Clémenceau Discours Chambre Des Députés

mais plutôt contre les impôts, les curés, les seigneurs… Après la rédaction des cahiers de doléances, ont élit les représentants aux Etats-Généraux. Il y aura environ 1200 députés : 600 du Tiers-Etat, 300 du clergé et 300 de la noblesse. Le clergé n’est pas majoriatire en fait, car on compte un ordre=une voix. Parmi les députés, il y a 800 francs-maçons : l’Eglise, fortement opposée à la Franc-maçonnerie, parlera de complot. Le roi hésite pour l’ouverture des Etats-Généraux, qui sont finalement

de Tours. La gauche a donc désormais une aile radicale, anti-bourgeoise, anti-capitaliste. 2) Une République incomplète a) Pb de la démocratie à l’étranger « Il va falloir gagner la paix, et ce sera encore peut-être plus difficile » (Clémenceau). Rappelons le traumatisme de la guerre : 1,5 million de morts français, environ 3,5 millions de blessés, la production est ruinée : dans la démocratie d’après-guerre naît l’idée pas vraiment en accord avec une démocratie pacifique (et non pacifiste) :

IIIème république, même si elle possède encore les institutions de l’empire. Il va donc y avoir un processus d’institutionnalisation de la IIIème république. On va avoir des élections législatives qui vont aboutir à une majorité monarchiste (+ de députés monarchistes élus au parlement) en 1970. Pas de constitution à proprement parler mais trois lois constitutionnelles votées en 1875. Ces trois lois sont en fait un compromis entre monarchistes et républicains car profitant aux deux parties. En 1875

les démocraties qui est structuré par le calendrier électorales, boulversés par des crises plus le conflits politique et idéologique d'interêt. Il s'agit de comprendre la vie politique entrain de se faire. La constitution interroge les textes, les discours, les idéologies, les programmes et elle s'interesse a de nouveau champs: la symbolique. (comment se répartissent les intervenants) La IIe République(1848-1851) Réaffirmation des principes révolutionnaires La constitution de 1848 met en place :

Jaurès, qui ne met pas encore en doute la culpabilité d'Alfred Dreyfus, fait à la Chambre des députés le constat suivant : « Le capitaine Dreyfus, convaincu de trahison par un jugement unanime, n'a pas été condamné à mort. Et en face de ces jugements le pays voit qu'on fusille, sans grâce et sans pitié, de simples soldats coupables d'une minute d'égarement et de violence. » Le projet de loi n'est pas adopté. [Discours de Jean Jaurès, 28 décembre 1894] [Dossier Jean Jaurès] 28 décembre 1894 : Dans

peur sociale, les députés conservateurs s’efforcent de nouveau de contrôler la presse: le cautionnement est rétabli, certaines ventes sont interdites sur la voie publique. 3) la crise du 16 mai 1877 Le président Mac Mahon tente de défendre ses amis politiques royalistes contre la majorité des députés élus en 1876 avec Jules Simon. Le 16 mai 1877, il prend prétexte de l’abrogation de la loi du 29 décembre 1875 sur la correctionnalisation des procès de presse votée par les députés républicains malgré

de représentants. Doc 1 p 66 – les hommes de plus de 21 ans exercent le pouvoir via le suffrage universel. Une autre condition doit s’appliquer pour dire d’un pays qu’il est démocratique : il doit y avoir séparation des pouvoirs. Législatif (chambre des députés et Sénat, qui permettent une meilleure réflexion sur les lois) et exécutif (qui applique les lois). La République est le fruit de toutes les expériences politiques précédentes. Une démocratie n’est as forcément une République : il existe au

République Situation quasi-insurrectionnelle à Paris le 3 sept. Députés de gauche du corps législatif qui se réunissent Palais Bourbon pour appuyer solution d’un nv gouv. Assemblée convoqué à minuit ; J. Favre déclare la dynastie déchue. Foule parisienne qui réclame la République, mais les députés parlent d’une Nation. 30 000 à 40 000 personnes place de la Concorde. Motion défendue par Thiers adoptée : « Vu la vacance du trône, la Chambre nomme une Commission de Gouvernement et de Défense nationale

passionnés, mais de haute tenue, ont lieu à l'Assemblée nationale et au Sénat. Le 17 septembre 1981, s’exprimant à la tribune de l'Assemblée nationale, Robert Badinter a prononcé la phrase historique : "Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France." C’est ainsi que l'Assemblée nationale entame l'examen de ce projet symbolique. 3) Le contenu de la loi

pouvoir suite à la défaite du Tonkin, Ferry établit une définition complète de sa politique, au travers du grand discours prononcé à la Chambre des députés le 28 Juillet 1885, pour répondre à ses adversaires et détracteurs. Son idée repose sur trois axes. D’une part, un argument d’ordre économique : « La politique coloniale est fille de la politique industrielle », déclare-t-il dans son discours. L’expansion coloniale doit permettre d’assurer à l’industrie française des débouchés à ses produits. Second