Colin Powell

11 septembre 2001 ont provoqué un grand changement de stratégie internationale des Etats-Unis. Dans l’équipe présidentielle composée essentiellement de néo-conservateurs (v.def) d’obédience reaganienne, les modérés, des gestionnaires réalistes (Colin Powell, Secrétaire d’Etat, Condoleezza Rice, secrétaire à la Sécurité Nationale), s’effacent derrière le poids des extrémistes (Donald Rumsfeld, Ministre de la Défense, Paul Wolfowitz, son conseiller, et John Ashcroft, ministre de la justice), qui font

qui a commencé en 1999, avec la nomination du premier Afro-Américain, Franklin Raines, à la tête d'une des principales institutions de Wall Street, la Federal National Mortgage Association. Mais il y'a aussi Ken Chenault (PDG d’American Express), Colin Powell (le premier noir étant ministre des Affaires étrangères), Condoleeza Rice (ministre des Affaires étrangères sous l'administration Bush), Richard Parsons (président du conseil d’administration de Time Warner), Sheila Crump Johnson (fondatrice de

de tous les citoyens devant la loi. Dans les faits, ces mesures ont indéniablement permis d’accélérer la mobilité ascendante d’une partie de la population, notamment de la communauté afro-américaine. Par exemple, le secrétaire d’Etat américain Colin Powell, affirme qu’il n’aurait jamais pu devenir général sans l’affirmative action. […] Cependant, ceci n’est pas sans poser de sérieuses difficultés. Un processus de stigmatisation est fatalement contenu par cette politique qui dès lors, peut être rejetée

néo-institutionnalistes, le conformisme découlant des pressions isomorphiques ne serait pas gage de compétitivité. Concernant les pressions extérieures dont fait l’objet l’organisation, DiMaggio et Powell (1983) sont parvenus à mettre en évidence trois types de pressions : « coercive, mimetic, and normative » (DiMaggio et Powell, 1983 : 147) : - l’isomorphisme dit « coercive », soulevant à son tour les deux sources d’influences servant à l’adoption de normes communes : les autres organisations et la société ;

dont 7.000 pour la seule année 2010. Selon des membres de l’ancien gouvernement de Vicente Fox la guerre contre les narcos lancé par Calderon est un échec. D’après ce Vicente Fox et son ancien gouvernement qui s’appuient sur la définition de Colin Powell : «  Il estimait qu’il fallait avoir une vision claire de la victoire, posséder une force écrasante et définir les conditions de sortie de conflit » aucune de ces trois conditions n’est intégrée dans la stratégie du gouvernement Calderon. Nous

Nicolas Sarkozy lors de sa première conférence de presse avec Barack Obama. Il avait alors soutenu qu'il était un fervent partisan de la diversité « Cela fait trois décennies que tous vos ministres n'ont pas des noms américains: Madame Albright, Colin Powell, Madame Rice. C'est pour ça que j'aime les Etats-Unis et c'est pour ça que dans le gouvernement de la France, il y Rachida Dati, il y a Fadela Amara, il y a Rama Yade ». La formulation laisse penser que le choix des ministres est d'abord « esthétique »

Cheney. C’est ce qui va leur permettre de s’imposer par rapport aux représentants de la droite chrétienne, évangélique et morale, eux aussi très présents à la Maison-Blanche, mais aussi de l’aile « réaliste » du parti républicain, représentée par Colin Powell ou George Bush père Leur credo est l’interventionnisme. Les Etats-Unis doivent, selon eux, être « reconnus comme la nation-phare des droits de l’homme ». S’appuyant sur leur propre histoire, ils doivent « exporter la démocratie et la liberté »

t-il aussi le fait que Bush a eu besoin d’être soutenu par davantage d’électeurs Noirs, car ces derniers votent moins que les Blancs et votent plutôt pour le parti Démocrate. D’autre part, le précédent Secrétaire d'État américain, c’est à dire Colin Powell, ayant participé aux guerres du Vietnam et d'Irak, était lui aussi Noir. Tous ces choix montrent bien l’évolution positive de tous ces combats, de toutes ces luttes, qui ont mené en Novembre 2008 à l'élection de l'afro-américain Barack Obama au

pertes de vie militaires ont également contribué à la dégradation de l’opinion publique face à cette guerre. Condamné à la peine capitale pour crime contre l’humanité, Saddam Hussein laisse son pays dans un état lamentable. Le 21 février 2001, Colin Powell, le secrétaire d’état américain, avait même déclaré que Mr. Hussein ne possédait pas de potentiel significatif en ce qui concerne les armes de destruction massive. Au lendemain du 11 septembre, l’opinion change radicalement et l’Irak se retrouve

ont leurs antennes et étendent l’influence de notre pays. Enfin, la France conserve une diplomatie influente sur les relations internationales : ainsi, en 2003, elle s’oppose au camp américain lors de la guerre en Irak en réfutant les thèses de Colin Powell (Dominique de Villepin). Ainsi, en 2007, la France choisit de recevoir et de voir des personnalités contestées (Mouammar Kadhafi, le Dalaï-lama…), ce qui lui vaut parfois certaines oppositions et des accusations d’ingérence (notamment la Chine)