Coluche

document, se mettent à la place des victimes des plaisanteries. C'est-à-dire qu'ils utilisent le rire comme arme, mais dans le sens inverse. Dely DENAUD interroge Oliver MONGIN dans le quatrième document, celui-ci explique que le précurseur était Coluche. L'humoriste à la salopette jaune est allé à contre courant des normes et c'est servie des victimes des blagues pour les faires parler et non pour s'en moquer. Dans le document deux, le philosophe revient sur cette idée en expliquant qu'il est possible

l'humour noir et de l'absurde dans leurs œuvres, comme Jonathan Swift, satiriste irlandais du XVIIème-XVIIIème siècle avec son œuvre majeure «Les Voyages de Gulliver». Ou Albert Camus (XX°) dans «Jonas ou l'artiste au travail» (absurde). Ou bien Coluche et Florence Foresti dans le domaine du spectacle et encore Alfred Hitchcock entant que réalisateur, avec Fenêtre sur cour (1954) ou Sueurs froides (1958). On trouve également l'humour noir dans des films ou séries, notamment dans Happy Tree Friends

différentes manières. D'après  le document 2 qui est un article d’Elodie Emery extrait de Marianne.fr  publié le  samedi 16 octobre 2010  le rire est devenu bâillonné par les craintes des représailles. En effet, l'époque où les  humoristes comme Coluche pouvaient  se moquer d'un ton corrosif a disparu. De nos jours  les humoristes s'autocensures au profit du politiquement correct. Elodie Emery remet en cause la faculté de ces humoristes à apporter un regard neuf sur la société qui nous entoure, mais

et la même culture. De plus certains humoristes ou certains films comiques peuvent être adorés de la génération précédente mais pas de l’actuelle. Par exemple, il me semble que peu de jeunes vont rire à des films de Fernandel ou a des sketchs de Coluche alors que nos parents ou nos grands parents vont rire aux éclats. Néanmoins, le rire permet de créer une certaines cohésion comme nous l’avons vu plus haut avec Gad Elmaleh. C’est ce que nous allons voir dans cette deuxième partie. Dans un second

contester l’ordre établi, ses lois et ses principes. La satire par exemple est un moyen de critiquer en se moquant de quelque chose souvent dans l’intention de provoquer. De nombreux humoristes utilisent la satire pour dénonce des injustices, ainsi, Coluche dénonce sans ménagement les injustices de son temps, en se moquant notamment avec férocité des hommes politiques, accusés de privilégier leur carrière sans se soucier des problèmes des plus démunis et des exclus. De même que Plantu s’attaque au

jaune, mais cela ne veut pas dire que se n’est pas drôle. Dans les spectacles d’humoristes, nous pouvons voir qu’ils tâtonnent jusqu’à trouver ceux qui fera rire tous le public. Ce qui explique que Valérie Lemercier montre ses seins sur scène, que Coluche raille les policiers ou encore que Jamel Debbouze se moque de Bernadette Chirac. En effet, ces humoristes sont à la rechercher d’un rire universel. C’est l’intention qui compte le plus ici, et pas le sujet dont nous rions, c’est donc pour cela que

ressources budgétaires affectées ou prélevées. - Le point de vue organisationnel L’organisation publique à le plus souvent une activité de service, une taille importante et un environnement complexe et contraignant. Fondée par l'humoriste et acteur Coluche en 1985, l'association nationale « Les Restaurants du cœur - Les Relais du cœur » est une association loi de 1901. Reconnue d'utilité publique par décret le 7 février 1992. (Décret, publié au Journal officiel le 13 février 1992) elle a pour objectif

surveillent beaucoup moins qu’avant. Aucune liberté n’est absolue et ce sont la loi et la jurisprudence qui définissent la fin de la liberté d’expression, d’après le directeur de la LICRA. Avant, il y avait aussi des pressions mais les humoristes comme Coluche ou Le Luron refusaient de céder. Et puis le combat se faisait en coulisses. Personne n’était au courant. Maintenant il n’y a plus de coulisses. Avec internet et les medias tout le monde voit tout. L’humour est devenu en business : humour doit pouvoir

le gendre qui déteste son beau-père. • Muriel Robin, qui a écrit des sketchs avec lui, présente une mère de famille perturbée par le prochain mariage de sa fille avec un homme noir ou la directrice d’un salon de coiffure aux propos stéréotypés. • Coluche savait exploiter, par exemple, la bêtise de l’auto-stoppeur critiquant la voiture de l’automobiliste qui l’a pris en charge et se croyant très spirituel. • Plus récemment, Frank Dubosc a délaissé pour un temps ses one-man show pour présenter au cinéma

n'aurait pas sa place de le monde sérieux de la politique, qui elle se défini comme « 1. Qui est relatif aux affaires publiques. 2. Manière de diriger un État. ». De plus, les quelques incursions d'humoristes sur le devant de la scène politique (Coluche, Patrick Sébastien, Bigard...) se sont montrer des échecs. On s'interroge alors sur la réelle place du rire, de l'humour, en politique. Néanmoins, nous pouvons constater que les politiciens, de plus en plus, n'hésitent plus de nos jours à se servir