Collaborateur Et Resistant

lendemain de la guerre apparaît après l’épuration ( épuration des collaborateurs) et dans un souci d'unité nationale le mythe résistantialiste. Ce mythe fut créé par les gaullistes et les communistes ( parti qui s'attribue le deuil des 75000 fusillés) dans le but de ressouder la France qu'ils qualifient dès lors d'une « France de la résistance ». Dans ce même but l'on assiste au transfert des cendres de Jean Moulin ( haut résistant français) au Panthéon en 1964. Le resistancialime laisse cependant

la collaboration. Ils veulent oublier. En 1945, on entend les mémoires héroïques, on ne parle que des héros de la guerre et des résistants (ex : Jean Moulin) afin d’oublier les côtés négatifs. On y voit s’opposer les mémoires Gaullistes et Communistes. À la fin de la guerre, les dirigeants ne veulent pas conserver l’aspect collaborateur du pays mais l’aspect résistant, héroïque. La résistance à deux visages : -Résistances Gaulliste : qui soutient De Gaulle, symbole de l’unité avec Jean Moulin

mémoire officielle et sélective A- La mise en avant d'une France unanimement résistante... Résistancialisme : mythe développé après la guerre par le général De Gaulle et ses partisans selon lesquelles les Français auraient unanimement et naturellement résisté pendant la Seconde Guerre Mondiale. 1) Une mémoire patriotique au service de l'unité nationale... Français divisés, 200 000 résistant et 50 000 collaborateurs, Régime de Vichy (Pétain) A la libération, la priorité de De Gaulle est de

les chemins de fer. Toutes est fait avec ces photographie pour montrer que ces personnes sont des criminels,ne sont pas des résistants,ne sont pas des gens qui s'attaquent au collaborateurs mais qui sont bien des criminels. Enfin,la dernière partie de l'affiche avec la question-réponses,indiquent au français qui va regarder cette affiche ce qui faut penser,ces résistants s'annoncent comme des libérateurs et bien l'affiche va montrer au français qui regarde cette démonstration l'inverse. Ce ne

pour un français, surtout un résistant. Gabriel Péri était journaliste et très actif dans la partie communiste. Il était arrêté et fusillé par les Nazis après le commencement de l'occupation en 1941. Donc les résistants avec qui Éluard voulait communiquer auraient reconnu ce nom, et ils auraient associé le poème avec les idéals que Péri représentait. Il y aussi un jeu sur son nom ; Gabriel Péri a péri ; Gabriel Péri était mort. Bien sur, la façon de mort, que les résistants auraient associé avec la gloire

d'un massif montagneux, procédé utilisé par de nombreux résistants . En 1941, il co-fonde, avec Pierre de Lescure, les Éditions de Minuit, maison d'édition clandestine et y publie sa nouvelle Le Silence de la mer en 1942. Il est le concepteur du logo à l'étoile des éditions de minuits Il fait partie de la Commission d'épuration de l'édition, mais il en démissionne en raison de l'inégalité des sanctions à l'encontre des ecrivains,  collaborateurs avec l'Allemagne nazie, et à l'encontre de leurs éditeurs

Chapitre III : La seconde guerre mondiale (5 périodes)Introduction :Les conséquences de : - crise économique mondiale- l’extrême violence et agressivité des totalitarismes des années 30- opposition idéologique fondamentale entre le modèle libéral et le modèle communiste vont entrainer la seconde guerre mondiale. Cette guerre clôture la période de l’entre-deux guerres et débouche sur un « nouvel ordre mondial » après 1945 . La France sera

privilégier. Quels problèmes la France rencontre t-elle au sortir de la guerre ? Comment le général de Gaulle restaure t-il l'unité nationale ? Quels sont les enjeux de la mémoire de la Résistance ? Comment la France assume t-elle un passe collaborateur et antisémite ? I LE BILAN MATERIEL ET HUMAIN : UN PAYS EXSANGUE Pourquoi le traumatisme de la guerre est-il durable ? A ) Un lourd bilan démographique La guerre et les déportations ont fait près de 600.000 morts Français. D’un point de vue

résistantialisme, avec un "t", a été forgé par l’abbé Jean Marie Desgranges, député du Morbihan de 1928 à 1940, lui-même authentique résistant, pour dénoncer « l’exploitation d’une épopée sublime par le gang tripartite à direction communiste » à la page 11 de son ouvrage Les crimes masqués du résistantialisme. Le concept correspond ainsi à une critique des faux résistants à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et non pas de la Résistance elle-même. À partir de 1951, le mot a été utilisé dans les milieux

une carrière de chanteuse dans les grands cabarets parisiens. Elle connaît un nouvel exode qui va la mener à Londres où elle composera le Chant des Partisans en 1941. De plus, elle a chanté son œuvre à l’antenne de la BBC pour la faire passer aux résistants, aux maquisards en France. Après la guerre, elle quitte la France et va s’installer aux Etats-Unis où elle meurt en février 2006 à l'âge de 89 ans. 3. Joseph Kessel, le 10 février 1898 en Argentine, il fait ses études à Nice, puis à Paris. Il