Clement Greenberg

de la réalité? À l’aide du texte de Giorgio Vasari, « La peinture », ceux de Clement Greenberg intitulés « La peinture moderniste » ainsi que « Vers un nouveau Laocoön », il est possible d’observer les différents points de vue de ces grands artistes en ce qui concerne la peinture et ses limites. Pour Vasari et les peintres de l’époque, la peinture était plutôt mimèsis, c’est-à-dire, une imitation, tandis que pour Greenberg, la peinture est un médium qui devrait se penser par soi-même. Dans le texte

CAHEN Antoine H5 L’art de l’exposition : une histoire du XXème siècle Examen de fin d’année Enseignante : Carlotta Darò Questions 1) Qui sont les sujets de ces trois images ? Que font-ils ? Pourquoi ces photographies montrent une action, un geste, plutôt qu’une œuvre terminée ? La première image s’agit de Jackson Pollock et l’image le représente en pleins dans le processus de création et de peinture. Jackson Pollock (dripping painting) montre régulièrement la manière dont il produit les

déconstruction de l’autorité du modernisme incarnée par la figure historique de Clement Greenberg, Rouillé suit en bonne part le postmodernisme américain - celui de la revue October notamment. Non sans se trouver en contradiction avec tout ce qu’il refuse du discours sur l’ontologie de la photographie qui était alors au coeur des stratégies «indicielles» de Rosalind Krauss dans la revue new-yorkaise, dans son opposition, certes, à Greenberg, mais aussi à son épigone dans le domaine photographique: John Szarkowski

De Maria et Michael Heizer (ce dernier, en désaccord avec Schum, se désistera finalement).Les motivations premières du Land Art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du Modernisme prônés par le critique d'art Clément Greenberg. Comme la plupart des mouvements nés dans les années 1960, le Land Art cherchait à lier l'art et la vie, à arrêter de produire des œuvres destinées à être seulement admirées dans des musées. Cette tradition s'est perpétuée chez plusieurs artistes

qui dans ce cas placerait l'origine de la méthode contemporaine dans les années 1960, avec le pop art, Fluxus, les happenings ou l'art vidéo. C'est avec ces courants artistiques que prendrait fin la période de l'art moderne et la théorie de Clement Greenberg qui la définissait comme la recherche de la spécificité de la technique. Dans cette recherche permanente d'une définition de la contemporanéité, la critique d'art et les institutions jouent un rôle important. Ainsi sont généralement exclues

L’abstraction post-picturale (Post-Painterly Abstraction) – Clement Greenberg, un critique d’art américain créa le concept critique de Post-Painterly Abstraction en 1964 qui se voulait comme une forme de « pureté » de la peinture, opposée à la gestuelle expressionniste et au Pop Art. Il reprochait le maniérisme de la touche et l’abandon du sujet. Ces artistes favorisent alors l’ouverture et la clarté. Pour Clement Greenberg, la planéité et la délimitation de la planéité suffisent à définir

du Land Art. Le Land Art débute en octobre 1968 avec l'exposition intitulée Earth Works. Les motivations premières du Land Art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du Modernisme prônés par le critique d'art Clement Greenberg. Comme la plupart des mouvements nés dans les années 1960, le Land Art cherchait à lier l'art et la vie, à arrêter de produire des œuvres destinées à être seulement admirées dans des musées. Le Pop art fut aussi créé au cours des années 1950

Museum of Art (Ithaca, New York), confirme l'importance du Land Art sur la scène de l'art. Les motivations premières du Land Art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du Modernisme prônés par le critique d'art Clement Greenberg. Comme la plupart des mouvements nés dans les années 1960, le Land Art cherchait à lier l'art et la vie, à arrêter de produire des œuvres destinées à être seulement admirées dans des musées. Cette tradition s'est perpétuée chez plusieurs artistes

modifiant et façonnant les paysages naturels selon leur inspiration. Idées principales Les motivations premières du land art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du Modernisme prônés par le critique d'art Clément Greenberg. Comme la plupart des mouvements nés dans les années 1960, le land art cherchait à lier l'art et la vie, à arrêter de produire des œuvres destinées à être seulement admirées dans des musées. Vocabulaire plastique (couleurs, composition, formes

l'être, ce qui placerait le début de l'art contemporain dans les années 1960, avec le pop art, le nouveau réalisme, Fluxus, les happenings ou l'art vidéo. C'est avec ces mouvements artistiques que prendrait fin l'art moderne et la théorie de Clement Greenberg qui le définissait comme la recherche de la spécificité du médium. À partir de 1972, certains[réf. nécessaire] voient une nouvelle césure et parlent (à tort ?) d'« art actuel » ou d'« art vivant » marquant une scission avec le pluralisme des