Clément Marot

strophe est identique (c’est le refrain). C’est la forme principale au XIV et XVe siècle. La ballade sert à exprimer ses sentiments personnels. Le sonnet : Sa forme est d’abord fixé par le poète Pétrarque au XIVe siècle puis en France par Clément Marot. Les poètes de la pléiade vont l’imposer et en faire la forme fixe la plus employés. Le sonnet est composé de 14 vers répartie en deux quatrains et deux tercets. Le dernier vers doit apporter un nouvel élément, un effet inattendu. Les rimes

amours, Ronsard Musicalité et forme libre permette de rendre plus vivant et plus expressif l’émotion que le poète veut créer -> calligrammes, Apollinaire  Travail poétique Utilité de la poésie : émouvoir le roi pour parvenir à ses fins -> Clément Marot : petite épitre au Roy, 1518 Nicolas Boileau met un point d’honneur au travail poétique : art poétique Sobriété et justesse de l’élégance promeut par Malherbe et Vaugelas.  Recherche de la perfection Art pout art : parnasse -> Théophile

peut parler d’un devoir dit « d’universel ». Le devoir personnel est en quelque sorte, un devoir que s’inflige un poète à lui-même. On pourra citer comme exemple le poème de Jean Marot (père de Clément Marot et grand rhétoriqueur) se nommant « D'avoir esgard à l'Honneur », dans ce poème Jean Marot a comme devoir personnel de faire un poème virtuose, tel que le conçoivent les grands rhétoriqueurs, avec un jeu poétique surchargé (acrostiches, rimes équivoquées, coq-à-l'âne...). Lui seul

de Ronsard Rossignol, Paul Verlaine Les quatre saisons - L'été, Charles Cros Les quatre saisons - L'automne, Charles Cros Automne, Guillaume Apollinaire Automne malade, Guillaume Apollinaire Les quatre saisons - L’hiver, Charles Cros Clément Marot, « Le dizain de neige » Préface : Le cycle des saisons Las de s'être contractés tout l'hiver les arbres tout à coup se flattent d'être dupes. Ils ne peuvent plus y tenir : ils lâchent leurs paroles, un flot, un vomissement

Renaissance mais le style poétique obéit aux règles précises de la versification : rimes, vers équilibrés… Les poètes, de Pierre de Ronsard (1524-1585) à Etienne de La Boétie (1530-1563) chantent les louanges de l’amour mais également ses tourments. Clément Marot (1497-1544), dans son poème « J’ai contenté », décrit toute la douceur et la cruauté de l’amour qu’il associe à la loyauté. Le 17ème siècle est partagé entre le classicisme, marqué par la clarté du vocabulaire, et le baroque, complexe et imagé

Pantagruel qui représente l'homme complet. Puis, Michel de Montaigne développe une analyse de soi et du monde très profonde, où l'on retrouve les tendance de ce mouvement mais avec plus de scepticisme sur les mérites de l'homme. Mais encore, Clément Marot, qui est le poète officiel de François 1er, a joué un rôle capital dans le renouvellement des formes poétiques. Finalement, La Pléaide, qui regroupe sept poètes aristocrates dont Pierre Ronsard, chante l'amour et la fuite du temps dans de nombreux

connaissances et son autorité. Mais sur ordre de la Sorbonne, les supérieurs de Rabelais lui retirent ses livrent grecs, qui lui fut très vite restitués. Pusi en 1524, il quitta les Franciscains pour les Bénédictins avec l'autorisation du pape Clément VII. Les règles y sont moins sévères, il y resta quelques années, et noua des nouvelles realtions. Il devient secrétaire de Geoffroy d'Estissac. Il l'accompagne au cours des tournées d'inspection de ses terres et abbayes. Et en 1525 il séjourne au

dernières paroles d'un condamné à son épouse, celles de Manouchian à Mélinée. Les italiques parlent alors une langue qui dépasse le poème de circonstance et de commande. III)La poésie s'amuse La Petite épître au roi (1518), Clément MAROT (1496-1544) [pic] Clément Marot et François Ier, aquarelle trouvée sur le site du Quercy, région natale du poète En m’ébattant je fais rondeaux en rime, Et en rimant bien souvent, je m’enrime ; Bref, c’est pitié d’entre nous rimailleurs, Car vous trouvez

contrairement à l'auteur classique qui d'après lui n'est pas assez franc. Il prend le parti du peuple. Il est contre les royalistes et pour la jeunesse[3]. L'imitation méthodique des littératures anciennes, inaugurée en France au XVIe siècle avec Clément Marot puis la Pléiade, atteignit son apogée au XVIIe siècle, et l'on peut dire que les écrivains français créèrent alors une littérature qui est devenue la marque de « l'esprit français », bien plus que la littérature du Moyen Âge qu'ils avaient oubliée

Beauvaisis) ; en 1636, par inflation sémantique à merci veut dire « à discrétion, à volonté ». Merci, en tant que formule de remerciement, est attesté dès 1135 dans l’expression granz merciz (Le Couronnement de Louis), en 1539 dans Les Épigrammes de Clément Marot.