ? dit-il. 2) Ou bien, le

manière dont ces artistes expressionnistes abstraits sont médiatisés est singulière. Nous connaissons tous les photographies de Hans Namuth de Jackson Pollock avec ses dripping. Au fond, on va inventer à ce moment là une lecture des œuvres (Clément Greenberg et Harold Rosenberg) du côté de l’autonomie de l’artiste en tant qu’individu pouvant être accepté dans le tissu social. Les artistes expressionnistes abstraits sont médiatisés pour leurs revendications adaptées aux nouveaux modes de société

(Museum of Modern Art, New York, 1907) opère ses transgressions au sein de la peinture et Marcel Duchamp les siennes au sein de la définition de l'objet d'art et des conditions de son acceptation au sein du monde de l'art. Le critique américain Clement Greenberg élaborera à partir des années 1940 un concept de forme picturale permettant d'évaluer strictement la nouveauté d'une proposition artistique. On voit aisément que cette différenciation interne du moderne est aussi fragile que les critères

rien », les œuvres « portées au pinacle dans lesquelles sévit « le conformisme du jamais vu ». A tout bien compter en effet, l’anti-conformisme, ce n’est qu’un conformisme à l’envers. Rien de plus. Sans oublier de citer un critique américain, Clément Greenberg, qui fait la loi sur les marchés américains : « nous donnons du génie à qui nous voulons ». Cela ne conduit pas d’ailleurs Somville au défaitisme : pourquoi ne peut-on pas envisager que tout reste encore à jouer ? dit-il. 2) Ou bien, le

sentiment universellement communicable. JUGEMENT RÉFLÉCHISSANT - Chez Kant, type de jugement qui remontant du particulier au général et qui s'applique à la faculté du sujet à ressentir du plaisir (jugement esthétique). MÉDIUM - Terme consacré par Clément Greenberg, critique esthétique américain du XXe siècle, pour désigner le support propre à chaque art, qui permet de définir son domaine spécifique par rapport aux autres arts: surface, lignes et couleurs pour la peinture, mot pour la poésie et la littérature