Comique Don Quichotte

romanesque 1) la place de l'auteur: je cite Flaubert et Proust qui déclarent donner d'eux-mêmes dans leurs personnages. Idée que l'écriture a la capacité de cristalliser les pensées du héros, et je reprends L'Assommoir pour réconciler le "oui" et le "non" 2) un "moi" fictionnel: Thackeray qui dans Vanity Fair compare le roman à une "foire" et ses héros à des "marionnettes". Art de l'illusion. Je termine sur Don Quichotte en citant l'analyse qu'en fait Foucault, avec l'idée que le héros romanesque

Finalement le personnage principal se caractérise par ses actes. e) Annonce du plan= le personnage héroïque/des personnages ambiguës. Première partie : le personnage héroïque ARGUMENT 1= Le Héros traditionnel Développez ici une définition du héros puis donner un ou des exemples précis confirmant cette définition ARGUMENT 2= Des personnages porte parole/représentants d’une lutte Davantage dans les romans du XIXème siècle. Personnages ordinaires mais portant les marques du héros. Trouver des exemples chez

les écrivains qui analysent le mieux les limites du procédé : la crainte est que le lecteur, fasciné par les aventures du héros, prenne la fiction pour argent comptant et s'expose ainsi à de vives désillusions. Quand Cervantès évoque son Don Quichotte, il campe un être abreuvé de littérature romanesque, qui prend les moulins à vent pour des géants, parcourt l'Espagne sur une jument famélique, et s'affuble d'un plat à barbe en guise de casque. De même, Flaubert crée une Emma Bovary dont

Le corpus proposé est composé d'extrait de Le Chevalier à la Charrette de Chrétien de Troyes (1176/1181), Les Misérables de V. Hugo (1862), Don Quichotte de M. de Cervantès (1605), L'éducation Sentimental de G. Flaubert (1869) et Les Gommes d'A. Robbe-Grillet (1953). Nous nous interrogerons sur l'image du héros romanesque : est-elle valorisée ? Dans les romans de Chrétien de Troyes, de V. Hugo et, dans une certaine mesure, de Cervantès, il semble que la figure du héros le soit

ce roman de Cervantès est célèbre. Il est l'une des pièces majeures de la « littérature mondiale ». En publiant ce texte, Cervantès enterre le roman de chevalerie, encore en vogue à son époque, et ouvre la voie au roman moderne, rien de moins. Don Quichotte a lu, tellement lu les exploits des chevaliers errants qu'il se décide à en devenir un, accompagné de son « écuyer » Sancho Panza, et toujours amoureux de Dulcinée. Mais le vaillant chevalier vit dans ses rêves, l'épopée tourne court sous le coup

copier -coller. I Le roman du Moyen – Age au XVII ième siècle met en scène souvent des héros extraordinaires, idéalisés sublimés, merveilleux. Quel idéal est représenté à travers portraits de personnages, description des espaces traversés ? Don Quichotte de Cervantès, Gargantua , Pantagruel de Rabelais ? Des romans parodiques de quoi, pourquoi ? Faites des recherches des fiches, prenez des notes. Pourquoi, dans quelle visée : édifier le lecteur, transmettre une vision exemplaire de la vertu,

vers quoi le roman courtois dérive-t-il ? (exemple) Il dérive vers le roman historique ou le roman précieux (Ex : La Clélie de Melle de Scudéry). Dans quoi se développe la veine satirique ? (exemple) Dans les romans picaresques avec Don Quichotte de Cervantes ... Quelle question se pose au XIXème siècle ? Au XIXème siècle, se pose la question du réalisme romanesque. C'est-à-dire qu’on s’interroge sur le rapport entre la science et l’imagination. Qu’est ce que réussit à faire le roman

paru, aucun autre écrivain n’eût été capable d’écrire un pareil ouvrage. Lesage a procédé dans le roman comme au théâtre, en préludant par des imitations ou des traductions à des œuvres de plus en plus personnelles. Il traduit la continuation de Don Quichotte, il remanie et agrandit le Diable boiteux, comme il avait d’abord traduit et imité des pièces de Rojas et de Calderón puis, dans l’affermissement de son génie, il crée Gil Blas qui, par toutes ses qualités caractéristiques et malgré le « lieu »

famille d’artistes, il comprenne, distingue et explique toutes les tendances les plus opposées, les tempéraments les plus contraires, et admette les recherches d’art les plus diverses. Or, le critique qui, après Manon Lescaut, Paul et Virginie, Don Quichotte, les Liaisons dangereuse, Werther, les Affinités électives, Clarisse Harlowe, Émile, Candide, Cinq-Mars, René, les Trois Mousquetaires, Mauprat, le Père Goriot, la Cousine Bette, Colomba, le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre-Dame

retranscrire sous forme romanesque une expérience réelle, qu’elle soit ou non la leur et, par là, imitent le réel dans la création de leurs personnages, comme dans l’élaboration de leur intrigue. D’ailleurs, ils utilisent tout leur savoir-faire pour donner à leur lecteur « l’illusion du vrai », notamment en inscrivant leurs personnages dans un cadre spatio-temporel réaliste et précis. Ex : « La première page de L’Éducation sentimentale de Flaubert commence par la description extrêmement précise d’un