Comité de salut public

universel « théorique » : pas de femmes ni de domestiques, vote public et non secret). 20 septembre 1792 : première réunion de la convention qui prononce la déchéance du Roi. 21 septembre 1792 : An I de la République. 11 octobre 1792 - 15 février 1793 : premier projet de constitution (girondin), qui subira un echec. 24 juin 1793 : constitution de l’an I (montagnarde). Juillet-Aout : ratification populaire (adoptée massivement mais scrutin public et non secret). 10 octobre 1793 (19 vendémiaire an II) :

constitution ne sera pas mise en application, c’est une constitution qui restera légendaire, en disant que c’est la constitution la plus démocratique de la France sachant qu’elle ne sera jamais appliquée au nom du principe du salut public. Ce qui doit primer est ce qu’on appelle le salut public, tous les principes démocratiques sont suspendus, parce que la première chose à faire c’est qu’on en peut pas défendre les droits, on ne peut protéger la démocratie parce que la révolution est menacé par ses ennemis

Le 10 aout est proclamée la fin de la monarchie et l’élection au suffrage universel d’une convention nationale. Désormais le gouvernement est sous le contrôle direct et permanent des Parisiens insurgés qui exigent des mesures énergiques pour le salut public et le châtiment des traitres. III) La Ière République et la Convention La mort du roi le 21 janvier 1793 va avoir des répercutions et des conséquences énormes pour la jeune République. D’une part la formation de la première coalition qui

mettre en accusation plusieurs chefs montagnards dont Marat et Hébert. Echec dans la reconquête de l'Assemblée. 24 avril 1793 : Marat est acquitté. Ils doivent accepter la mise en place de nouvelles institutions. Avril 1793 : création du comité de Salut Public. → passe rapidement sous l'influence de Danton. Grâce à l'appui des troupes sans-culottes, venues manifester le 31 mai 1793 puis le 2 juin 1793, les montagnards obtiennent l'élimination de la Gironde, soutenus par la Plaine. → une trentaine

fédéralistes et royalistes). Sous la pression des sans-culottes, les Montagnards engagent une nouvelle politique. Pour accélérer les décisions, la Convention nomme un Comité de Salut Public qui a l’essentiel du pouvoir. La Convention, se contente d’approuver les décisions du Comité. Pour que les décisions soient appliquées en Province, le Comité nomme des représentants en mission dans les départements, les armées et des fonctionnaires dans les communes. Par ces mesures de centralisation, les Montagnards

devait-elle s'appuyer ? De quels excès devait-elle se garder?C'est ce que Robespierre expliqua dansun nouveau rapport,qu'ilprésenta, au nom du Comité de salut public, dans la séance du 18plu viôse (5 février 1794). Après en avoir entendu la lecture, la Convention adopta le décret suivant : « La Convention natio nale décrète que le rapport du Comité de salut public sera imprimé, envoyé à toutes les autorités constituées, aux sociétés populaires et aux armées, et traduit dans toutes les langues ". » 1.

octobre : Élection du comité de constitution de la Convention. 1793 21 janvier : Exécution du roi. 15 février : Projet de Constitution présenté à la Convention par Condorcet. 3 mars : Début de l’insurrection royaliste en Bretagne. 11 mars : Début de l’insurrection royaliste en Vendée. 6 avril : Création du Comité de Salut public. 17 avril : Début de la discussion du projet de Constitution. 29 mai : Vote de la Déclaration des droits. 30 mai : Le Comité de Salut public est chargé de rédiger

Les Parisiens s’arment à l’annonce du renvoie de Necker et d’une concentration de troupes royales autour de Paris. Ils prennent la forteresse de la Bastille. Dans le royaume la garde nationale fédérée assure l’ordre public au nom du peuple. Le roi n’ose plus s’opposer à l’assemblée. 9 novembre 1789 ; Bonaparte s’empare du pouvoir par un coup d’état. Les députés sont contres lui. Vers

par la perte de l’Indochine. Les uns et les autres imaginent qu’il suffirait d’un pouvoir fort à Paris pour museler les oppositions et donner les moyens de réduire le FLN. Le 26 avril 1958 , à Alger, une manifestation réclame un gouvernement de Salut Public. Les gaullistes ne restent pas inactifs. Ils réussissent à profiter de la crise de la IVème et de l’agitation en Algérie. Mais au début de 1958, le retour de De Gaulle n’est évoqué que comme une hypothèse (en janvier, seulement 13 % des sondés

installent les Montagnards. Le Comité de salut public prend tous les pouvoirs. En septembre, la Convention décrète la Terreur. La loi des suspects permet d’arrêter les opposants. Robespierre dirige la France d’une main de fer. Ses ennemis, comme les Girondins ou Danton, sont exécutés. Trouvant que le pouvoir n’est pas assez sévère avec les opposants, les sans-culottes se révoltent. Les Montagnards prennent le pouvoir aux Girondins et instaurent la dictature du Comité de salut public. C’est le début de la