Collision Continentale

117 118 SERIE 16 : convergence et subduction Leçon 1 : les signes ………………………………………………………………… Leçon 2 : l’activité ………………………………………………………………… Leçon 3 : le mécanisme ……………………………………………………………. 121 122 124 SERIE 17 : convergence et collision continentale Leçon 1 : les arguments ……………………………………………………………. Leçon 2 : les déformations …………………………………………………………. Leçon 3 : évolution ………………………………………………………………… 126 127 128 SERIE 18 : couplage des événements biologiques et géologiques. Crise crétacée

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transformé le plancton ainsi enfoui en nappes de pétrole et de gaz. La plupart des gisements de pétrole se sont formés dans les régions équatoriales à la fin du Jurassique, il y a plus de 150 millions d'années. La dynamique des plaques tectoniques continentales a ensuite déplacé les gangues rocheuses en direction du nord et de l'est, vers le Moyen-Orient, la mer du Nord, la Sibérie et d'autres latitudes septentrionales. Les gisements de pétrole des USA datent de l'ère permienne, il y a 230 millions d'années

temps après il y a 4,53 milliards d'années10. Le consensus actuel11 pour la formation de la Lune est l'hypothèse de l'impact géant, lorsqu'un objet de la taille de Mars (quelquefois appelé Théia) avec environ 10 % de la masse terrestre12 entra en collision avec la Terre13. Dans ce modèle, une partie de cet objet se serait agglomérée avec la Terre, tandis qu'une autre partie, mêlée avec peut-être 10 % de la masse totale de la Terre, aurait été éjectée dans l'espace, où elle aurait formé la Lune.

argilites à éléments pyroclastiques ;  Francevillien E (FE) composé d’argilites, grès épiclastiques et de siltites. Elles correspondraient à des formations déposées sur le socle à la faveur d’un système de horsts et de grabens 4de plate-forme continentale dont le Bassin de Franceville et celui de Lastourville font partie (figure 5). La partie la plus distale étant celle d’Okondja correspond à une zone d’accrétion océanique avortée 5. La puissance des sédiments du Francevillien varie de 1500 à

durant le xxe siècle et celui-ci pourrait avoir disparu en 2020 selon un article paru dans la revue Science en 200253. À quelques exceptions prèsnote 1, la plupart des glaciers montagnards étudiés sont en phase de recul. Le recul des glaciers continentaux est observé de façon quasi généralisée depuis 3 à 4 décennies, avec une nette augmentation au cours des 20 dernières années20. De nombreux travauxnote 2 documentent ce recul et cherchent à l'expliquer. Un tel recul semble tout à fait cohérent

régions volcaniques sont caractérisées par l’alignement des édifices volcaniques. Ces trois exemples permettent aussi de réinvestir les connaissances acquises au chapitre 1 sur les fosses océaniques, les dorsales océaniques et les grandes fractures continentales. L’exemple du Paricutin (Partie A) montre que l’édifice volcanique ne préexiste pas aux éruptions mais qu’il Le planisphère permet de généraliser les constats précédents à l’échelle mondiale et non plus régionale. 14 © Hachette Livre 2007,

772 km², soit une occupation du tiers du territoire du Royaume-Uni. A cela, il faut rajouter les parcelles de terres disséminées tout autour de l´Ecosse, que ce soit du coté de la Mer du Nord ou de l´Océan Atlantique. L´Ecosse du point de vue continental est incluse entre le 54°38´ le 58°40´ Nord ainsi qu´entre le 1°46´ et 6°13´ Ouest. Les Shetland se situent au degré 61 Nord et St-Kilda au degré 8 Ouest. L´Ecosse ne possède qu´une seule frontière terrestre. C´est avec l´Angleterre qu´elle la partage

est caractéristique en milieu continental par la fusion partielle de la croûte. Deux cas peuvent l’expliquer soit au phénomène underplating ou phénomène stopping favorable à la mise en place d’un batholite soit lors d’un phénomène de collision. Ce dernier n’est pas convainquant. Au niveau de l’affleurement des bananeraies peut impliquer le premier. Vu la présence d’un volcanisme basique et andésitique évoluant en milieu océanique et le plutonisme en milieu continental on peut conclure ainsi une rupture

caractéristiques du marché et de leur environnement. Même concurrentes, les entreprises industrielles n’hésitent plus à collaborer comme l’illustre la conception, la construction et la location des plates formes voisines par Prologis, permettant à Continental et Bridgestone de mutualiser leur préparation de commande avec un même prestataire logistique. (Houe, 2006) souligne que le passage à une attitude plus coopérative au sein de la chaine logistique étendue témoigne de la dilution des frontières des