Clercs Et Laïcs Au Moyen Age

étrangères des idées nouvelles. Si l'Eglise (2) a pu susciter l'élan des Chrétiens partant guerroyer en Palestine, elle s'est également installée comme pouvoir temporel possédant terres, abbayes et droits de taxation.Certes, dans l'insécurité du Moyen Age, les abbayes furent à la fois des lieux de sciences, de sécurité et de prospérité relatives. Leur enrichissement (par les dons de chrétiens) devait toutefois entraîner diverses dérives qui lui furent à nouveau reprochées quelques siècles plus tard

compatriotes, sur la voie qu’il serait bon de suivre. Faire de l’histoire de la pensée, c’est donc tenter de comprendre l’évolution des idées (une évolution, nous le verrons qui n’est pas nécessairement linéaire). ex 1 : Les penseurs chrétiens du Moyen Age ont une théorie de l’intérêt (de l’usure) qui les conduit à condamner l’usure. Ce que nous nous efforcerons de faire ce ne sera pas juste d’exposer cette théorie mais de la replacer dans la vision qu’avaient ces penseurs des problèmes économiques

sociale Enrichissement de certaines catégories : les sénateurs ont obtenu des terres, les chevaliers vont s’occuper d’affaires financières (finances publiques). Les populations des provinces sont exploitées (Verrès). Ceux qui reculent, c’est la classe moyenne, les paysans. Un certain nombre de soldats ont été ruinés par des guerres interminables. Une masse de citoyens est désœuvrée, on peut les acheter. La transformation de l’armée : soldats de métier, permanents. Ils suivent leur chef (Marius).

impôts. Les grands propriétaires à Rome, sont hostiles au durcissement du système fiscal. On va alors chercher à réduire les dépenses et pour se faire, on va réduire les budgets consacrés à l'armée. L'armée devient donc très faible, elle n'a plus les moyens pour fabriquer des armes performantes, elle ne pourra plus résister aux invasions. L'empire romain d'occident va alors être de plus en plus fragile et cet affaiblissement va alors mener à sa chute. La chute de l'empire romain d'occident

seuls avaient le droit de vote. 3.Troisième sens : la politique-programme (policies) « On apelle policy une conception, un programme d'action ou une action elle-même d'un individu, d'un groupe ou d'un gouvernement... » Politiques publiques sont le moyen de résoudre le problème de la division de la politique (passer de la politique domaine à la politique programme). La politéia englobe les 2. Exemple du CPE en 2006 => coexistence de la politique programme et de la politique domaine. Un domaine en

du nord de l’Afrique et du bassin méditerranéen. Civilisation extrêmement avancée (aspect culturel, militaire…) avec la capacité d’élaborer un système juridique complexe, élaboré, professionnel => efficacité, technicité. Le droit a disposé de moyens lui permettant d’évoluer, de s’adapter aux transformations de la société. Il n’était pas qu’un ensemble de règles. Il était soutenu par une réflexion profonde. Il y avait une logique, une réflexion sur comment gérer la communauté de la façon la plus

sociale Enrichissement de certaines catégories : les sénateurs ont obtenu des terres, les chevaliers vont s’occuper d’affaires financières (finances publiques). Les populations des provinces sont exploitées (Verrès). Ceux qui reculent, c’est la classe moyenne, les paysans. Un certain nombre de soldats ont été ruinés par des guerres interminables, on créer donc l’élevage. Une masse de citoyens est désœuvrée, on peut les acheter. La transformation de l’armée : soldats de métier, permanents. Ils suivent leur

Le Royaume de France, puissance incontournable 1. L’"invention" d’un territoire et d’un peuple 2. La monarchie absolue de Louis XIV 3. La société d’ancien régime Introduction Le monde moderne est situé entre le moyen âge et le 18ème siècle. On étudiera la période du 16ème siècle et 17ème siècle. ( Nous commencerons par la fin du 15ème siècle en 1492. Trois événements majeurs : - Premier voyage de tous l’Atlantique de Christophe Colomb (voir bio)

normes juridiques qui régissent les religions. Le droit religieux, dans l’ancienne France, c’est le droit canonique : le droit de l’Église catholique. Le christianisme dans sa forme romaine est la seule religion de l’Europe occidentale au Moyen-Âge. Le 16e siècle est le siècle de la réforme protestante mais en ce qui concerne la France, les différents courants issus de cette réforme resteront minorité et ils vont être amenés à établir des normes juridiques qui n’auront aucun impact sur le système

d’encadrement des populations et par consé- quent de son aptitude à suppléer les déficiences de l’État –, que s’affirma le pouvoir politique des évêques. Ces événements contribuèrent à l’émergence d’un nouveau modèle d’évêque, préfigurant celui du Moyen Âge, occupé à la fois de la direction spi- rituelle de son peuple et du soin des affaires temporelles de sa cité. Les évêques étaient donc des personnages clef des cités avec lesquels les princes barbares durent nécessairement composer7 ; cela explique