Codex de Florence

rivalité entre le Sacerdoce et l’Empire, établissement de tyrannies locales… Et sur cette toile de fond aux couleurs de feu et de sang, la prospérité de trois grandes villes : Gênes et Venise qui monopolisent le trafic entre l’orient et l’occident, Florence qui groupe autour d’elle les guelfes de Toscane et développe l’activité de son commerce, de ses banques et de ses industries. L’apparition de trois grands génies : Dante, encore disciple du Moyen Age, ascétique et mystique, Pétrarque et Boccace,

1er siècle après JC, le livre prenait la forme d’un rouleau de parchemin ou de papyrus. Au 1er siècle après JC, on invente une nouvelle forme de livres : les codex, qui est un système qui consiste à prendre plusieurs feuilles de parchemin, à les plier et à les coudre. Ce système est inventé par les premiers chrétiens d’Egypte. Ce système du codex a été très vite adopté par les juristes qui considèrent eux aussi qu’il est plus commode qu’un rouleau. Les premières codifications sont les codifications

qu’Alain Grangé Cabane nomme « tradition bâtarde »50. Cependant, est-il nécessaire de rentrer dans cette forme de débat idéologique, afin d’analyser l’acte de mécénat en Rosé Jean Jacques, op.cit., p. 37. Brebrisson de Guy, Conférence internationale de Florence. 48 Francblin Catherine, Mécénat : le prix de la gratuité, in Art Press, Paris, Juillet 1984, pp. 7-8. 49 « l’essentiel de ce qui, dans la tourmente révolutionnaire, a subsisté des richesses artistiques accumulées au cours des siècles est devenu

plus fréquente est celle du rouleau. Pour lire, il faut à l’époque dérouler le texte d’un côté et l’enrouler de l’autre. Au IIIème siècle, se répand la nouvelle technique du codex : une série de feuilles distinctes, rectangulaires, superposées et reliées ensemble par un côté. C’est pour cette raison de commodité que le mode du codex est aussi adopté par les juristes. La première compilation officielle est due à l’Empereur d’Orient Theodose II. Confiée à une commission de 16 membres, ce code Théodosien

le comput calendaire et l'astronomie. Les Mayas utilisent un système de numération positionnel de base vingt (numération maya). Les sources mayas sont issues principalement des codex (écrits autour du XIIIe siècle). Mais ceux-ci ont été en grande majorité détruits par l'Inquisition et il ne reste de nos jours que quatre codex (celui de Dresde, de Paris, de Madrid et Grolier) dont le dernier est peut-être un faux. La civilisation Inca (1400-1530) a développé un système de numération positionnel en base

intérêt plus grand est représenté. Ce qu'on connait est le code, CODEX, les institues mais ce qui constitue le gros morceau en droit romain est inconnu : le Digeste, qu'on va découvrir dans le Corpus juris civilis. Cette re découverte se fait en Italie fin 11 début 12 siècle au moment ou en Italie du Nord, on va mettre la main sur des manuscrits qui se trouvaient dans des bibliothèques. Cela a permit d'avoir une connaissance complète du codex et du digeste. Le droit romain va être d'un très grand apport

dans de vastes compilations. Les cinq grands codes napoléoniens par exemple témoignent de la synthèse, démarche qui avait été celle d'un Grégoire IX pape ~ grand législateur, avait rétmi les dispositions et autres canons ecclésiastiques au sein d'un Codex utile aux églises d'Occidenr. Or, une telle entreprise de codification tend à se généraliser depuis dix ou quinze années en France et en Europe (réforme de M. Rocard dès la fin des années « 90 » ). cette démarche qui œuvre vers Or, l'évolution du

Corpus juris Civiliis qui comprenait : ! les Novelles (novellou) : nouveautés introduites récemment parmi les statuts de l'empire ! les Instituts (institutions) : recueil plus ancien de textes de Graïus (qui sert à l’enseignement) ! le code (Codex) : qui regroupe et harmonise les autres codes de l'empire ! le Digeste (Digestur) : C'est ce Digeste qui est le plus intéressant car il contient les analyses de ces "experts" 29 en matière juridique ; c'est le seul travail vraiment analytique

systématiquement les mesures à l'importation sur une analyse préalable des risques sanitaires et phytosanitaires, dont les principes sont définis par les organisations internationales compétentes reconnues par l’Organisation mondiale du commerce (Codex alimentarius, Organisation mondiale de la santé animale et Convention internationale pour la protection des végétaux). Enfin, il importe de préserver et de renforcer le rôle de l’Etat et de l’Union européenne dans l’organisation, la gestion et de la

support to their members. To reach and to hold on these premises it needs a close work between the members and the association and also high competence and know-how of the interest and the needs of the members. The FIAA/LVA focuses many on topics like, Codex Alimentarius, Labelling, Traceability, Nutritional issues, Novel Food and Genetically modifies foods, food safety and regulations, allergens, hygiene, and the expansion of the European Union. Main figures of the sector Turnover : 7,2 Bio Euro Export