Comique Critique Religion

dénoncer et critiquer le fascisme. Comme souligné précédemment l’humour a joué un rôle très important dans l’histoire de l’art. A titre d’exemple Molière à pratiqué avec brio l’usage de l’humour pour critiquer ses contemporains («castigat ridendo mores») et particulièrement avec des pièces telles que Tartuffe ou l’imposteur, L’avare ou encore le médecin malgré lui. En effet Molière, qui fut dramaturge à la cour du roi, a eu recours à des personnages, des situations, des paroles comiques pour atteindre

les critiques adressées au politique. Sous couvert de faire rire, la satire pointe souvent de façon acerbe et pertinente les dysfonctionnements liés à l’exercice du pouvoir. Celui qui exerce le comique passe pour inoffensif, voire humble sous son image de clown décalé. En réalité, ses pointes peuvent être violentes : elles fracturent les interdits. En 1784, les nobles riaient à gorges déployées des tirades du barbier dans Le Mariage de Figaro et n’imaginaient certainement pas que les critiques formulées

BTS BLANC THEME : RIRE, POUR QUOI FAIRE ? Synthèse Plan I. Pour quoi rire ? A. Une fonction critique (documents 2 et 4) B. Une fonction sociale (documents 1, 2 et 4) II. De quoi rions-nous ? A. Des choses du quotidien (documents 2, 3 et 4) B. L’évolution de l’objet du rire (documents 1, 2 et 3) Le rire a toujours eu une importance capitale dans notre société. Cependant, sa valeur et son objet ont beaucoup évolués au fil du temps. En période de catholicisme, il a

chevalerie, Rabelais critique les théologiens de la Sorbonne. Nous allons montrer que le double grotesque du narrateur sert à condamner les ennemis des humanistes de la Sorbonne. Dans un premier temps nous allons voir que le narrateur est le double de l’auteur, puis nous nous interresserons aux critiques des personnalités

plusieurs cibles sont critiqués par Voltaire. Quels sont donc ces cibles et comment Voltaire parvient-il à les critiquer? Premièrement nous étudierons la critique de l’optimisme. Ensuite on étudiera la critique de la religion. Apres nous verrons l’aristocratie fortement critiquée. Enfin on verra la critique de la guerre et de l’esclavage. La critique de l’optimisme Dans l’ouvrage Voltaire critique fortement l’optimisme. On voit cette critique de l’optimisme dans le choix

désigne les dissidents protestants, avant de s’étendre à tout esprit considéré comme irréligieux comme les Athées par exemple. Le libertin « d’esprit » devient systématiquement libertin de « mœurs », jusqu’à ce qu’en 1683. Puis la distinction entre Religion et Morale est restaurée ce qui entraine naturellement le clivage entre les deux qualifications du Libertin. Le libertin d’esprit, c’est un libre penseur. Il remet en cause les croyances établis que l’on ne doit pas remettre en question (les dogmes)

et Oreste pour Hermione. B. le theatre, un lieu de reflexion et de critique de la société Avnt d’étre un lieu de conflit, le theatre est avant toute chose un lieu de reflexion et de critique de la societe actuelle. Le grand nombre de censure montre qu’a cette époque (le 17e) de nombreuses oeuvres ont pour themes des sujets qui porte à polémique. Tartuffe par exemple, a ete qualifié d’injurieuse envers les devots et la religion ce qui a avalu a Moliere une censure de son oeuvre. L’Avare est un

Pierre Siankowski répond dans son article tiré du magasine « Label France » n°56 en 2004, oui mais pas n’ importe où et avec n’importe qui tandis qu’en 2010, Elodie Emery dans son article extrait de marianne2.fr, nous invite à réfléchir sur les comiques d’autrefois et ceux de notre temps. Selon elle, de nos jours, ils ne sont plus libres de rire de tout et ils se mettent eux même des limites à ne pas franchir. Quand à Jonathan Swift, auteur du roman « Modeste proposition pour empêcher les enfants

véritable diatribe (= critique violente) contre l'ordre monastique. Nous verrons comment ce dialogue comique entre des personnages de fictions, se présente en réalité comme une satire polémique du clergé. On peut y distinguer 3 mouvements le premier allant de « Foy de christian » à « huez et abhorrys » qui explique pourquoi les moines sont haïs de la société, le deuxième allant de « Voyre, mais » à « les prent en grace » » qui explique en quoi ils sont inutiles dans la religion et enfin le troisième

rire ». Enfin, Aphrodite (appelé aussi Vénus chez les romains) est la déesse de la beauté de l’amour mais aussi du rire ! Détail de « La naissance de Vénus », Sandro Botticelli, 1486 Dans les récits d'Homère, on peut constater certains passages comiques, comme le dit Marie-Laurence Desclos dans son œuvre intitulée Le Rire des Grecs : anthropologie du rire en Grèce ancienne. Nous pouvons citer l'épi­sode du chant de L'Odyssée où Aphrodite et Arès, surpris « dans leur amour furtif », font l'objet