Colique

diagnostic de maladie de Crohn peut être difficile et nécessiter d’écarter les autres causes d’atteintes organiques intestinales (infectieuses, ischémiques, médicamenteuses, radiques voire néoplasiques). De plus, la distinction entre maladie de Crohn colique et RCH peut être délicate. Pour toutes ces raisons, un avis spécialisé est indispensable. 2.3.1 Clinique Les signes suivants sont diversement associés : ► Signes digestifs Douleurs abdominales (spasmes, syndrome d’obstruction intestinale), nausées

polŽmiques. Les donnŽes disponibles suggrent que plus de trois quarts des cancers colo-rectaux proviennent de la transformation maligne d'un adŽnome. - La dŽtection et l'exŽrse des adŽnomes permettent d'envisager la prŽvention secondaire du cancer colique. Colites ulcŽreuses L'augmentation de risque de cancer du c™lon dans la recto-colite ulcŽrohŽmorragique est connue depuis longtemps. Le risque de cancer dŽpend essentiellement de l’extension et de l’‰ge au moment du diagnostic. - Il est trs

ardoisées →orifices urétéraux. d/ Complication : *Surinfection, cystite. *Lithiase. *Séquelles tardives : cystite chronique, vessie pseudo tuberculeuse, dysectasie du col vésical. * Atteinte urétérale : a/ Clinique : Latente →crises de coliques néphrétiques. b/ U.I.V : *Sténoses uniques ou multiples *Urétéro hydronéphrose. *Reflus vésico urétéral. c/ Complications : -Pyélonéphrite aigue. -Lithiase. →Retentissement sur le rien. * Atteinte rénale. *Hydronéphrose/Obstacle uretères

parcourant le côlon en court axe· Aspect de pseudo-polype : masse intraluminale ou· Épaississement focal et irrégulier de la paroi colique à peut être circonférentiel, symétrique ou asymétrique (vascularisé) ou· Lésion solide exophytique· Balayer le colon et situer le cancer· Mesurez la masse intramurale· Mesurez l’épaississement focal ou irrégulier de la paroi colique· Mettre le doppler puissance (et couleur)· Décrire échogénicité et échostructureAdénite mésentérique· À l’échographie, un nombre important

d'avoir un appareil digestif aussi « petit » par rapport à sa corpulence est qu'il est impératif pour lui d'avoir plusieurs repas dans la journée. Q2 : Quels sont les symptômes évocateurs d'un cheval en colique ? Quelle est l'attitude à adopter ? Les symptômes évocateurs d'un cheval en colique sont : des douleurs abdominales aigües, une distension abdominale, une sudation. L'attitude à adopter est : faire marcher le cheval, lui donner des analgésiques et des antispasmodiques, en cas d'état

.................................................................................................................... 17 BALLONNEMNT – METEORISME ABDOMINAL : .................................................................................. 18 LA COLIQUE HEPATIQUE : ..................................................................................................................... 19 L’ICTERE ........................................................................................................

menstruations, règles abondantes (ménorragie) ou douloureuses (dysménorrhée) L abdomen le système digestif Douleur abdominale Siège et début de la douleur Aigue ou chronique Cotation de la douleur Région douloureuse Type de douleur (douleur colique : apparait et disparait en vagues et liée aux mouvements de péristaltisme, arbre biliaire : constante et sévère) Facteurs aggravants : repas si ulcère gastroduodénal o Ulcère gastroduodénal Lancinante, à type de brulure, localisée dans l épigastre

mettre bas. Ce sont: La première étape pour la jument est la préparation. Elle devient souvent nerveuse, se couche et se relève fréquemment. L’on note aussi très souvent le balancement de la queue, la sudation, la miction et de petits signes de coliques tels que la contemplation de son abdomen, le fait de piaffer, la position allongée et une légère transpiration. Cette étape dure habituellement 2 à 3 heures. Une fois que les contractions commencent, qu’il s’agisse des contractions de l'utérus ou

l’équation ″énergie ingérée=énergie dépensée″ est déséquilibrée. II-ORIGINES DE LA DENUTRITION DENUTRITION PAR MALABSORPTION | PATHOLOGIE DIGESTIVE | -pancréatite chronique-cirrhose biliaire ou éthylique-maladie de Crohn colique-recto-colique hémorragique-résection jejuno-iléal-diarrhées chroniques avec stéatorrhée et créatorrhée quelle qu’en soit la cause | MALADIES CATABOLISANTES | | -maladie de Basedow et autres hyperthyroidies-tous les cancers hémopathies malignes-virose chronique

biologiques sont une hyperleucocytose avec polynucléose, rarement remplacée par une leucopénie. Souvent les clichés d'ASP ne sont pas contributifs, en dehors de la présence d'un pneumopéritoine. Celui-ci est habituellement géant lorsque l'effraction est colique. Il peut exister des signes d'occlusion souvent prédominants autour du foyer primitif.  Péritonites localisées La péri hépatite est une péritonite localisée autour du foie Il s'agit de collections sus-mésocoliques (ou abcès sous-phréniques)