Comité de salut public

pauvre était un facteur essentiel qui aidait des riches à obtenir leur salut dans l’éternité, par la charité volontaire qui était basée sur les aumônes. Le traitement de la pauvreté est laissé à la volonté individuelle des riches. Les notions essentielles du XVIIe siècle français, c’étaient les notions de devoir, d’acception des contraintes, des jougs, des servitudes de la condition humaine, ainsi que la notion d’obéissance. Le salut ou le bonheur éternel étaient le prix de la vie terrestre. Mais ces

de droits démocratiques qui restent à conquérir aujourd’hui: «Art.1: Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.» «Art.21: Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler.» «Art.4 de la Constitution: Tout homme né et domicilié

C’est cette notion qui est à l’origine de la souveraineté absolue du roi. A : De la « plenitudo potestatis » à la souveraineté du roi de France Les canonistes, surtout les décrétalistes, ont identifié très tôt l’existence d’un concept de droit public : le concept d’« auctoritas superlativa ». Avec cet auctoritas, les canonistes ont fait valoir que le souverain pontife était titulaire d’une autorité suprême, non susceptible de faire l’objet d’une ingérence quelconque de la part d’une puissance

découlerait de Dieu, les hommes peuvent prendre en main leur organisation politique qui soit adapté à leur vie collective. Ils peuvent avoir pour but au sein de la société d’accéder au bonheur sur terre et ne poursuivent plus exclusivement une fin, le Salut dans L’au-Delà. L’expression collective des hommes au sujet de leur gouvernement est en mesure de donner une gouvernement libre. Dès lors au temps des Lumières tout devient science, c’est un rationalisme scientifique qui se développe avec

En décembre 1792, Robespierre se prononce en faveur de la mort du roi sans procès : son exécution est pour lui une mesure de salut public. Louis XVI ne peut être innocent sinon c'est la révolution qui est en accusation. Le 2 juin 1793, la chute des Girondins au profit de l'opposition montagnarde, le porte enfin au pouvoir. Il est élu le 27 juillet au Comité de Salut Public. Les 4 et 5 septembre, la Terreur est mise à l'ordre du jour . Les Hébertistes (le 24 mars 1794) et les Dantonistes (le 5 avril)

en mission dans les cinq départements bretons, Jean-Baptiste Carrier est installé à Nantes par un arrêté du comité de salut public du 29 septembre. Arrivé le 8 octobre, il trouve une ville profondément divisée entre ses éléments populaires et ses notables. Fin septembre et début octobre, son prédécesseur, Philippeaux, a destitué les administrations élues en décembre 1792 et créé un comité et un tribunal révolutionnaires. Disposant d'emblée des instruments d'une politique de Terreur, Carrier utilise

torture", c'est la souffrance physique ou morale extrême. Ensuite, il y a la crise du 13 mai 1958. Un comité de vigilence appelle à manifester contre le front de libération national à Alger pour saluer les trois soldat executés par le FLN. Un comité de salut est crée à la tête du général Salan (chef de l'Organisation armée secrète). L'expression "comité de salut public" désigne les comités mis en place dans les villes d'Algérie, placés sous l'autorité des militaires, ils réclament le retour du

de supprimer le christianisme de la vie quotidienne en France : prêtres déportés ou assassinés, religieux contraints à abjurer leurs vœux, voix et images pieuses détruites, fêtes religieuses interdites, agendas  supprimés, et interdiction du culte  public et privé. Plus tard ils vont aussi vendre les biens de l'église pour pouvoir financer la révolution mais aussi la convention voter la séparation entre l'église et l'états et d'autres chose mais on y reviendra plus tard dans le dossier. 2)Contexte

1793, les Vendéens royalistes, contre révolutionnaires, font leur insurrection. Avec les problèmes de l'inflation, du chômage, les culottes réclament des mesures exceptionnelles que les Girondins acceptent. Les ministres sont remplacés par un Comité de Salut public et un tribunal révolutionnaire. Mais les défaites militaires externes et internes rendent responsables les Girondins. Le 2 juin 1793, les sans-culottes encerclent la Convention, les Girondins sont arrêtés puis exécutés. C'est la fin de la

en masse de 300 000 hommes en février 1793, déclenchant le soulèvement des départements de l’Ouest, comme la Vendée, déjà mobilisés pour la défense de la monarchie et de l’Église. Dans ce contexte de guerre civile, la Convention forme un Comité de salut public en mars pour coordonner les mesures de défense intérieure et extérieure. La misère et les menaces extérieures exacerbent la colère des sans-culottes. Sous la pression populaire, les girondins acceptent la création du Tribunal révolutionnaire