Collège romain

Ronsard commence ça carrière auprès de la cour et du roi, en tant que dauphin, cavalier puis secrétaire, ce qui lui permet de voyager en Flandre et au Royaume-Uni, mais il met fin à cette carrière suite à sa surdité. C'est suite à ses études au Collège de Coqueret qu'il lance le mouvement littéraire de la Pléiade, en compagnie des écrivains Du Bellay, Baïf, Rémy Belleau, Pontus de Tyard, Etienne Jodelle, Jacques Peletier du Mans puis Jean Dorat. A partir de 1550, Ronsard publie les Odes, son

Orphelin de père et de mère avant que j’eus 10 ans, je suis confié à la tutelle de René, mon frère ainé. Mais René me négligea ! En fait, j’eus une enfance triste, solitaire, je fus un adolescent fragile. Je fis mes études de droit à Poitiers, au collège de Coqueret où je rencontrai Pierre de Ronsard. C’est là, sous l’influence de mon professeur de grec, Jean Dorat, que nous décidâmes de former un groupe de (sept) poètes appelé ‘La Pléiade’. Notre objectif était de créer des chefs d’œuvres en français

David né le 30 août 1748 à Paris et mort le 29 décembre 1825 à Bruxelles Tableau crée entre le 21 décembre 1805 et novembre 1807 A La Chapelle du collège de Cluny, près de la Sorbonne, à Paris Dans le domaine de l’art du visuel avec la thématique art, état et pouvoir Introduction Sur ce tableau, je vois un bâtiment religieux qui est occupé pour faire le sacre de napoléon et de sa femme Joséphine

quotidiennement: que ce soit dans nos lectures littéraires, dans nos études scientifiques ou même dans notre langage parlé, le latin est une langue omniprésente qui nous persécute. Et c'est ainsi qu'affirment certains historiens du monde romain comme John Scheid, professeur au Collège de France: lingua latina vivas est ! La conférence de Monsieur Scheid nous révèle la réponse à une question que nous nous sommes déjà tous posée: pourquoi étudier le monde antique et plus précisément le latin?Voyons donc de plus

La Pléiade I. Constitution du groupe 1) Le collège de Coqueret A partir de 1547, pendant cinq ans au moins, des jeunes gens épris de culture antique suivirent les cours d'un célèbre humaniste, Dorat, principal d'un petit collège parisien de la Montagne Sainte-Geneviève, le collège de Coqueret ; parmi eux, se trouvaient Ronsard, Du Bellay, Baïf. Dorat, le maître, leur lisait les poètes grecs et latins; en même temps, il initiait ses élèves à la civilisation antique et leur apprenait

(employé le fr. plutôt que le latin); ¤illustrer la langue, lui donner de la grandeur, du prestige; 1 Constitution du groupe 1.1 Le collège de Coqueret  A partir de 1547, pendant cinq ans au moins, des jeunes gens épris de culture antique suivirent les cours d'un célèbre humaniste, Dorat, principal d'un petit collège parisien de la Montagne Sainte-Geneviève, le collège de Coqueret ; parmi eux, se trouvaient Ronsard, Du Bellay, Baïf. Dorat, le maître, leur lisait les poètes grecs et latins; en même

ecclésiastique, comptant sur son autre cousin, le cardinal Jean Du Bellay, évêque de Paris et diplomate célèbre. o Pour se préparer, étudie le droit à la faculté de Poitiers o A Poitiers, il rédigea ses premières poésies latines et françaises.  Le collège de Coqueret o Etudie les anciens sous la conduite de Dorat o En retard sur pour le grec sur Ronsard et Baïf, se consacre culture latin ce qui lui permet de conserver son originalité et être plus proche de la tradition nationale. o Apprit l’italien

La Rome de César. Il y a vingt et un siècles, Rome est considérée par ses citoyens comme le centre du monde. Ses armées puissantes conquièrent de nouvelles contrées. Les Romains se gouvernent eux-mêmes dans le cadre d’une république. Ils ont renversé leurs rois 400 ans auparavant, et désormais le peuple choisit lui-même ses dirigeants. Cependant, tout ne va pas pour le mieux : le mécontentement couve dans la cité. Un homme va devenir le héros de ceux qui souhaitent une vie meilleure. Il devient

Jean-Antoine de Baïf, Étienne Jodelle, Pontus De Tyard, Rémy Belleau, Jean Dorat. Le noyau dur du mouvement est formé de Ronsard, Du Bellay et Baïf. Il s'est formé en 1547, au collège de Coqueret de Paris. Ils sont formés par les enseignements de l’helléniste de Dorat. Ils y étudient les grandes œuvres de l'Antiquité grecque et romaine comme Pindare, Horace et Platon et italienne. Ils imitent librement des poètes aussi bien contemporains, qu’italiens ou que néo-latins ; et s’imitent aussi entre eux (la

optimiste de l'homme.   L'humanisme se répand en Europe, tout d'abord en Rhénanie, de l'Allemagne à la Hollande, région la mieux pourvue en villes, riche en échanges culturels et première zone d'expansion de l'imprimerie et des foires aux livres. Le collège trilingue de Louvain est le premier de ce type. Erasme est le phare de la nouvelle culture, encore très liée à la religion: ses éditions des Pères de l'Eglise, ses Dialogues et ses Adages, son Eloge de la folie (1511), ses réflexions sur le christianisme