Clergé séculier

puisants que les laïques. Ils avaient des attributions administratives qui leur avait été conféré par les roi carolingiens. Ces dignitaires ecclésiastique étaient les évêques et les archevêques dépendant du clergé séculier. Il y avait aussi des dignitaire ecclésiastiques qui appartenaient au clergé régulier ( vivent sous une règle dans un monastère) c'était les abbés. Donc évêques archevêques et abbés était tout aussi puissant que les dignitaires. Les uns et les autres bénéficiaient d'une autorité considérable

(production). Chaque fonction correspond un corps ; le clergé pour la religion, la guerre pour les seigneurs et les autres (96%) qui travaillent (pas de nom : état commun et qui devient en 1789 le tiers État). Ce système n’était pas présenté d’une telle façon, mais plutôt sous forme de poème par le clergé au Roi (système harmonieux). Le premier poème du genre a été exposé au Roi Robert le Pieu, au XIème siècle, et rédigé par un homme du clergé, un évêque : Adalbéron de Laon présentant un schéma idéologique

Erreur ! Signet non défini. II. Les institutions de l'Eglise Erreur ! Signet non défini. a) Qui est membre de l'Eglise? Erreur ! Signet non défini. b) Clercs et laïcs Erreur ! Signet non défini. 1) La notion de clergé Erreur ! Signet non défini. 2) Clergé séculier / clergé régulier Erreur ! Signet non défini. 3) Associations périphériques Erreur ! Signet non défini. 4) Le nombre des clercs Erreur ! Signet non défini. c) La hiérarchie des pouvoirs dans l'Eglise Erreur ! Signet

comprend donc des « consuls », des « notables », dont « quarante » très important, puisqu'ils ont l'honneur de rencontrer le roi en premier, mais aussi de « religieux et autres gens d'Église » (une distinction est donc faite par l'auteur entre clergé régulier et séculier), et des « habitants », moins importants, puisque l'on ne précise pas qui ils sont : ils semblent donc ne former que la masse du peuple. Et cette hiérarchisation au sein de la ville se remarque aussi grâce aux couleurs des vêtements que

avec l’affirmation de la chrétienté constituée par une communauté de fidèles croyant en Jésus-Christ aussi appelée l’Église avec un « É » majuscule. Les chrétiens qui sont au service de l’Église forment le clergé, les autres sont de simples laïcs (c’est-à-dire qu’ils ne font pas partie du clergé). L’adhésion des chrétiens à une même foi et à un même système de valeurs permet non seulement un dépassement des divisions qui marquent cette Europe médiévale mais surtout une prise de conscience d’appartenir

jusqu’à l’ère de la renaissance. Les procès voient le jour et ils sont nombreux; ils servent à condamner plusieurs sorciers et sorcières. Toutefois, au Moyen Âge, les juges et les inquisiteurs sont reconnus pour pardonner facilement. C’est donc le bras séculier qui s’occupe des sorcières. Ce dernier a plus d’impact sur la sorcellerie que les prêtres et les moines. Malgré les nombreuses femmes et quelques hommes qui ont laissé leur vie sur les bûchers, les persécutions continuent lors de l’époque moderne

3 groupes sociaux. Les analyses et descriptifs de cette société datent du 11ième siècle. ADALBERON qui va proposer une sorte de description de cette société médiévale, il nous dit que cette société est harmonieuse parce qu'elle comprend 3 ordres (clergé, noblesse, troisième ordre). Toutes les fonctions sont interdépendantes. Ce schéma a une vocation idéologique, vison religieuse, vise à justifier les inégalités. C'est une manière de montrer qu'il y avait une sorte de plan divin, s'y opposer c'est

assiégée », face aux Turcs, face aussi aux Juifs et Musulmans convertis et qu’on accuse de pratiquer clandestinement leur religion. Le clergé est aussi en crise. On distingue le clergé séculier, composé des archevêques, évêques entourés d’officiers (official, vicaires, etc.), des chapitres de chanoines, du clergé paroissial (curés, vicaires) et des chapelains, et le clergé régulier. Il faut aussi distinguer la charge à remplir, l’office, et le revenu lié à cette charge, le bénéfice. Les deux sont souvent

clerc, ajoute Buisson, vient du latin clericus ; mais qu’en est-il de celui-ci ? Le latin clericus est la transcription de l’adjectif grec klêrikos, dérivé du substantif klêros, qui a pris, dans le langage des auteurs ecclésiastiques, le sens de « clergé », mais qui signifie 1 originairement « lot ». Ceux qui font partie du klêros, ce sont ceux qui forment le « bon lot », ceux qui ont été « mis à part », les « élus » […].  Le travail langagier entrepris va maintenant s’achever ; Buisson conclut

avec l’affirmation de la chrétienté constituée par une communauté de fidèles croyant en Jésus-Christ aussi appelée l’Église avec un « É » majuscule. Les chrétiens qui sont au service de l’Église forment le clergé, les autres sont de simples laïcs (c’est-à-dire qu’ils ne font pas partie du clergé). L’adhésion des chrétiens à une même foi et à un même système de valeurs permet non seulement un dépassement des divisions qui marquent cette Europe médiévale mais surtout une prise de conscience d’appartenir