Cocarde

Il a servi la France : Il est élu député de la noblesse d’Auvergne aux États généraux et nommé, le 15 juillet 1789, commandant général de la milice parisienne, à laquelle il donne le nom de garde nationale et la cocarde tricolore, dont il est l’inventeur. il devient après les journées d’octobre 1789 le personnage le plus considérable de France, le « maire du palais », dira Mirabeau Lors de la déclaration de guerre le 20 avril 1792, recevant le commandement de l’armée du Centre, il entre néanmoins

pour le Tiers-états. Ensuite le 17 juin de la même année, il fut élu président de l’Assemblée Nationale. Il prêta serment le premier, lors du serment du Jeu de Paume et devint maire de Paris du 15 juillet 1789 à 1791. Le 17 juillet, il remit la Cocarde tricolore au roi Louis XVI à l’Hôtel de ville de Paris, juste après la prise de la Bastille. Cette action symbolisera la réconciliation entre Paris et le roi. Le 17 juillet 1791, Bailly fut également condamné pour avoir appliqué la loi martiale

de la République française dans les colonies. La ligne de fuite qu’indique son bras levé s’évanouit dans le drapeau bleu blanc rouge. Sur sa gauche, des mousses (des marins) tout de blanc vêtus, avec leur officier coiffé d’un bicorne portant la cocarde tricolore, rappellent la présence de la Marine comme force armée dans les îles. Détaché du groupe, un marin tient dans ses bras un bébé noir rappelant le rôle pacifique et protecteur désormais dévolu à cette armée. Aux pieds des marins, une jeune

déjà des femmes assiégeais l’hotel de ville, après le refus du roi d’approuver l’abolition des privilèges et la DDLH et DC. Les journaux patriotes réclament alors que le roi réside à Paris loin de sa cour, son refus et surtout la nouvelle de la cocarde tricolore piétinée par les gardes royaux provoquent une réaction radicale des femmes. Le 5 octobre, des groupes de femmes sonnent le tocsin et se retrouvent devant l’hotel de ville qu’elles envahissent, ensuite elles marchent sur Versailles sous

qui va instituer le drapeau tricolore. Le 13 juillet 1789, la Garde nationale, sur le point de prendre la Bastille, portait une cocarde bleue et rouge (les traditionnelles couleurs de Paris). Le 17 juillet, Pierre Bailly, maire de Paris, présenta la cocarde au roi et l’épingla sur l’habit blanc du roi, qui alla saluer la foule devant l’Hôtel de Ville avec cette cocarde. La Fayette la recommanda au gouvernement et elle fut officiellement adoptée, sans ordre défini, le 4 octobre 1789. Un décret du

poste en 1849. La cocarde La cocarde était à l’origine une touffe de plumes de coq portée par les soldats d’un régiment de Louis XIV. On rapporte que le 17 juillet 1789, trois jours après la chute de la Bastille, Louis XVI est reçu  à l’hôtel de ville de Paris par le maire Bailly, en présence de La Fayette. En signe de réconciliation il aurait placé à son chapeau un ruban bleu et rouge aux couleurs de la ville. Quoi qu’il en fût, la cocarde nationale tricolore ou cocarde de la Liberté, fut portée

devenues plus symboliques qu’humaines. Pour toutes ces raisons, la diversité et le féminisme existent entant que notions intangibles aujourd’hui. Alors, Marianne n'est pas une figure officielle de la république. Elle porte un bonnet phrygien et une cocarde qui affiche les couleurs de la France, le rouge, le blanc, et le bleu. Aujourd’hui, elle est représente sur le logo du gouvernement français. Elle apparaît aussi sur le sceau de l'Etat français, tenant un bâton avec le bonnet phrygien haut. Elle représente

pas de mise dans l'armée. Il ne se prend pas au sérieux : il admet qu'il est incapable de rendre des morts sensibles aux valeurs militaires, gloire ou victoire (« Je ne sais si, dans la foule des morts, on distingue les morts vainqueurs par une cocarde »). Il est clairvoyant et sait que ses mots importent peu aux destinataires de son discours (« Cela vous est bien égal, n'est-ce pas ? »). 2. La haine de la guerre et le pacifisme de Giraudoux Le texte est un réquisitoire d'une part contre la guerre

Hector a honte d’avoir survécu à la guerre, et il ne sait pas si les morts de la guerre sont vus différemment des autres morts. Il dit « C’est ici que j’ai honte. Je ne sais pas si dan la foule des morts on distingue les morts vainqueurs par une cocarde ». Cocarde : insigne de couleur porté par les militaires pour différencier leur régiment d’origine. Oxymore : « les morts vainqueurs ». Seules les personnes vivantes peuvent vaincre. Ici, Hector passe du « nous » au « je ». Il passe ainsi du chef de

en faisant un autoportrait à travers ce personnage. L' homme au béret porte la cocarde blanche des monarchistes. Eugène Delacroix a peint tout ces personnages tellement différents ensemble pour montrer que lors des Trois Glorieuses, c' est tout le peuple qui s' est battu pour leurs libertés. Sur ce tableau le bleu, blanc, rouge règne, on le retrouve sur l' homme qui se redresse à la vue de la liberté, sur une cocarde sur le col du bonapartiste, et même dans le brouillard au fond du tableau où reflète