Clercs Et Laics

Andalousie avec ses mosquées. -Rois normands : Ils s’installent en Sicile. Avec une influence négative  Croisades. Clergé : Membre de l’église. ≠ clergé : Fidèles, rois Les laïcs (Rien avoir avec l’Eglise) 2 espaces : Paradis/ Enfer. Institution = Eglise Tous membres du Clergé + dogme. Clergé ≠ Laïcs. Chrétienté= Espace avec des Chrétiens. Evangélisation : Volonté de convertir les peuples au Christianisme.  XVe et XVIe siècles : -La croyance La foie. -Salut Eglise. Le jugement

française) : Le clergé (les clercs) La noblesse (les aristocrates) Le Tiers-Etat (les roturiers) Étude documentaire p 80/81 Doc 1/3 : Tout les personnages sont des membres de l'église sauf les pèlerins qui sont des laïcs. Les laïcs sont représentés en dessous des clercs ce qui signifie qu'ils sont inférieur. Le pape est à la tête de l'église catholique car il se prétend le successeur de Sainte Pierre. Les décisions sont prises lors des conciles. Les clercs sont obligés d'être célibataire

grégorienne. Au XIIe siècle, l'Eglise est triomphante. Pourtant, cette situation n'empêche pas l'éclosion de mouvements hérétiques. A/ L'Eglise aux mains des laïcs L'évolution de l'Eglise aux Xe et XIe siècles est indissociable des transformations politiques. La désintégration de l'ordre public provoque l'accaparement par les laïcs (rois, comtes, seigneurs) des biens ecclésiastiques. Dans l'ensemble de l'Occident, souverains et seigneurs nomment eux-mêmes les évêques ou exercent de fortes pressions

tout à la fois anticlérical et croyant. En effet, tout observateur quelque peu attentif de la vie religieuse — pour faire simple, disons chrétienne — d’aujourd’hui1 et même d’hier ou avant-hier2, est en mesure d’y répondre par l’affirmative. Même des clercs, on en conviendra et les exemples ne manquent pas, peuvent se révéler anticléricaux. En paroles, en gestes, en actes. Mais à l’instar de tous les termes en -isme l’anticléricalisme systématise l’approche des attitudes et des comportements et prétend

les saints honorés dans l’édifice. Enfin, évêque et clercs placent les reliques derrière un rideau, l’évêque oint les quatre coins de la confessio, y place les reliques avec trois fragments d’hostie et trois grains d’encens, puis la scelle, et des diacres revêtent l’autel. Suit la messe. On constate que les deux premiers circuits sont l’affaire des seuls clercs (circonscription de l’espace sacré), puis le troisième est effectué par clercs et laïcs (prise de mesure par la communauté ?), et enfin il

–Hommes/institutions encadrant les fidèles. Eglise => Il s’agit du bâtiment ou se réunissent les fidèles chrétiens pour célébrer leurs cultes. D’abord, le monde chrétien est divisé entre les clercs et les laïcs. Les clercs se consacrent à l’Eglise et les laïcs croient en Dieu mais ne participent pas à l’Eglise. Les clercs ne peuvent se marier. A la tête de l’Eglise, il y’a le Pape, à l’Origine c’est l’Evêque de Rome. A partir du 12ème Siècle, le pape est élu à vie par les cardinaux qui sont les conseillers

choses au sein de l’Eglise, mais qui sonne finalement le début d’un mouvement qui s’est fixé comme objectif de réformer l’Eglise catholique toute entière, c´est à dire la papauté, le clergé séculier et régulier ainsi que les fidèles ordinaires, dits laïcs. Distinguer l’achèvement de cet effort réformateur dans la période à traiter est en revanche plus difficile, car cette réforme se caractérise par une longue phase d’application qui prend fin au milieu du XIIème siècle. Il s’agit de définir ce qu’est

encore l’image. De cet effort général de  correctio, Charlemagne espère une renovatio, un renouvellement complet de la société qui, à présent, ne peut se passer de l’action des moines. Aussi, sur les moines reposent l’enseignement et la prédication des laïcs : «  que dans chaque monastère, on enseigne les psaumes, les notes, le chant, le calcul, la grammaire et que l’on ait des livres soigneusement corrigés » (capitulaire Admonitio generalis). La production littéraire et artistique s’appuie, elle aussi

Julien Benda, La trahison des clercs La trahison des clercs est un ouvrage de Julien Benda paru en 1927. Benda se fonde sur ses observations personnelles pour aboutir à l’idée que les clercs (les intellectuels) se détournent de leurs valeurs cléricales soit la recherche de biens intemporels pour se tourner vers la politique au nom du réalisme. Résumé de l’œuvre : Dans une première partie l’auteur parle de l’adoption des passions politiques par les clercs : Le point de départ de la réflexion

WALCH Agnès « La spiritualité conjugale : une tentative de dialogue entre clercs et laïcs dans le catholicisme français (XVIe-XXe siècles) » abbé Caffarel et « spiritualité conjugale » dans les années 30 «Il propose un but: tendre à la perfection de la vie chrétienne dans la vie conjugale, se sanctifier non pas malgré, mais dans et par le mariage » + « recentrer la famille sur le couple et à envisager plus positivement l'amour conjugal » p. 146 → « mutation rapide, rendue possible par l'encyclique