Comique Don Quichotte

Considerada una obra maestra de la literatura hispanoamericana y universal, es una de las obras más leídas y traducidas a otras lenguas.3 “Cien años de soledad” fue catalogada como la segunda obra más importante de la lengua castellana después de “Don Quijote de la Mancha”. La historia narra los acontecimientos del pueblo Macondo y de la familia Buendía. En los tres primeros capítulos se narra el éxodo de un grupo de familias y el establecimiento del pueblo de Macondo. Después cuenta el desarrollo

vieux, et de l'autre les opprimés faibles et jeunes. Le véritable roman naît avec l'arrivée du bâtard, lorsque, sans renoncer à ses visions de paradis, le genre s'éveille aux exigences de la réalité œdipienne. Surgissent alors Don Quichotte et Robinson Crusöé. Don Quichotte prétend s'engendrer lui-même, il se passionne pour les familles fictives (livres de chevaleries) se conduit en Enfant Trouvé (est d'avis que tout lui est dû parce qu'il fait grand bruit de son désintéressement), mais le monde que

valeur les rimes riches - rimes riches v.9 et 10 Le poète se présente comme un paresseux. Eloge paradoxal. Poète apparaît comme mélancolique sui se laisse aller à la rêverie. Mais en réalité, c’est ironique : comparaison v.3 et 4 (« lièvre », « Don Quichotte ») autodérision. Le poète a choisi paradoxalement la forme fixe du sonnet. Or => forme contraignante. Paradoxe. 14 vers disposés en 2 quatrains et 2 tercets => alexandrins très travaillés. St Amant se représente écrivant dans son lit, plongé

romans de Zola et ses carnets de note) +Comportement humain réaliste B)...Le lecteur peut se bercer d'illusion et transposer dans la vrai vie ->Détruir une vie (ex : Madame Bovary de Flaubert +Mensonge +Dette +Adultère ->La folie (ex : Don Quichotte de Cervantès) Se croire investit d'une mission en s'identifiant à des personnages de roman (ici chevaleresque) II-Non ce n'est pas un danger car ... A)...Visée didactique ->Lecteur s'il s'identifie aux personnages il peut : +Apprendre

maître en découvrant de nouveaux personnages, de nouvelles histoires, des actions paradoxales, comme si le lecteur lisait un roman piccaresque : « Et puisque Jacques et son maître ne sont bons qu’ensemble et ne valent rien séparés non plus que Don Quichotte sans Sancho […] » (p.99). L’intervalle entre les questions et les réponses donne un sentiment de vraissemblance au récit, car dans la réalité nous ne trouvons pas les réponses à nos questions si facilement et auparavant nous analysons ce qu’il

amoureux, mais aussi par la critique sociale ( " Ces gens là ", " les bourgeois " Bruxelles " ) mais aussi par une vision réaliste et parfois triviale, et également par ce qu'il appelait la quête de son "innacessible étoile" comme il le fait dire à Don Quichotte dans une comédie musicale qu'il écrivit et interprêta en 1968. Nous allons analyser une de ses chansons les plus célèbre, véritable hymne à l'amour écrite en 1957. Nous verrons dans un 1er axe la structure de la chanson comme procesus innisiatique

Un héros du roman peut-il être un anti-héros ? L’étude des caractéristiques propres à chaque concept nous permettra de répondre à cette question. Développement I. Le héros Le héros est toujours le personnage principal. (exemple : Don Quichotte de Miguel de Cervantes) Dans l’Antiquité, les qualités du héros typiques étaient la renommée, la gloire, la force, le courage, la sagesse, l’intelligence, l’habilité exceptionnelle dans une activité noble, l’accomplissement d’exploits… (exemple :

exaltant l'art militaire Fabrice incarne paradoxalement un être dépourvu de panache. Ainsi, ce pseudo héros est en totale décalage avec les attentes d'un champs de bataille par son comportement passif et ridicule. Nous pouvons donc le comparer a Don Quichotte, qui, bercer d'illusion rêve plus sa vie qu'il ne la vie.

personnage : Madame Bovary, Don Quichotte, Manon Lescault, La Princesse de Clèves, Le Père Goriot, Aurélien. - Rappel de l’étymologie de personnage. Persona en grec = masque < un personnage c’est l’invention d’une fiction comme on met un masque au théâtre. La réflexion sur le personnage est au croisement de techniques d’écriture et d’une vision de l’homme. Il s’agit de comprendre comment un romancier parvient à créer un personnage et quelles significations il faut donner à cette création (que

» (l. 10), « ces malheureux habits rouges » (l. 11) + registre pathétique même si c’est ici volontairement exagéré : « malheureux blessé» (l. 15), « ils criaient évidemment pour demander du secours » (l. 12), « personne ne s’arrêtait pour leur en donner » (l. 12.13). La répétition de l’adjectif « rouge » ainsi que les références aux « habits rouges » (couleur de l’uniforme des fantassins anglais mais aussi du sang) soulignent encore l’impression d’horreur et font de cette scène de guerre un bain