Clown

Laurène VIALA 22 10 13 75 Deuxième « fournée » - Analyse de plans La strada , 1954, Frederico Fellini J’ai choisi de porter mon analyse sur le film la Strada de Frederico Fellini, réalisé en 1954 en Italie. Ce film m’a beaucoup touché et fait rire. Il met en avant l’Italie populaire en montrent le métiers de foraine ambulant ; un travaille d’artiste et absolument pas stable. J’ai beaucoup aimé voir une nouvelle représentation de l’Italie, dans la campagne

au niveau physique. Comme dans le document 2 par exemple où Caroline Simonds nous explique que pendant quelques minutes une petite fille très malade a réussi à oublier ses douleurs et sa maladie grâce au sketch présenter par les deux clowns. En effet ces deux clowns accumulent les situations rocambolesques pour faire oublier à la jeune fille ses souffrances liées à la maladie . Ou alors dans le sketch du document 4 où Raymond Devos met en scène un homme malade qui pense survivre grâce au sketch de

favoriser la guérison de certains patients. Lorsqu’on envoie des clowns visiter des personnes atteintes de cancer , c’est plus sérieux qu’on ne le croit. En France, il existe l’association: Le rire médecin. Dans ce pays, un enfant sur deux est hospitalisé avant l’âge de 15 ans. Pour ces enfants et leurs parents, une simple visite ou un séjour à l’hôpital est souvent synonyme d'anxiété et d’angoisse. Pour les aider, l’Association envoie des clowns visiter les enfants malades, dans les services pédiatriques

désavantageux, cette caractéristique est surlignée par une suite de périphrases le désignant : ‘squelette ébouriffé aux membres désordonnés’ ‘clown malingre aux incisives cassées par une bataille de marrons à Bagatelle’« Aux membres désordonnés » ce groupe prépositionnel cdn de squelette ébouriffé à une valeur métaphorique qui dégage ce physique incommode et le GN « clown malingre » a une signification forte qui laisse entrevoir un enfant chétif d’une constitution faible. « Le nez qui pelait » autre détail

instituteur de province, se rend en famille, comme tous les ans, dans la petite ville où il a vécu la période de l'Occupation, pour y faire un numéro de clown. Quand André le meilleur ami de Jacques, se rend compte que le fils de celui-ci ne s'amuse pas beaucoup pendant le spectacle, il lui raconte leur histoire qui a provoqué cette vocation de clown. On revient alors sur la période de la fin de l'occupation allemande en France. À Douai, André et Jacques sont amis. Sur une impulsion, ils vont donc

pas la complicité avec le public. Les animaux réels sont absents. C’est l’artiste qui endossera les rôles du fauve, du chien… L’acrobatie est bien présente et raconte, suggère plus qu’elle ne donne à voir un exploit physique. Acrobaties, jonglages, clowns, théâtre d’ombres se succèdent pour mettre le spectateur en haleine. L’univers sonore se structure autour du chant et de la musique Le fil conducteur du spectacle lie les actions et donne de la cohérence aux histoires porteuses de rêves puisés dans

le rapport avec la Commedia dell'arte ? Le clown du crique, à bien des traits, rassemble à lui-seul les caractéristiques de la Commedia dell'arte : un personnage fixe, maquillé à outrance, avec un costume pour le moins exentrique, qui improvise des situations comiques et lance des commentaires sensés l'approcher du public. Les sketchs inédits que monte donc le clown se réalisent sous les yeux même du public. Improvisation, personnage fixe, masque (sous

 gauche  à  droite,  un  couple  de  danseurs,  un  clown  musicien  jouant  du  banjo,   un  numéro  équestre  avec  un  cheval  et  deux  acrobates,  un  totem  indien  et  deux   personnages,  un  clown  et  un  équilibriste,  tous  présentés  frontalement,  tel  des   mannequins  dans  une  vitrine  de  magasin.     2ème  plan  :  un  clown  portant  une  femme,  figures  présentées  frontalement

comédiens nous ont offertes deux heures durant ? Ce salon de Célimène tendu de lourds rideaux roses et bleus... C'était d'un goût ! Le spectateur ne pouvait être qu'agacé face aux mimiques de cet Alceste bourru et hostile... Tenez il m'a fait l'effet d'un clown ! C'était pitoyable... Et surtout dans la scène 2 lorsqu'il baigne dans un éclairage verdâtre tout en hochant et répétant ce « Monsieur » à Oronte... A.- Ah, mon cher, c'est une mise en scène peut-être un peu trop moderne pour une institution comme

psychologique des personnes. Le rire à l’hôpital Norman Cousins19 a été le premier, en 1964, à expérimenter « scientifiquement » une thérapie par le rire. (…) Les clowns-docteurs cherchent entre autres à diminuer la crainte de l’hospitalisation ressentie par les jeunes patients et la solitude vécue par les personnes âgées. En 2006, Dr Clown a ainsi réalisé plus de 20 000 interventions, qu’il nomme joliment « prescriptions de tendresse ». Aussi, dans certains hôpitaux, des médecins se déguisent et