Cogito Ergo Sum

première d’être identique ad vitam aeternam ? Donner une définition de la conscience demande de dépasser le concept seul de la pensée comme étant le reflet du « moi ». Il est préférable de s’en tenir à Descartes qui considérait que « dubito ergo cogito, cogito ergo sum, sive existe » («  je doute donc je pense, je pense donc je suis, si j’existe »). Car penser c’est avoir conscience, c’est réfléchir sur la pensée que l’on a, et en dehors d’une pensée qui se pense, rien n’existe. Ainsi, pour René Descartes

que celles de Bérenger… Mais au fond, les paroles de Bérenger sont vraies et logiques. « Les morts sont plus nombreux que les vivants, Leur nombre augmente. Les vivants sont rares ». Jean : « Pensez, et vous serez » (René Descartes : Cogito, ergo sum « je pense donc je suis ») Deux conversations croisées : Voulu de la part de Ionesco : Comique => rend la compréhension de la conversation difficile. 2) Une scène comique et tragique . Le décalage de la logique fait rire . Le logicien

secondaire. Mais ce n’est pas par ce que je ne peux pas douter de quelque chose que la chose est pour autant indubitable (dont on ne peut douter). Ainsi Descartes en arrive à l’évidence du « cogito ergo sum » (je pense donc je suis) en ayant remis en question d’autres évidences et cette évidence (cogito ergo sum) est remise en cause par Nietzsche voyant dans le passage d’une activité psychique à un acteur de cette activité un « je » qui n’est selon lui qu’un type grammatical. Descartes serait la 1ère

doute est obligatoire a l’homme - origine du cogito cartésien —> force = plus grande valeur du doute III-Conditions et conséquences de ce doute - la force du doute : doute méthodique : pour prouver qqchose = passage du doute naturel au doute hyperbolique - Spinoza : doute inutile et factice vérité non accessible ? - dans la théorie de Descartes : il a tout supprimé car il doute de tout mais il reste le « je » qui doute —> cogito ergo sum —> le « je » existe c’est une certitude unique

quatre règles) pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains, en s'inspirant de la certitude exemplaire des mathématiques – la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donnera une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre

esprit ou une àme. Une réflexion est alors nécessaire pour déterminer ce que je suis réellement au-delà de ce que je prendre conscience dans l’instant. Après avoir émis cette série de doutes, je sais que je pense, car je suis, c’est le « cogito ergo sum », je pense donc je suis et inversement. Je suis donc ce que je suis au terme de notre réflexion Cartésienne et non ce que j’ai conscience d’être spontanément. Il est donc facile de faire erreur, mais seule la conscience propre peux se rendre

sont mortels). Descartes (XVIIème siècle), le cogito Descartes est le plus connu des philosophes français. On lui doit son esprit dit "cartésien", d’abord basé sur les mathématiques. À la manière de Platon, il prend pour base le doute, sur lequel, oubliant toutes connaissances, il veut arriver à la vérité par l’intuition (pas au sens commun, mais au sens où on ne peut en douter) et la déduction à l’aide d’une méthode très rigoureuse. Le "cogito ergo sum" ("je pense donc je suis") est un point de

devienne une certitude qui s’imposerait à notre raison comme par exemple le fait que 2 et 2 font 4. Mais n’existerait-il pas une certitude capable d’exclure tout doute possible et de s’imposer à notre esprit sans passer par un raisonnement ? « Cogito ergo sum » : Je pense donc je suis. René Descartes par cette citation nous explique le résultat de son parcours méditatif. Nous pourrions penser que cette réflexion est une évidence des plus claire et distincte pourtant le chemin pour y arriver est loin

l'affectivité du sujet. La conscience commune nous ferait dire que chacun est maître de sa pensée et de ses actes. Par ailleurs, l’expression « je sais ce que je fais » est vulgaire pour ne pas dire banale. Le latin « posse » est un verbe composé de potis sum signifiant « je suis maitre de ». Etre en notre pouvoir signifie être sous contrôle, c’est la faculté de maîtriser, de dominer, de domestiquer nos pensées. Nous pouvons à présent reformuler le sujet afin de mieux le traiter : est-ce que la pensée est

parle alors de lucidité. Est-ce que la lucidité n'est-elle pas une contrainte au bonheur ? Ne sommes-nous pas plus heureux dans l'illusion ? Descartes aussi dans son Discours de la méthode fait une découverte : celle que, comme l'homme pense « Cogito ergo sum », il est amené à prendre conscience de son existence et que ses actes ne peuvent qu'être assumés, ce qui prive l'Homme du confort de l'insouciance et de l'irresponsabilité. En effet, la lucidité est une réflexion intellectuelle amenée par la