Cocarde tricolore

4.2 L'Assemblée nationale constituante (9 juillet 1789 - 1er octobre 1791) 4.2.1 Renvoi de Necker (11 juillet 1789) 4.2.2 Prise de la Bastille (14 juillet 1789) 4.2.3 Rappel de Necker et adoption de la cocarde tricolore par le roi (16 et 17 juillet 1789) 4.2.4 Grande Peur (19 juillet - 6 août 1789) 4.2.5 Abolition des privilèges (4 août 1789) 4.2.6 Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (26 août 1789)

lumineuse ; une perspective montante s’offre devant elle, avec deux grandes masses que sont le temple d’Angkor Vat et le palais de l’AOF, ceci avant d’aboutir à la Tour des Forces d’Outre-Mer. La nuit venue, cette avenue s’illumine aux couleurs du drapeau tricolore. Enfin, à l’écart, les îles de Bagdad et de Reuilly (rebaptisées ainsi pour l’évènement) offrent des attractions populaires, qui attirent la foule en permanence et rapportent beaucoup. A. Le temple d’Angkor Vat : une réussite assurée

devant la loi, la liberté d’expression, le respect de la propriété et reconnaît la nation comme fondement du pouvoir politique. Le roi perd son autonomie politique et physique. Forcé, le 5 octobre 1789, de s’installer à Paris, il se pare d’une cocarde tricolore et signe les décrets d’août. Perdant ses privilèges, l’Eglise ne tarde pas à perdre ses biens. Ceux-ci sont en effet mis à la disposition de la Nation et vendus sous le nom de « biens nationaux ». L’automne 1789 est une véritable période de jaillissement

fédérés et leurs drapeaux (remarquer les différences dans la disposition des couleurs tricolores). La foule au premier plan donne une impression d’union de la nation : un soldat (en armes) et des femmes du peuple à gauche, des bourgeois et bourgeoises au centre (remarquer l’écharpe tricolore de la femme à la robe verte), des hommes en perruque poudrée (des nobles) à droite, l’un d’entre eux arborant une cocarde tricolore. Doc. 1 : Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789 Doc. 2 : … à une Révolution

Maire de Paris ». La Fayette est nommé Commandant général de la Garde nationale. Une nouvelle organisation municipale allait se mettre en place. Louis XVI reconnaît celle-ci en se rendant à Paris le 17 juillet. À cette occasion, Bailly lui remet la cocarde bleue et rouge aux couleurs de la ville de Paris que Louis XVI fixe sur son chapeau, associant ainsi ces couleurs au blanc de la monarchie. Ce geste paraît sceller la réconciliation de Paris et de son roi. Dans les faits cependant, le roi accepte

administrateurs. Il accepte, accueilli par Bailly, qui l’invite à monter au balcon de Paris, lui remet les couleurs de la ville de Paris (bleu et rouge) et dans un grand geste symbolique, le roi les auraient uni à se fleur de Lys blanche  naissance de la cocarde tricolore. La foule acclame ce geste d’association de Louis XVI avec ces évènements révolutionnaires. Mais en apparence, il accepte ce qui est en train de se dérouler et qu’il ne maîtrise pas, mais dans le même temps, il considère qu’il faut miser sur

On n’est pas ici pour rigoler, nous. On connaît vos gendarmes, vous savez. On va les appeler ! Le tumulte se calme. Les gars retirent leurs masques et découvrent des faces hilares de jeunes ruraux endimanchés. Ils ont tous à leur revers la cocarde tricolore et le flot de rubans des jeunes conscrits. — Ben quoi ? On est bon pour le service8, alors on rigole ! C’est comme ça ! — Et pis d’abord qu’est-ce que vous foutez à cette heure avec ce bahut ? Vous déménagez ? Ils se touchent la tempe avec des

Révolution. Roi des Lumières, il n’est pas hostile à certaines idées comme l’abolition des privilèges par exemple. Pour éviter la guerre civile Il accepte de gouverner avec les députés issus des Etats Généraux, Il accepte même de porter la cocarde tricolore. Cependant, il n’a n’a pas toujours été prompt à réagir. Il a toujours mis un peu de temps avant de signer un texte et a mis longtemps avant de valider la DDHC ou la Constitution (les deux en 1791). Il reproche à celle ci de ne pas lui donner

Maire de Paris ». La Fayette est nommé Commandant général de la Garde nationale. Une nouvelle organisation municipale allait se mettre en place. Louis XVI reconnaît celle-ci en se rendant à Paris le 17 juillet. À cette occasion, Bailly lui remet la cocarde bleue et rouge aux couleurs de la ville de Paris que Louis XVI fixe sur son chapeau, associant ainsi ces couleurs au blanc de la monarchie. Ce geste paraît sceller la réconciliation de Paris et de son roi. Dans les faits cependant, le roi accepte

rend à Paris le 17 juillet 1789. Afin de montrer son soutient (pour tenter de calmer la révolution), son accord aux réformes du mouvement révolutionnaire, le roi accroche à sa veste une cocarde tricolore, donné par Lafayette. Idée de Lafayette : blanc bleu et rouge étant celles des insurgés américains. Mais la cocarde va devenir un symbole de la révolution, et ces trois couleurs vont devenir les couleurs de la France. 1790 : garde de Paris 1791 : armée de terre 1794 : à la demande de l’armée, le