Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique

La guerre froide (anglais : Cold War, russe : Холодная война, Kholodnaïa voïna) est la période de tensions et de confrontations idéologiques et politiques entre les deux superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch que l’expression « Cold War » apparaît pour la

amendements en guise de lois. D'après le document 5, le peuple soviétique adhère au Parti communiste et élit les Soviet qui sont des candidats désignés du Parti communiste. Cela montre le parti unique en URSS. De plus, dans le document 6 on observe que le PCUS existe pour le peuple et est au service du peuple comme une démocratie. On peut donc dire que les fondements de la vie politique en URSS sont basés sur le Parti communiste. 2/On peut dire avec le document 1, que le degré de participation

D’où viennent ils ? Quelle est leur idéologie ? Quel rôle jouaient les États-Unis et l’Union soviétique dans l’histoire des Talibans ? « Les Talibans ont gagné » publie par Ashraf Ghani, le président d’Afghanistan sur son compte Facebook lorsqu’il s’est fuit à l’étranger. Après avoir contrôlé le pays pendant une période de 5 ans, 1996 à 2001, les Talibans été chasse de pouvoir par les États-Unis. Ils sont maintenant devenus les nouveaux maitres de l’Afghanistan. Une étude américaine avait estimé

Guerre mondiale, les relations entre les Américains et les Soviétiques se dégradent. L'URSS affirme vouloir garantir sa sécurité en s'entourant de pays alliés le long de ses frontières. L'Armée rouge ne se retire pas des pays qu'elle a libérés du nazisme et, contrairement aux engagements pris à la conférence de Yalta, n'y organise pas d'élections libres. Une « guerre » d’un nouveau genre oppose les États-Unis à l'expansionnisme soviétique, et la guerre des influences concerne rapidement le tiers-monde

frontière entre les démocraties occidentales et les dictatures communistes orientales. Il craint également qu’une démocratie, alliée aux américains s’installe si prés de ses frontières quand se prépare la guerre froide. Son attitude face a ceux qu’il appelle les gens de Londres peut être qualifiée de dédaigneuses et même de méprisante car bien évidement Staline préfère que le comité de Lublin, fraichement formé et sous la coupe des communistes est en contradiction avec le gouvernement exilé a Londres

 Rivalité stratégique inéluctable des blocs américain et soviétique[modifier | modifier le code] Dès le xixe siècle, Alexis de Tocqueville prédit que les États-Unis et l'Empire russe ont tous deux vocation à devenir des empires à l’échelle mondiale, et s’opposeront pour la domination globale dès qu’ils entreront en contact. Il écrit que« chacun d'entre eux [États-Unis et Russie] semble être appelé par un dessein secret de la Providence à tenir un jour dans ses mains les destinées de la moitié

programmes économiques qui renforcent le pays. Peu de temps après son arrivée au pouvoir, Kennedy avait permis à des exilés cubains d'envahir leur patrie pour renverser Fidel Castro. L'opération dans la baie de cochons tourne vite au désastre. Les soviétiques cherchèrent ensuite à augmenter leur pression sur les Etats-Unis en installant des missiles nucléaires à Cuba. Lorsque l'Amérique découvrit la menace, Kennedy imposa immédiatement aux Russes de rapatrier les missiles en invoquant un cas de conflit

pouvoir. A la fin du 17e siècle le tsar Pierre le Grand construit lui aussi un bateau et il hisse aussi un drapeau qu’il nomma « le drapeau du tsar moscovite » tricolore, blanc bleu rouge disposés verticalement avec un aigle bicéphale. Dans le musée central naval à saint Petersburg on peut y retrouver le drapeau et un dessin de son prototype, en plus du drapeau tricolore il y a celui de saint André, il décide donc d’utiliser le drapeau tricolore pour les navires de marchands et celui de saint André pour

de Gorbatchev et l’implosion de l’URSS I.1. Gorbatchev au chevet d’un pays malade I.2. L’URSS en mutation : Perestroïka et Glasnost I.3. Echec de Gorbatchev et implosion de l’Union Soviétique II. Conséquences internationales de l’effondrement de l’URSS : les révolutions en Europe centrale et la disparition du bloc soviétique II.1. Les origines des révolutions en Europe de l’Est II.2. 1989, année de la révolution en Europe de l’Est Conclusion Annexes Sources LJAA, Dpt Hist-Géo, 2010 1 Introduction

dernier est né le 2 mars 1931 à Privolnoïe en Russie, il adhéra rapidement au Parti communiste de L’Union soviétique (à l’âge de 21 ans) et gravit rapidement les échelons de la scène politique pour finalement accéder, en 1985, à la direction d’une URSS ruinée et politiquement impuissante. Mais soucieux de rendre à ce «  grand État  » sa gloire passée, Gorbatchev entreprit des réformes radicales. Cependant, le chef de l’union se retrouve impuissant face aux bouleversements provoqués par sa politique