Colibri

Et délivrant des fourmis Ses amis Les cèdres et les érables. Grâce à lui, le passereau Du sureau S'envole, et monte au grand orme ; C'est lui qui fait le buisson De façon Qu'on y chante et qu'on y dorme. Il nous met tous à l'abri, Colibri, Chardonneret, hochequeue, Tout l'essaim que l'air ravit Et qui vit Dans la grande lueur bleue. A cause de lui, les airs Et les mers, Les bois d'aulnes et d'yeuses, La sauge en fleur, le matin, Et le thym, Sont des fêtes radieuses ;

2006 : recueil de 30 nouvelles, par 30 auteurs. La maison verte, nouvelle publiée dans le recueil Nouvelles re-vertes aux éditions Thierry Magnier, 2008. Les mots de autres et Déjà morte, nouvelles publiées dans le recueil Les mots des autres, éd. Colibri, 2011 : recueil de 11 nouvelles, par 6 auteurs. Une nouvelle publiée dans le recueil Comme chien et chat éd. Thierry Magnier, 2011 : recueil de 9 nouvelles, par 9 auteurs. Une nouvelle publiée dans le recueil Sauve qui peut les vacances !, éd. Thierry

MON RECUEIL DE POEMEPRESENTE PAR ERWAN CLAUS INTITULE :L’opulance de la nuitBonjour, aujourd’hui je vais vous présentez 7 poèmes. Il y a une particularité, ils ont tous un rapport avec la nuit, les sens, les sentiments. Voici ma liste de poème : Le Soir aux bord de la Mer, François-René de Chateaubriand, 1861 Le Soir dans une Vallée, François-René de Chateaubriand, 1861 Nuit de Printemps, François-René de Chateaubriand, 1861 Poème préféré de Nelson Mandela

surpris d'avantage et qui lui fit le plus de plaisir "l.23 "jamis on ne fit plus belle chaire "l.25) C'est superlatif souligne la magnifisance de cette cité . L'exotisme frappe aussi Eldorado ("les hote de passage sont vétu de robe d'un tissu de colibri " l.3" une odeur semblable a celle de la canelle "l.20 "canne de sucre "l17-18 ) les relations humaine sont aussi privilégié ("vinght belles filles recure "l.1 "les conduisire / les vétirent " "embrasser le roi "l.12 "ca magesté les resure "l.13

qu'il idéalisera toute sa vie. Il travaille à une première œuvre: Bibliomanie. 1837: Gustave Flaubert rencontre Alfred Le Poittevin qui deviendra l'un de ses grands amis. Sa vocation littéraire se précise. Il publie ses premières œuvres dans le Colibri, une revue littéraire de Rouen dont Bibliomanie et Une leçon d'histoire naturelle. 1838: Gustave Flaubert entre en classe de rhétorique. Il devient externe du lycée de Rouen. Il rédige un drame historique romantique Loys XI et des textes autobiographiques

adorait un seul Dieu Apres le vieillard fit atteler un carrosse a six moutons et donna douze de ses domestiques aux deux voyageurs pour les conduire à la cour. Les deux visiteurs furent reçus par des filles qui les vêtirent d un tissu ce duvet de colibri puis on les mena au roi on leur fit voir la ville et on les ramena auprès du roi Candide et cacambo passèrent au mois dans cet hospices. Quand ils voulurent partir, le monarque leur donna des vivres, de l or et des montures. Les physiciens du pays

aimé la représentation réaliste de Frida et les couleurs utilisées mais je n’ai pas aimé les atrocités qu’elle subit et la tristesse que son visage fait paraitre. VII. Autre(s) œuvre(s) évoquant celle étudiée : Autoportrait au collier d'épines et colibri peint à l’huile en 1940 de par le fait qu’elle représente sa souffrance également. VIII. Reproduction d’une ou plusieurs œuvre(s) à relier avec celle étudiée :

non pollué et assez humide. • l'offre en nectar et pollen. le nectar sucré est butiné par de nombreux insectes, notamment les abeilles, papillons et syrphes, mais aussi pour certaines espèces par des chauve-souris nectarivores ou des oiseaux (colibris). La plante sécrète aussi des substances rendant ce nectar amer pour que chaque pollinisateur n'en consomme pas trop. Le parfum floral et l'amertume et le caractère sucré du nectar - par un dosage équilibré des substances attirantes et repoussantes

Angiosperme, la fécondation des plantes doit être engendrée par le déplacement de pollen d’une plante vers une autre, c’est la pollinisation. Le transfert des grains de pollen se fait par le vent ou bien par les êtres vivants tels que les oiseaux (colibris), les insectes (abeilles)... La majorité des �eurs sont visitées par les insectes, qui sont attirés par leurs couleurs, leurs formes, leurs odeurs et leurs nectars, les faisant ainsi participer à la pollinisation. Les Angiospermes assurent une reproduction

elle-même d’une profusion d’éléments extraordinaires qui créent une atmosphère de bien-être où tous les sens sont convoqués y compris le goût par la recherche et profusion des plats « Jamais on ne fit meilleure chère » (l.32). Les vêtements «en duvet de colibri » (ligne 3) doivent une apparence de légèreté et de douceur. L’architecture urbaine est elle-même d’une élégance raffinée et imposante : « ornés de mille colonnes, les fontaines » (ligne 16) « ces grandes places pavées d’une espèce pierreries... »