Club des Jacobins

des chefs girondins, et portent les montagnards au pouvoir. La Dictature de Salut public ( été 1793- été1794 ) Durant l'été 1793, lors de l'arrivée des Montagnards au pouvoir, soutenus par les sans-culottes des sections parisienne et le club des jacobins, les problèmes s'accumulent. La coalition des armées étrangères encercle les frontières, tandis que les troubles dans le pays se multiplient, guerre de Vendée et insurrection fédéraliste. La crise économique et la chute de la valeur des assignats

juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel et l'égalité des droits, contre le marc d'argent. Il décide aussi de réglementer sévèrement la Bourse. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en est le plus illustre membre et l'une des figures de proue. Après la scission des Feuillants, il contribue à sa réorganisation et lui permet grandement de conserver le soutien de la plupart des sociétés affiliées de province

juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel et l'égalité des droits, contre le marc d'argent. Il décide aussi de réglementer sévèrement la Bourse. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en est le plus illustre membre et l'une des figures de proue. Après la scission des Feuillants, il contribue à sa réorganisation et lui permet grandement de conserver le soutien de la plupart des sociétés affiliées de province

envahissent la convention et force à voter l'arrestation des chefs girondins, et portent les montagnards au pouvoir. Durant l'été 1793, lors de l'arrivée des Montagnards au pouvoir, soutenus par les sans-culottes des sections parisienne et le club des jacobins, les problèmes s'accumulent. La coalition des armées étrangères encercle les frontières, tandis que les troubles dans le pays se multiplient, guerre de Vendée et insurrection fédéraliste. La crise économique et la chute de la valeur des assignats

l’Assemblée constituante où il fut l’un des rares défenseurs du suffrage universel et de l'égalité des droits. Il y prononça un discours pour l’abolition de la peine de mort qui est aujourd'hui très connu. Maximilien de Robespierre fait parti du club des Jacobins, il en était le principal animateur, il était partisan d’une démocratie intégrale, mais il était favorable à une monarchie absolue de droit. A Varennes, après la fuite du roi, Robespierre a proclamé : « Je ne suis ni monarchiste, ni républicain

n'était pas dirigée uniquement contre les aristocrates et le roi mais également contre les élus de la nation, cette assemblée législative dans laquelle le peuple ne se reconnaît pas... Au cœur de ces soulèvements se situent des orateurs de club des Jacobins: Danton, Robespierre, Marat... qui seront par la suite dénommés les « montagnards ». Ces montagnards condamnent également les girondins qu'ils jugent responsable de la situation économique et social. En effet ce sont les girondins qui ont

Nous l’avions dit, c’est en vain qu’il a combattu. La seule concession qu’a pu obtenir Maximilien Robespierre de l’Assemblée, c’est que l’on inscrivit le terme « personnes non libres » au lieu de l’abject « esclaves ».. Et si, le soir même, au Club des Jacobins, il recueille sur ce sujet, de chaleureux applaudissements tandis que les huées du public contraignent Charles de Lameth au silence, il n’en demeure pas mois que deux jours plus tard, le 15 mai 1791, c’est le décret soutenu par Antoine Barnave

de son assassinat. Il suivra l’idée des martyrs de la Révolution en faisant La Mort du jeune Bara (un tambourin de 13 ans qui, selon la légende, serai mort pour avoir refusé de crier « Vive le Roi »). Lors de la Terreur, il sera président du club des Jacobins, secrétaire de la Convention, membre du Comité de Sûreté Général et président de la section d’interrogation. Il contresigne environ trois cents mandats d'arrestation, traduisant les suspects devant le tribunal révolutionnaire (n’hésitant pas

Il meurt en 1854. L'histoire du gouvernement révolutionnaire se définit en une concentration des pouvoirs au profit de la Convention, puis, au Comité public, de plus, entre les mains de Maximilien Robespierre, président du comité, maître du club des Jacobins et de la commune de Paris. Le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) se déroule un basculement, lorsque Robespierre a menacé une fois de trop la Convention donc il est renversé par une conjuration. On interrompt Saint-Just à la tribune par Tallien

du procès de Louis XVI il s’éleva contre l’exécution du Rois. Le vote de Brissot valut au Girondins l’accusation de royalisme, ainsi Brissot lia son sort à celui du Roi et destina sa tête à un aller simple pour la guillotine. Il est exclu du club des Jacobins le 12 octobre 1792 et son histoire se confond dès lors avec celle de la Gironde. Mis en arrestation lois le 2 juin 1793 par l’acharnement de Robespierre qui fait à présent la loi, il s’enfuit, est arrêté à Moulins et guillotiné le 31 octobre