Colique

l'eau pour le plaisir, ni pour le repos/ C'était juste la trace d'une sueur à la surface du désert, le don parcimonieux d'un Dieu sec, le dernier mouvement de la vie. Eau lourde arrachée au sable, eau morte des crevasses, eau alcaline qui donnait la colique, qui faisait vomir. Il fallait aller encore plus loin, penché un peu en avant, dans la direction qu'avaient donnée les étoiles. Mais c'était le seul, le dernier pays libre peut-être, le pays où les lois des hommes n'avaient plus d'importance. Un

l’oublier ou à vivre avec. Les différents types de douleur : - Selon la localisation : Douleurs localisées, soit dues à une lésion superficielle, soit dues à une lésion profonde. Douleurs diffuses souvent d’origine viscérale ( exemple : coliques néphrétiques, cancers…). Douleurs projetées (exemple : compression du nerf sciatique). Douleurs irradiées ( exemple : infarctus qui sert la poitrine et irradient dans la mâchoire et le bras gauche). - Selon l’intensité : Douleurs aigues :

chronologie parfois décalée : douleurs abdominales, vomissements et arrêt des matières ainsi que des gaz. (b) Mécanisme causes et étiologies de la constipation La constipation symptôme ou symptomatique résulte d’une anomalie ralentissant le transit colique ou affectant les mécanismes normaux de la défécation. La constipation est un symptôme très courant dans de nombreuses maladies neurologiques comme la Sclérose en plaque ou encore la maladie de Parkinson. Mais ce qui nous intéresse ici, chez le

PHENOMENES MECANIQUES (broyage et brassage) PHENOMENES CHIMIQUES 3 TEMPS BUCCAL INGESTION TEMPS PHARYNGIEN TEMPS OESOPHAGIEN TEMPS GASTRIQUE TEMPS DUODENAL Suc pancréatique Bile TEMPS INTESTINAL DEFECATION TEMPS COLIQUE TEMPS RECTAL 4 5 Fonction mécanique Fonction chimique LA MASTICATION ACTION DE LA SALIVE Formation du bol alimentaire 6 7 Les dents selon leur morphologie ont des rôles différents LES INCISIVES LES CANINES

Système lymphatiqueSystème lymphatique Le système lymphatique correspond à l’appareil circulatoire de la lymphe = liquides extracellulaire et extravasculaires · Rôle majeur dans immunité le système lymphatique fait partie intégrante du système immunitaire · Rôle au niveau du tube digestif joue un rôle dans l’absorption des graisses · Rôle

ainsi que douleurs épigastriques. Antécédents chirurgicaux : varices Antécédents médicaux : hypertrophie bénigne de la prostate traitée par MECIR Pas d’allergie connue. HISTOIRE DE L HOSPITALISATION Le 14/09 : TDM montre une tumeur colique droite sténosante, avis chirurgien demandé. Avis Chirurgien : lésion suspecte sténosante, inflammatoire de la jonction iléo-caecale. Le patient est transféré en chirurgie ORL car plus de place en chirurgie digestive afin de surveiller et poursuivre

aiguë au plomb est exceptionnelle. L’exposition au plomb est responsable de troubles digestifs, de convulsions et d'atteinte du rein et du sang. Lors d’une exposition chronique au plomb, on assiste à des manifestations digestives (colique, constipation, distension colique aérienne), une élévation de la tension artérielle, une atteinte du système nerveux central et périphérique, une insuffisance rénale chronique. On constate aussi l’apparition de taches bleutées dans la bouche (gencives et joues).

lipides et vitamines…) Le temps de séjour des aliments y est court (1 à 2 heures). Gros Intestin 60% du volume total et il est constitué du : C’est le lieu de la digestion bactérienne postLa forme du côlon prédispose le cheval à des gastrique. coliques par constipation. Le gros intestin est le lieu d’absorption du phosphore et de la résorption de l’eau. 25 L’alimentation La digestion chez les équidés est essentiellement enzymatique et secondairement microbienne. Le cheval valorise tout

trajet de la stomie (en vue d’une irrigation colique). • Proposer au patient de pratiquer l’irrigation toujours au même moment de la journée (matin ou soir, dans tous les cas à un moment de disponibilité du patient) afin que cette pratique entre dans les habitudes de vie. Enseigner la technique de l’irrigation du colon au patient colostomisé gauche et vérifier l’acquisition de la technique. • Rechercher avec le patient la fréquence optimale d’irrigation colique en fonction de ses possibilités à contrôler

(déshydratation, de choc…). L’examen clinique commence par une inspection (cicatrice, péristaltisme…) et la palpation (abdomen tendu, sensibilité) Diagnostic différentiel Les affections médicales avec manifestation « subocclusive » sont : colique néphrétique, colique hépatique, infarctus du myocarde, torsion d’annexe… L’imagerie On fait des examens complémentaires afin e confirmer le diagnostic, il faut d’abord préparer une voie veineuse, soulager le patient de sa douleur afin que la radiologie soit