Colchiques Modernité

La Modernité (Charles Baudelaire) 1 INTRODUCTION Le mot « modernité » est omniprésent dans le discours social. Réservé jadis aux experts et aux intellectuels, il est employé couramment aujourd’hui par les journalistes, les publicitaires, les politiques, les personnels d’entreprise, et même l’homme de la rue. Il a non seulement séduit toutes les catégories de la population, mais envahi tous les domaines d’activité, pénétré toutes les disciplines : on parle aussi bien de modernité dans

 Le courant d'Alcools : La modernité. Alcools est associé au cubisme et au surréalisme (c'est Apollinaire qui a inventé le terme de "surréalisme"). La poésie d'Apollinaire est unique et inclassable, mais la publication d'Alcools en 1913 manifeste cet "esprit nouveau" qui, en peinture - avec le cubisme - et en littérature - avec le surréalisme - ouvre le champ de la modernité en ce début du XXème siècle. Une figure importante : C'est celle du "Mal-aimé", derrière laquelle on devine, en filigrane

situation. À la fin de la pièce il prononce un ultime monologue… [Lecture et annonce des axes] Dans ce monologue à cheval entre tradition et modernité théâtrales, Ionesco met en scène la lutte tragique de l’individu contre le groupe et l’absurde de la condition humaine, et révèle sa vision de l’homme et du monde. I. Un monologue théâtral entre tradition et modernité 1. La reprise de la tradition du monologue délibératif Ionesco reprend la tradition théâtrale du monologue, forme d’expression de

donc associe à la modernité. Petit détail inédit dans ce recueil le titre comporte un article définis comme pour donne plus de relief a l’objet du pont [Problématique] Comment le poète met-il le pont dans sa modernité et par quel procédé dessine-t-il une nouvelle réalité ? [Lecture] dans un premier temps je montrerais comment le texte présenté une vision artistique de la modernité puis j’étudierais le pont comme une passerelle symbolique I) Une vision artistique de la modernité a) Un poème

révolution artistique A)Entre condamnation et revendication Les deux artistes condamne les tradition de passé comme il l'indique durant leur monologue comme le romantisme de Delacroix et le réalisme de Courbet.Et a la place ils revendiquent la modernité et (le nouveau) la création: «Les yeux d'aujourd'hui» et «autre chose». B)Une annonce des nouveaux courants A travers leur paroles ils annoncent, ils définissent aussi un nouveau courant en peinture qui est l’impressionnisme: «il faut le plein

Le Corbusier, La Charte d'Athènes, 1933. Texte rédigé à l’occasion des CIAM, congres internationaux d’architecture moderne. « La modernité est au cœur de cette pensée de la ville, modernité qui s’exprime à travers l’art et l’industrie et représente une rupture historique nécessitant une nouvelle ville. La théorie normative proposée par La Charte d’Athènes appartient au courant de «l’urbanisme progressif » dont les origines viennent du socialisme utopique de Fourrier, d’Owen et de Proudhon

malheureuse , d'abandon et de tristesse . On retrouve alors une expression lyrique dans ses poèmes . -paysage des villes : reflets de ses souffrances La modernité : C'est aussi un recueil traversé par les grand motif de la vie moderne , le poète célèbre la richesse du monde temporairement dont elle s'attache à dégager la beauté . Motif de la modernité dans les poème : -inventeur de forme langagière -suppression de la ponctuation -jeux de mot ( calembours :fantaisie verbale ) -altération métrique

L’urbanisme comme utopie Le Corbusier (1887-1965) De son vrai nom Charles Edouard Jeanneret, le Corbusier est architecte, théoricien, urbaniste et peintre français d’origine suisse. Il est l’un des principaux représentants du mouvement moderne (ou modernisme) qui est un courant architectural apparu dans la première moitié du XXème siècle. Ce mouvement est caractérisé notamment par un retour au décor minimal et aux lignes géométriques pures, et une tendance à privilégier le fonctionnel sous

qui se substituent complètement à l'homme, Le Clézio critique une société moderne qui se repose sur sa science et ses acquis, prenant le risque de se laisser dépasser par ce qu'elle a créé. Il n'est pourtant pas le premier auteur à critiquer la modernité et sa dépendance aux machines. Le naturalisme au XIX siècle, Zola par exemple, avant lui , dans La Bête humaine , soumettait une description de la locomotive comme un monstre, trop fort et trop incontrôlable, doué d'une personnalité propre que contribuait

Et bois cet alcool brûlant comme la vie/La vie que tu bois comme une eau-de-vie » (v148-149) TEXTE ETUDIE : "Zone" est le poème liminaire de l'oeuvre mais il a été le dernier écrit de l'oeuvre. Il aborde des thèmes aussi divers que l'éloge de la modernité des années 1900, le monde ancien et la religion . Marginalité : zone = bande de terrains vague qui entourait les fortifications de Paris ; lieu de marginalité sociale (cf sens moderne du mot) ; poème en marge du recueil Alcools ; poésie en marge