Clochard

Madame Roques est la caissière en chef de la banque où Jonathan est vigile depuis 30 ans. Monsieur Roedel est le directeur de la banque et il arrive tous les jours en limousine, c’est donc un homme riche, de classe sociale élevée. Il y a aussi un clochard qui ne s’installe parfois pas loin de la banque. Jonathan, en le voyant pour la première fois il y a 30 ans, a ressenti une sorte de jalousie jusqu’au jour où il l’a vu faire ses besoins dans la rue où il y avait beaucoup de passants. Cette jalousie

atypique aux Cynosarges,- chiens agiles - un gymnase relégué en banlieue, réservé aux bâtards et aux étrangers, lui plaisait. Ce fut le berceau de l'École de philosophie dite "Cynique". Mais le philosophe ne voulut pas avoir comme disciple un tel clochard, voyou débraillé toujours ergotant et contredisant son maître. Pour s'en débarrasser, il le chassait à coups de bâton.Un jour, Diogène lui présenta délibérément son crâne et lui dit : «Frappe, si tu veux, mais tu ne trouveras pas de bois assez dur

recherche et j’ai pu constater Jean Genet utilisais le concept des marges. Jean Genet glorifiait la marginalité : les clochards, les prostituées, les immigrés, etc. Cette glorification la avait pour but de désorienter la société de vers son centre. Car Genet avait la conviction qu’une société qui ne tourne que vers son centre devient une société autoritaire. Glorifier le clochard plutôt que le Président était donc pour Jean Genet une entreprise de lutte contre l’autoritarisme. Chez Jean Genet, la

ou "nouveau théâtre"  - période de renouveau du théâtre répondant aux attentes d'un nouveau public, plus jeune, plus intellectuel, attiré par des formes et des thèmes neufs - extrait : scène d'exposition / incipit : la pièce nous présente deux clochards, Vladimir et Estragon, qui attendent un personnage nommé Godot qui leur est inconnu, dont ils ne savent pas ce qu’ils attendent de lui, et dont ils ne sont pas sûrs de sa venue ; s’engage entre les deux mendiants une conversation où se succèdent

Le   thème de la chaussure est  récurrent dans l'extrait qui nous intéresse. Il réapparaît dans la  didascalie « il s'acharne sur sa chaussure ;»et  dans le dialogue « Je me déchausse. »  c)Il se définit par sa condition sociale ,de toute évidence,il est un clochard.  La présentation du second personnage est du même type.    2) Vladimir.  Nous faisons connaissance avec lui  par une simple indication de son entrée en scène .Voir   la didascalie « Entre Vladimir. »  a)son prénom On peut aussi s'intéresser à la signification de son prénom 

la vie, et de la condition humaine tout en posant la question du langage. En attendant Godot, écrite en 1948 et publiée en 1952, est une pièce emblématique de ce courant. Durant deux actes, écrits en prose, le lecteur fait la connaissance de deux clochards, Vladimir et Estragon, qui attendent la venue d'un personnage, dont ils ne savent rien, et qui n'apparaitra jamais :Godot Ils cherchent donc des distractions pour que le temps passe. Il s'agit donc de déterminer ici comment à travers une scène d'exposition

sur les mots, non ? Camille – Peut-être bien, mais je reviens à ta « mise à distance » : c’est cela qui est oppressant. Regarde : Vladimir et Estragon, ce sont juste deux clochards qui traînent dans la rue. Donc des marginaux, des gens qui, par définition, se mettent à distance de la société. Et pourtant, quand tu vois des clochards dans la rue, tu n’as pas envie de rire. www.annabac.com © H A T I E R 2010 Pierre – Oui, je suis d’accord, mais là, ce n’est pas la même chose. Camille – Je ne vois

Il y'a maintenant une vingtaine d'années , un valeureux guerrier qui aurait bien pu devenir un pauvre clochard ou bien un cobaille de laboratoire.Il est légerment plus grand que la moyenne humaine , son teint de peau et bronzé , il porte des yeux vert clair et une chevelure noire en queue de cheval. Ce valeureux guerrier s'appelle Séphyy , Séphyy Darrenth . Fils de parents alcoolique , son enfance fut très dur, ses parents et lui vivaient dans les rues de Hurlevent , ils mandiaient à longueur

en scène la déraison du monde dans laquelle l’humanité se perd. Par exemple dans « En attendant Godot », les personnages sont des clochards qui attendent, au bord d'une route, un certain Godot, qu'ils ne connaissent même pas, et dont ils doutent de l'existence.

Gate (1909) de lord Dunsany où on peut voir deux clochards qui attendent aux portes du Paradis, la pièce en deux actes de Beckett dépeint l’absurdité de l’attente de Dieu. Les personnages Vladimir et Estragon (noms que l’on ne connaît qu’à la lecture de la pièce puisqu’ils s’appellent toujours entre eux Didi et Gogo) attendent une personne du nom de Godot (que l’on peut vaguement ramener à God, Dieu) qui ne viendra jamais. Ces deux clochards, dignes des films comiques du début du siècle comme