Combustion

 l'ingénieur allemand Nikolaus Otto et le Français Alphonse Beau de Rochas mettent au point le principe du moteur à explosion. 1885 Réalisation d'un vélocipède à moteur monocylindre par Gottlieb Daimler. 1886 Carl Benz roule dans un véhicule à 3 roues muni d'un moteur à combustion interne. 1886 En France, exploitation par Panhard et Levassor des brevets de Daimler. 1894 Invention de la transmission arrière à cardan par De Dion­Bouton. 1894 Concours Paris­Rouen remporté par un tracteur à vapeur. Acte de naissance de la voiture

 Les moyens de propagation  Ils existes 4 moyens de propagation de l'incendie: - La convection:  Les gazes chauds émis lors de la combustion montent (car la chaleur monte) et s'accumule au plafond. Ces gazes chauds peuvent propager l'incendie de différentes manière, par exemple le plafond s'embrase et l'incendie se propage a l'étage supérieur. - La conduction:  Les matériaux ont une certaines résistances à la chaleur, une fois atteinte les matériaux conduisent

Elle préserve l’environnement car elle ne nécessite aucun carburant ,et elle ne produit pas de déchets toxiques ou radioactifs. De plus ,elle entraine une diminution de l’utilisation des combustibles fossiles comme le pétrole et le charbon dont la combustion émet beaucoup de gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement planétaire. * Possibilité d’alimentation électrique de sites isolés Ceci est le cas pour les éoliennes autonomes sur les sites non reliés au réseau général d’électricité

du gaz ‒ le biogaz ‒ lorsqu’il n’est pas en présence d’oxygène ‒ un gaz2 3. Deuxièmement, les biogaz peuvent être ensuite transformés de quatre manières. Puisqu’ils sont composés principalement de méthane, la première option est de faire la combustion des gaz en chaudière pour produire de la chaleur sous forme d’air chaud, vapeur ou eau chaude. La deuxième option est de brûler les biogaz dans une génératrice pour produire de l’électricité ainsi que de la chaleur, communément appelée cogénération

énergétique (combustion) ou en chimie (matières plastiques, …). En 2005, le pétrole représentait 37 % de la « production d’énergie » dans le monde. Actuellement, la consommation annuelle mondiale est d’environ 30 milliards de barils (1 baril vaut environ 160 L). Le pétrole est consommé nettement plus vite que le temps qu’il met à se former : le pétrole est une énergie non renouvelable. A ce rythme là, on estime à 40 ans les réserves mondiales de pétrole connues. D’autre part, la combustion des produits

exposé, nous expliquerons d’abord quelques polluants importants, les conséquences de la pollution atmosphérique puis nous présenterons quelques solutions. Les polluants : Le monoxyde de carbone (CO) est le plus répandu, il se produit par des combustions incomplètes dues à des installations mal réglées. C’est surtout le cas chez des petites installations. Le CO est aussi présent dans les rejets de certains procédés industriels comme les aciéries et l’incinération de déchets mais surtout dans le

Résumé Fonctionnement: La biomasse est brûlée dans la chambre à combustion et produit de l’énergie thermique. La chaleur transforme l’eau contenue dans la chaudière en vapeur, qui elle fait tourner une turbine. Celle-ci actionne un alternateur qui transforme l’énergie motrice en électricité pour l’acheminer dans des lignes à haute tension.  À la sortie de la turbine la vapeur passe dans un cogénérateur qui en retire la chaleur pour chauffer l’usine. La vapeur restante est acheminée vers un

n°17 : Dans une bombe calorimétrique, on réalise la combustion (1) de 53 g d’éthanol C2H5OH(l). On remarque que la température augmente de 6,2°C. La capacité calorifique totale de la bombe calorimétrique est C = 150 kJ.K-1. C2H5OH(l) + n O2(g) → 2 CO2(g) + 3 H2O(l) Données : M(C2H5OH(l)) = 46 g.mol-1 (1) A. Le nombre n de molécules de dioxygène mises en jeu dans cette réaction est de 3. B. La quantité de chaleur dégagée par la combustion de l’éthanol est égale à -930 kJ. C. La variation

A Bruxelles, Jean-Baptiste Van Helmont (1577-1664), mi-chimiste, mi-alchimiste, réussit de son côté à recueillir des gaz : c'est lui qui nomme ainsi les "esprits" qui se dégagent lors de ses expériences, tel le "gaz sylvestre", résultant de la combustion du charbon. Il découvre aussi que lorsqu'une chandelle brûle dans un bocal clos, le volume d'air enfermé diminue. Mais il n'envisage pas que cet air soit en lui-méme composé de plusieurs éléments, même s'il sert de réceptacle aux « gaz » produits

commencent au niveau environnementale car le bois est une énergie renouvelable si la forêt est gérée de façon durable. L'utilisation du bois-énergie rejette aucun gaz à effet de serre car on considère que le dioxyde de carbone rejeté pendant la combustion du bois a été absorbé par l'arbre lors de sa croissance. Cette énergie contribue à L'entretien de l'espace forestier. Elle permet de se servir des petit bois habituellement brûler dans les champs ou laisser en forêt. Elle permet aussi de réduire