Comité révolutionnaire d'unité et d'action

la fin du conflit. L'armée transforme l'Algérie en une véritable province militaire et ferme les frontières avec le Maroc et la Tunisie, par où transitent les hommes et les armes à destination du FLN. Parallèlement, elle met en place une série d'actions psychologiques pour tenter de gagner l'adhésion de la population civile. Pendant ce temps, les attentats se multiplient et le FLN remporte d'incontestables succès politiques, notamment en réunissant, le 20 août 1956, un important congrès dit « de

communistes auront pour tâche de lutter énergiquement contre la bourgeoisie, quel que soit son bord politique (de ce point de vue, les radicaux ou les républicains-socialistes sont assimilés à la droite et taxés de fascistes). Fondamentalement révolutionnaire, le PCF considère même que le combat doit s'étendre à la SFIO, coupable de contribuer à faire avorter la Révolution en prônant des politiques réformistes2. Pour sa part, la SFIO se méfie d'un Parti communiste qui, sous couvert de proposer un

communistes auront pour tâche de lutter énergiquement contre la bourgeoisie, quel que soit son bord politique (de ce point de vue, les radicaux ou les républicains-socialistes sont assimilés à la droite et taxés de fascistes). Fondamentalement révolutionnaire, le PCF considère même que le combat doit s'étendre à la SFIO, coupable de contribuer à faire avorter la Révolution en prônant des politiques réformistes2. Pour sa part, la SFIO se méfie d'un Parti communiste qui, sous couvert de proposer un

communistes auront pour tâche de lutter énergiquement contre la bourgeoisie, quel que soit son bord politique (de ce point de vue, les radicaux ou les républicains-socialistes sont assimilés à la droite et taxés de fascistes). Fondamentalement révolutionnaire, le PCF considère même que le combat doit s'étendre à la SFIO, coupable de contribuer à faire avorter la Révolution en prônant des politiques réformistes2. Pour sa part, la SFIO se méfie d'un Parti communiste qui, sous couvert de proposer un

  Histoire du XIXème : succession des régimes. Grande thématique = savoir ce qu’il faut faire de la Révolution. 1er Empire qui va la suivre, lui-même succéder par Restauration. Question = retour à la monarchie ? Affrontement sur l’héritage révolutionnaire.   1815 : Restauration de la monarchie jusqu’en 1830. Idée est de remettre sur trône un Roi de France ; d’abords Louis XVIII puis Charles X à la mort du 1er : on a de nouveau un monarque de droit divin, avec malgré tout un retour incomplet à

la CFTC. 1891 : 1er mai : première célébration française et internationale de la journée d'action du 1er mai. Le 1er mai 1891, à Fourmies (Nord) la troupe tire sur des grévistes : neuf morts, 35 blessés. Publication de l'encyclique Rerum Novarum par le pape Léon XIII. Voir syndicalisme chrétien. 1892 : Création de la Fédération des Bourses du travail, marquée par le syndicalisme révolutionnaire de Fernand Pelloutier. 1895 : Congrès constitutif de la Confédération générale du travail CGT

lignes de chemins de fer ont été coupées ou sabotées, les ponts ont été détruits, et on n’a pas assez d’essence. Le problème également, c’est qu’un certain nombre de région ont été libérées par des maquis FTP (maquis communistes). Une agitation révolutionnaire qui dure parfois plusieurs semaines avec des troubles, des désordres, et une très grande confusion. Il y a des rivalités entre les réseaux, entre les maquis, et aussi entre les partis politiques : il n’y a plus d’ennemi commun. Le Parti Communiste

lutter, oser vaincre VIII. La guerre populaire IX. L'armée populaire X. Le rôle dirigeant des comités du Parti XI. La ligne de masse XII. Le travail XIII. Les rapports entre officiers et soldats XIV. Les rapports entre l'armée et le Peuple XV. Les « trois démocraties » XVI. L'éducation et l'entraînement des troupes XVII. Servir le Peuple XVIII. Le patriotisme et l'internationalisme XIX. L'héroïsme révolutionnaire XX. Edifier le pays avec diligence et économie XXI. Compter sur ses propres forces et lutter

- Le disciple, Paul Bourget (Adrien Sixte) 1890 - toast d’Alger (cardinal Lavigerie, ralliement) - Fédération des travailleurs socialistes (FTS) de Paul Brousse (les broussistes ou possibilistes, réformateurs) - Parti ouvrier socialiste révolutionnaire (POSR) de Jean Allemane (allemanistes) 1891 - agitation pour la journée de huit heures le 1er mai (fusillade de Fourmies) - encyclique Rerum Novarum (doctrine sociale de l’Eglise) - première convention collective en France (compagnies des

et les troupes arrivent et cela se solde par une fusillade. Cette répression crée une rumeur dans la quartier St Antoine, qui a été très dure, avec des 100 de morts, les autorités qui cachent les corps. Les députés aux EG deviennent révolutionnaires. * * Le roi {draw:rect} {draw:rect} {draw:rect} 5 mai 1789 ouverture des états généraux qui a lieu dans la salle des menus plaisirs à Versailles. 1000 députés sont là, tous ne sont pas là et ils y en a qui viendront les jours suivants