Coin de Mire

concernant les supermarchés, Carrefour n’est présent que dans 9 pays sur 30 et dans 7 pays sur 30, concernant les maxi discounts. De plus, Carrefour envisage d’introduire l’enseigne Dia en Chine (avec l’ouverture de 500 points de vente pour 2010 en ligne de mire). o LE RENOUVEAU : Un certain nombre de changements ont été apportés au groupe : nouvel accent mis sur la communication de marque la mise en place de lots virtuels l’utilisation renforcée des média en magasin (chariots pub, voiture à gagner…) création

pacífica coffre-fort caja fuerte, caja de caudales coffres de l'Etat (les) las arcas del Estado cogner (cogner sur quelqu’un) dar (meter) caña (a alguien) cohabitation politique cohabitación política coiffeur pour dames peluquero de señoras coin (enfoncer un coin) (semer la zizanie) meter una cuña. cochon (donner du caviar aux cochons / donner de la confiture aux cochons) dar margaritas a los cerdos / no es la miel para la boca del asno (« le miel n’est pas fait pour les ânes »). cochon (n’être ni

de singeries réciproques » (Apol., 165 et n. 7). Et, songeant aux « cannibales » que Charles IX avait fait venir à Rouen, Montaigne remarque : « Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage ; comme de vrai il semble que nous n’avons d’autre mire de la vérité et de la raison que l’exemple et idée des opinions et usances du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police, parfait et accompli usage de toutes choses » (I, xxxi, 265). À cet égard la conversation des

militant tapageur, pour aller redécouvrir l’auteur », recomman­ de Jean­François Louette, qui a di­ rigé la réédition des Mots et autres textes biographiques. Trente ans après sa mort, l’œuvre de Jean­ Paul Sartre est à redécouvrir. ■ PLANÈTE. Un p’tit coin de verdure pour les citadins. Plantes dépol­ luantes et potagers d’intérieur : la passion du jardinage d’apparte­ ment gagne de plus en plus d’ur­ bains, soucieux de donner une « touche verte » à leur environne­ ment quotidien. ■ VOYAGE. Le Kenya est

Georges, dont il comprit enfin le silence. Mlle Primerose retourna près des enfants pour tâcher de mieux éclaircir l’affaire, qui lui semblait un peu brouillée du côté de Georges. Elle trouva Geneviève en larmes ; Georges 29 boudait dans un coin ; Louis cherchaient à consoler Geneviève. et Hélène MADEMOISELLE PRIMEROSE. Eh bien ! eh bien ! qu’y a-t-il encore ? qu’estce que c’est ? – Ce n’est rien, ma cousine ; je me suis fait mal à la jambe, répondit Geneviève en essuyant ses

romancier algérien, déplore lui aussi cette situation; il critique le fait que pour les Occidentaux, toute littérature non occidentale ne renvoie qu’à : « (...) l’étroitesse et l’étranglement de sa propre sphère qui ne dépasse pas l’anecdotique, le coin de brousse, le bout de pays, la tranche de conte chimérique ou le bégaiement de la langue. »3. 1 2 N. Sarraute, L’ère du soupçon, Gallimard, 1956, p. 10 et 11 Table ronde au Centre Culturel Français d’Abidjan autour d’une exposition intitulée :

m d’une magnifique plage de sable fin, et vous ouvre les portes de la Méditerranée et des Cévennes. Le village propose : 109 appartements de 5 à 8 personnes, disposant d’une loggia avec salon de jardin. Salle de séjour avec alcôve pour lit double, coin repas, cuisine aménagée, 1 ou 2 chambres, salle d’eau avec douches, toilettes. Les draps et linge fournis. Les appartements sont accessibles par ascenseurs. Renseignements et Réservations : Gîtes Adresse postale : Cap’vacances - 9 avenue Victor

Schekhina,37 ne saurait résider à nouveau au sein d'Israël, ce haut lieux de la mystique est aussi une terre sous violence, elle ne peut être considérée comme étant le lieu de la résidence divine actuellement. Le sentiment de vengeance est à chaque coin de rue et les passions barbares se vivent avec encore plus d'intensité qu'auparavant. Seule une révélation forte telle que celle que pourrait provoquer le Messie, parviendrait peut-être à changer les choses mais tant que ceci n'a pas eu lieu et qu'au

Pleurer-Rire, il dit vouloir : « écrire une tranche de vie d’un dictateur », en l’occurrence le président Bwamakabé, qu’il a servi.72 En effet, sa fonction de Maître d’hôtel a exigé sa présence constante auprès de ce personnage : « J’étais dans un coin de la pièce, debout et silencieux. »73 Cette omniprésence lui a permis également : « d’entendre bien des entretiens à caractère de secret d’Etat ».74Il veut donc en témoigner par écrit dans un ouvrage : « Je ne dirai pas ses couleurs que le soleil

cette nouvelle impertinence, elle ne fut remarquée que 144 de madame Derville, son amie fondait en larmes. En ce moment M. de Rênal se mit à poursuivre à coups de pierres une petite paysanne qui avait pris un sentier abusif, et traversait un coin du verger. – Monsieur Julien, de grâce, modérez-vous ; songez que nous avons tous des moments d’humeur, dit rapidement madame Derville. Julien la regarda froidement avec des yeux où se peignait le plus souverain mépris. Ce regard étonna madame Derville